Quels leviers de productivité avec nos fournisseurs ?

Présentation au sujet: "Quels leviers de productivité avec nos fournisseurs ?"— Transcription de la présentation:

1 Quels leviers de productivité avec nos fournisseurs ?
et Projet « Traçabilité Amont » Quels leviers de productivité avec nos fournisseurs ? - Rennes, le 13 mars 14h à 15h30 Traca_cfia_1303_v2.1.ppt

2 Agenda de la conférence
14h00 : Accueil des participants Quelles attentes des Industriels ? Jean-Pierre MARTIN, Président de la Commission Traçabilité Logistique ABEA 14h20 : Enjeux de la traçabilité et de la collaboration amont Résultats de l’étude CARDINEM – AGROCAMPUS – ABEA Pierre GUEGUEN,  Directeur Associé Cardinem Vincent HOVELAQUE, Enseignant-chercheur Agrocampus Rennes Josselin SAGALA, Elève-ingénieur Agrocampus Rennes 14h40 : Illustrations de trois prestataires / industriels    Table-ronde avec les intervenants IBM  et un partenaire industriel : La RFID Isatech et un partenaire industriel : Approche Qualité Créativ I.T. et un partenaire industriel : Approche traçabilité Modérateur : Thierry BESSE, Secrétaire général ABEA 15h15 : Conclusion et Perspective d’une coopération prestataires/éditeurs/Industriels Jean-Pierre MARTIN

3 Agenda de la conférence
14h00 : Accueil des participants Quelles attentes des Industriels ? Jean-Pierre MARTIN, Président de la Commission Traçabilité Logistique ABEA 14h20 : Enjeux de la traçabilité et de la collaboration amont Résultats de l’étude CARDINEM – AGROCAMPUS – ABEA Pierre GUEGUEN,  Directeur Associé Cardinem Vincent HOVELAQUE, Enseignant-chercheur Agrocampus Rennes Josselin SAGALA, Elève-ingénieur Agrocampus Rennes 14h40 : Illustrations de trois prestataires / industriels  Table-ronde avec les intervenants IBM  et un partenaire industriel : La RFID Isatech et un partenaire industriel : Approche Qualité Créativ I.T. et un partenaire industriel : Approche traçabilité Modérateur : Thierry BESSE, Secrétaire général ABEA 15h15 : Conclusion et Perspective d’une coopération prestataires/éditeurs/Industriels Jean-Pierre MARTIN

4 Présentation de l’ABEA
L’ABEA, c’est : 120 adhérents qui représentent aujourd’hui 300 sociétés. Plus de salariés et Md d’euros de chiffre d’affaires MISSIONS : Recueillir les attentes et avis des dirigeants des IAA. Animer des actions d’entreprises avec nos partenaires. Exprimer les positions des adhérents et lobbying. Réaliser des études, des actions de formation à destination du public et des entreprises. 4

5 Commissions ABEA et leurs présidents
Conseil Administration Christian TACQUARD Jean-Bernard SOLLIEC Commissions ABEA et leurs présidents Emploi et compétences : Santé, Sécurité du travail *: Yves FANTOU Emploi et formation **: & Information sur nos métiers*: Pierre IMHOFF Equal Compétences séniors : Gérard PERROUD Développement Durable : Froid industriel *: Michel MAGUEUR Energie* et Développement durable : Jean-Marc FLEUROT Valorisation des déchets Jean-Luc HARDY Accès aux marchés : Traçabilité logistique : Jean Pierre MARTIN Transport IAA : François SCHLIENGER Nutrition Santé * : Monique LENORMAND Commerce, Marketing : * Christian GUYADER Innovation : L’Aliment demain : Michel HOUDEBINE

6 Agenda de la conférence
14h00 : Accueil des participants Quelles attentes des Industriels ? Jean-Pierre MARTIN, Président de la Commission Traçabilité Logistique ABEA 14h20 : Enjeux de la traçabilité et de la collaboration amont Résultats de l’étude CARDINEM – AGROCAMPUS – ABEA Pierre GUEGUEN,  Directeur Associé Cardinem Vincent HOVELAQUE, Enseignant-chercheur Agrocampus Rennes Josselin SAGALA, Elève-ingénieur Agrocampus Rennes 14h40 : Illustrations de trois prestataires / industriels  Table-ronde avec les intervenants IBM  et un partenaire industriel : La RFID Isatech et un partenaire industriel : Approche Qualité Créativ I.T. et un partenaire industriel : Approche traçabilité Modérateur : Thierry BESSE, Secrétaire général ABEA 15h15 : Conclusion et Perspective d’une coopération prestataires/éditeurs/Industriels Jean-Pierre MARTIN

