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Septembre 2009 France Cantin

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Présentation au sujet: "Septembre 2009 France Cantin"— Transcription de la présentation:

1 Septembre 2009 France Cantin
Le sommeil et l’enfant Septembre 2009 France Cantin

2 Dormir, c’est vivre aussi… ».
Le sommeil et l’enfant Dormir, c’est vivre aussi… ». Le sommeil est un « moment de vie » à part entière au cours duquel le corps récupère et se régénère. Chez l’enfant le sommeil est particulièrement important. Dormir l’aide à grandir, à mémoriser ce qu’il apprend et à développer son cerveau

3 Le sommeil et l’enfant En moyenne, le nouveau-né dort de 16 à 17h par jour; l’enfant de 3 ans 12h; l’enfant de 6 ans 10h l’adolescent de 12 ans 9h. le meilleur signe d’un bon sommeil est la forme de l’enfant dans la journée. Un enfant qui ne dort pas assez est difficile à réveiller le matin, fatigué, somnolent et irritable dans la journée. Il n’est pas attentif et a tendance à prendre du poids sans raison.

4 Le sommeil et l’enfant les quatre moments clés du sommeil de l’enfant à travers des exemples et des situations concrètes L’endormissement La nuit Le réveil Le sommeil dans la journée

5 Le sommeil et l’enfant L’endormissement
Il est important de savoir reconnaître les signes de l’endormissement (bâillements, frottement des yeux, pleurs sans motifs, ...) et de préparer agréablement le sommeil (jeux calmes, petit rituel, adoucir la séparation du coucher en réduisant le bruit pour un temps, ...).

6 Le sommeil et l’enfant La nuit
l’une des particularités du sommeil du petit enfant est la présence de micro éveils physiologiques d’une durée de 1 à 10 minutes après chaque cycle de sommeil ; si les parents interviennent systématiquement par des bercements ou en donnant un biberon, l’enfant risque d’avoir besoin de ses parents pour se rendormir à chacun de ses réveils.

7 Le sommeil et l’enfant Le réveil
il est conseillé de favoriser un réveil spontané. Pour y parvenir, la régularité des horaires de coucher et de réveil est très importante

8 Le sommeil et l’enfant Le sommeil dans la journée
une sieste est nécessaire pour compléter la nuit de l’enfant au moins jusqu’à l’âge de 4 ans. Jusqu'à six mois, l'enfant a souvent besoin de trois siestes; de 9 à 12 mois, deux siestes; de 15 à 18 mois, d'une seule sieste au début de l'après-midi. A partir de 2 ans, une sieste de 2 heures à 2 heures et demie est recommandée. Elle ne doit pas être trop longue car sa durée réduit celle du sommeil de nuit. De 4 à 6 ans, certains ont besoin d'