7 Une problématique générale vaste mais clairement identifiée
Déroulement de l’étude Un projet d’identification et de mesure des gains potentiels sur la traçabilité amont Une problématique générale vaste mais clairement identifiée Quels outils/méthodes mettre en place en amont pour améliorer la relation fournisseur/iaa avec des réponses en termes d'enjeux (gains/coûts)? Trois axes privilégiés d’analyse : Achats, qualité, système d’information (logistique d’appro) Plusieurs angles complémentaires : bibliographie + validation/mesures par les acteurs industriels + retour d’expérience Un projet volontairement structuré en trois phases par les partenaires ABEA / CARDINEM / AGROCAMPUS Phase 1 : pré-diagnostic pilote enquête ciblée sur un nombre limité d’IAA premières pistes de gisements de valeur Phase 2 : approfondissement de la phase 1 bibliographie (traçabilité, collaboration amont, secteurs,...) enquête élargie à tous les membres ABEA Phase 3 : validation et communication (document de synthèse)

8 Les caractéristiques de la filière agro alimentaire
Fournisseurs IAA GMS Clients Innovation, traça Q / P / D Innovation, traça Q / P / D Crises OGM Allergies Santé Innovation ... 30% des flux 70% des flux Outils :... Interlocuteurs : ... Outils : GS1-128, EDI, GSDN,... Interlocuteurs : GS1, TraceOne,... 8

9 Taux d ’équipement en outil informatisé de traçabilité
Principaux résultats (1/4) La traçabilité : une mise en œuvre hétérogène en terme d’outils Un constat : les entreprises investissant le plus dans les NTIC sont celles qui sont les plus rentables… Les investissements des IAA : Coût SI / CA : souvent inférieur à 0.3% CA, contre 0.5% pour le reste des PME françaises Coût SI / Investissements : seulement 12% pour les NTIC contre 18% pour les autres PME françaises Industries Taux d ’équipement en outil informatisé de traçabilité Industrie des corps gras 100% Industrie des poissons 79% Travail des grains et produits amylacés 76% Industrie des viandes 72% Fabrication d’aliments pour animaux 70% Industrie des fruits et légumes 67% Industrie laitière 65% Industrie des boissons 63% Autres industries alimentaires 60%  Les IAA sont globalement sous-équipées, bien que les enjeux soient de taille

10 Les solutions sont bien déployées en aval...
Principaux résultats (2/4) Marquage, EDI et transport : mature sur l’aval mais pas sur l’amont Source : GS1 EDI Web EDI Commande 93% 86% Avis d’expédition 63% 41% Facture 55% 32% Fiche produit 16% 12% Les solutions sont bien déployées en aval... Existence d’autres axes d’amélioration : Cf Tableau : échanges pratiqués par ceux utilisant les Echanges Electroniques Professionnels Une réception avec un couple GS1 128 – DESADV prend : Environ 1 heure si code fonctionnel Au minimum 2 heures sinon En aval, seuls 1/8 des industriels utilisant le couple GS1 128-DESADV le font efficacement Selon GS1, la fluidification de la chaine logistique grâce au couple GS1 128 – DESADV permet un gain d’environ 1€/palette : 0,5% de gains sur les coûts logistiques (600 km frais) Des gains de plus en plus évidents : en 2006, selon GS1, environ 80% des messages EDI étaient intégrés sans ressaisies ... mais ce n’est pas le cas en amont Faible utilisation du standard GS1 – 128 Peu d’échanges EDI (Achat EDI : 6% ; Achats via e-commerce : 17%) Une translation difficile... Confirmée par enquête/biblio/prestataires

11 Selon l’INSEE, le CA achats est un enjeu majeur
Principaux résultats (3/4) Achats : vecteur de gains importants... sous-exploités Selon l’INSEE, le CA achats est un enjeu majeur Les achats de matières premières représentent 48% du CA Les achats de marchandises représentent 8% du CA Au contraire de la fonction commerciale, la fonction achats semble avoir été laissée pour compte : Très peu informatisée (66%, à comparer aux 94% de la comptabilité ou 82% des ventes) Une utilisation de l’EDI pour la vente plus diffusée (30% des entreprises agroalimentaires de plus de 10 salariés, et 70% des entreprises vendant à la grande distribution), contre seulement 6% des entreprises utilisatrices pour leurs achats (et des taux d’utilisation supérieurs à 0% pour des taches administratives). Au contraire de l’aval, les cahiers des charges amont sont très peu utilisés Ou sur quelques produits Bien que les gains sont perçus, le déploiement est limité par la difficulté de rédaction. Les critères de choix de fournisseurs sont à étendre Relèvent plus des approvisionnements (choix de produits, modalités de livraisons, paiements) Que d’une stratégie achats (proposition de fonctionnalités supplémentaires à celles du produit : création d’un partenariat innovation, analyses qualité, garantie de livraison) Taux d’Informatisation % Comptabilité 94% Ventes 82% Production 72% Achats 66% Ressources humaines 56% Conception 30% Taux d’utilisation du commerce électronique Obtenir des formulaires administratifs en ligne 63 Obtenir de l’information administrative en ligne 62 Remplir des formulaires administratifs en ligne 53 Accéder à des services bancaires ou d’assurance en ligne 72 Ventes via un EDI 30 Achats via internet 17 Ventes via internet 13 Achats via un EDI 6

12 Les moyens de communication utilisés sont...
Principaux résultats (4/4) Qualité : en manque de transversalité et communication Très peu d’informations sont échangées entre fournisseurs et industriels Les exigences sont communiquées sous des formes diverses : Peu de cahiers des charges Utilisation plus généralisée de fiches techniques Les analyses sont faites chez le fournisseur mais pas communiquées (effet de double analyses) Les moyens de communication utilisés sont... Souvent informatisés (mails) Rarement automatisés (pas de norme) Et pourtant, chacun s’accorde à ce que le déplacement de certains contrôles qualité vers l’amont permette de ... Mieux Impliquer les fournisseurs Améliorer la relation de confiance Augmenter la prévention des problèmes sur les produits finis (traçabilité globale) Diminuer des charges pour les industriels

13 Nous recommandons de déployer les solutions utilisées par ailleurs
Les préconisations : gestion de l’information …et de sa communication Les solutions à mettre en oeuvre sont connues et largement éprouvées Nous recommandons de déployer les solutions utilisées par ailleurs Pour les échanges normalisés (normalisable) : l’EDI Message DESADV : prévision des réceptions, acquisition d’informations facilitées autant que possible : Mettre en oeuvre un marquage standardisé GS1 128 : indication SSCC, DLC / DLUO, ... remarque : une partie des fournisseurs des IAA, qui traitent directement avec les GMS, ont déjà mis en place avec succès de tels outils Mettre en œuvre d’autres solutions, innovantes pour certaines, mais largement diffusées dans d’autres secteurs pour d’autres Catalogues électroniques? GED? : fiabilité de l’information, diffusion de l’information? RFID : marquage permettant de développer des applications propres entre les partenaires L’utilisation de LIMS (Laboratory Information Management System) améliore la gestion des analyses, des résultats … Présenté sous cette forme de texte, ou un tableau, avec pour en tête problème, solution, facilité de mise en œuvre, réponse au problème, gains.

14 Vers plus de dématérialisation des procédures
Les solutions à mettre en œuvre du côté des métiers De nombreuses pistes d’amélioration et de gains en achats En plus des critères habituels (coûts, quantité, délai), les fournisseurs pourraient, selon l’étude : Être force de proposition : soumettre des innovations, ... Fournir autant que possible des analyses qualité Sur leur réalisation (sont-elles faites ?) Sur leur communication (Quels sont les résultats ?) Il faudrait tendre vers une standardisation et un usage collectif des procédures / moyens Les cahiers des charges permettent une meilleure définition des exigences : En interne : entre les différents services de l’entreprise (achats, qualité, réception, production, marketing) En externe : envers les fournisseurs, les clients Bonnes pratiques : permettent de visualiser les enjeux, et le moyens à mettre en oeuvre pour les récupérer GIE achats – centrales d’achats de certains intrants : pour diminuer le coût d’achat de certains intrants Vers plus de dématérialisation des procédures Places de marché (Augmentation du pouvoir de négociation par une mise en concurrence élargie) Usage des messages standardisés en EDI : message ORDERS Présenté sous cette forme de texte, ou un tableau, avec pour en tête problème, solution, facilité de mise en œuvre, réponse au problème, gains. Nous proposons que les adhérents de l’ABEA réfléchissent ensemble à la meilleure utilisation des ces solutions innovantes et porteuses de gains identifiés

15 Agenda de la conférence
14h00 : Accueil des participants Quelles attentes des Industriels ? Jean-Pierre MARTIN, Président de la Commission Traçabilité Logistique ABEA 14h20 : Enjeux de la traçabilité et de la collaboration amont Résultats de l’étude CARDINEM – AGROCAMPUS – ABEA Pierre GUEGUEN,  Directeur Associé Cardinem Vincent HOVELAQUE, Enseignant-chercheur Agrocampus Rennes Josselin SAGALA, Elève-ingénieur Agrocampus Rennes 14h40 : Illustrations de trois prestataires / industriels  Table-ronde avec les intervenants IBM  et un partenaire industriel : La RFID Isatech et un partenaire industriel : Approche Qualité Créativ I.T. et un partenaire industriel : Approche traçabilité Modérateur : Thierry BESSE, Secrétaire général ABEA 15h15 : Conclusion et Perspective d’une coopération prestataires/éditeurs/Industriels Jean-Pierre MARTIN

16 IBM aujourd’hui Pour IBM, l’innovation est à l’intersection de l’invention technologique et de la connaissance métier de ses clients. IBM maintain deep roots locally and leverage its multinational presence ST NAZAIRE NANTES RENNES ANGERS TOURS ORLEANS Carine Rochard, IBM France – Solutions Innovantes Métier Distribution – GSM :

17 la Distribution aujourd’hui …
Innovations prioritaires identifiées : Renforcer les capacités de collaboration en interne et en externe Innover en matière de modèles d’affaires et de processus métier Capitaliser sur le patrimoine informationnel pour optimiser les activités PRODUCTEURS FOURNISSEURS FONCTIONNELS Marque CLIENTS FOURNISSEURS DE SERVICES NEGOCIANTS GROSSISTES DISTRIBUTEURS Connection universelle Intégration données & systèmes Standards ouverts Externalisation des processus ACTEURS Consommateur

18 Du cash pour investir …. Le concept de mutualisation développé par KeyMRO permet de: Générer des économies durables pour les clients. Sécuriser les solutions achats. Associer les fournisseurs au processus d’amélioration continue. Intégrer plus rapidement de nouveaux groupes clients.

19 Dans la traçabilité, à base de RFID …
Administration des systèmes Objets tracés par étiquettes RFID Lecteurs et antennes RFID Contrôleur frontal Serveur de site local Intégration applicative Applications de gestion de l’entreprise Partenaire ou application existante Partenaire Partenaire Partenaire Répertoire des objets tracés Partenaire Sécurité et confidentialité des données

20 LES REPONSES IDENA : UNE PRODUCTION SECURISEE DE L’ENTREE A LA SORTIE

21 Présentation synthétique Isatech – AES Chemunex
25 ans d’existence dans le Grand-Ouest Mise en place d’ERP dans l’agro- alimentaire et fournisseur de la Grande Distribution Plus d’une centaine de client dans l’agro-industrie 8 millions d’euros de CA, 75 personnes Spécialités : logistique, EDI, traçabilité,… 28 ans d’innovation en microbiologie industrielle, vétérinaire et clinique Conception, développement, production et vente d’équipements et réactifs dédiés à l’analyse de contaminants microbiens : bactéries, virus, prions… Présence sur les 5 continents (6 filiales étrangères, 80 distributeurs) 75 millions d’euros de CA, 480 personnes Credo : qualité produits et service client

22 Présentation synthétique Isatech – AES Chemunex
Christophe Jourdan, Isatech : Directeur des solutions sectorielles Pourquoi Isatech s’intéresse à ce groupe de travail : Relation amont, contrôle qualité Recherche de la traçabilité totale Système d’information étendu aux laboratoires externes, aux fournisseurs Echange de données Accélération et maîtrise des flux d’information Guillaume Romestant, AES Chemunex : Directeur Commercial Pourquoi AES Chemunex s’intéresse à ce groupe de travail : Relation amont, contrôle qualité Acteur international des solutions de contrôle qualité en microbiologie industrielle Recherche de la performance, sensibilité, rapidité des résultats de contrôle Amélioration du service : mieux répondre aux préoccupations de réactivité et de productivité des industriels Amélioration de l’intégration et de la productivité des laboratoires internes.

23 Groupe de travail : Relation amont, contrôle qualité
Le contexte : L’augmentation du volume des données acquises, liée à la complexité croissante des produits et des contrôles Externalisation des contrôles ? Ou laboratoires internes ? Solution mixte ? Les enjeux : Libération plus rapide des lots : amélioration du BFR Recherche de productivité du service qualité Réactivité dans le cadre d’un blocage de lot Traçabilité complète dans le système d’information de l’industriel Fluidification des relations avec les laboratoires externes Fluidification des relations avec le service Approvisionnement / Réception Les pistes de réflexion : Pilotage et anticipation des contrôles dans la chaîne d’approvisionnement (Quels outils ? Le Workflow) Les échanges de données avec les fournisseurs, avec les laboratoires Les nouveaux supports : XML, portails, RFID, EAN128 Historisation et exploitation des données du contrôle qualité : Statistiques Évaluation fournisseur Rappel

24 L’offre Qubes Qubes, l’approche processus pour construire votre M.E.S. « sur mesure » Adapter le Qubes à votre fonctionnement 1 2 3 Modéliser vos processus opérationnels Exécuter avec des interfaces personnalisées Analyser, suivre décider

25 Qubes pour suivre la production en temps réel
récupération automatique Suivi des équipements Récupération automatique des niveaux des cuves et des températures. Sélection de la cuve pour déclaration des actions et calculs des numéros de lots. Interface utilisateurs simplifiée

26 Traçabilité amont et aval
Traçabilité instantanée des lots

27 Plus de 100 clients Ils nous font confiance Agroalimentaire
Pharmacie - Chimie Industrie Services

28 GELAGRI ESPAGNE Filiale de GELAGRI BRETAGNE
( groupe COOPAGRI BRETAGNE ) Usine de surgélation de légumes méditerranéens 1 ligne de surgélation Chambre de stockage Démarrage Mai 2007 OBJECTIF : Assurer un approvisionnement régulier en légumes traçés

29 Objectif du S.I. Réceptionner les légumes frais
Tracer les lots dans le process Gérer la qualité produit Gérer le Stock palettes Communiquer avec l’ERP (JDE)

30 Choix de QuBES Modéliser nos processus métier Historiser les processus
MES + Gestion d’entrepôt Coût Version Espagnole

31 Processus Réception-Agréage
Saisir des info de réception Position de stock Légume Frais Envoi des éléments nécessaires au paiement fournisseur Échantillonnage Saisie des résultats - calcul du poids net à payer - répartition par code qualité Lien de traçabilité lot fournisseur - lot réception lot réceptionné - lot stock

32 LOGIGRAMME

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34 Processus Pointage Surgelé
Création N°Palette : Code Article N° de Lot Poids Date/Heure N° RIME … Référencement Traçabilité avec lot de Frais Traçabilité dans le Frigo Traçabilité Expédition

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37 Agenda de la conférence
14h00 : Accueil des participants Quelles attentes des Industriels ? Jean-Pierre MARTIN, Président de la Commission Traçabilité Logistique ABEA 14h20 : Enjeux de la traçabilité et de la collaboration amont Résultats de l’étude CARDINEM – AGROCAMPUS – ABEA Pierre GUEGUEN,  Directeur Associé Cardinem Vincent HOVELAQUE, Enseignant-chercheur Agrocampus Rennes Josselin SAGALA, Elève-ingénieur Agrocampus Rennes 14h40 : Illustrations de trois prestataires / industriels  Table-ronde avec les intervenants IBM  et un partenaire industriel : La RFID Isatech et un partenaire industriel : Approche Qualité Créativ I.T. et un partenaire industriel : Approche traçabilité Modérateur : Thierry BESSE, Secrétaire général ABEA 15h15 : Conclusion et Perspective d’une coopération prestataires/éditeurs/Industriels Jean-Pierre MARTIN

38 Plan d’actions Un travail en sous-groupes, qui « éclaire » l’ABEA sur les problématiques concrètes…. Objectif : permettre de travailler conjointement sur des problématiques individuelles. Entreprises non concurrentes Ayant un intérêt commun sur un point précis Constitution des groupes ABEA : 2-3 membres Prestataires : 1 membre Autres : 1 membre (juriste, consultant …) Relayé ensuite via un trravail de lobbying (communication ascendante), Syndicat (ANIA, ) Et via un travail de communication descendante Ponctuellement Vers les adhérents Et avec une structure de « Veille » permanente Pour le travail en groupe : Pierre Yves Tanvet de Triballat, m’est apparu, lors de la première phase, et par la suite, sensible aux notions de qualité, et de LIMS. Il va en mettre prochainement en place. Estelle LE COZ de COMABOKO (responsable exploitation) reprochait à traceone de ne pas permettre aux industriels de communiquer entre eux. Je pense que cette fonctionnalité est permise par les LIMS. Un groupe avec ces deux ci, pourquoi pas, peut être y adjoindre Sophie YOUNIOU de Charly Guennec Gastronomie (responsable qualité), contact intéressé et utile. Ces trois ci sont certainement les plus a mêmes de travailler: Constitution d’un seul groupe avec ces trois là. Constitution de plusieurs groupes, en les répartissant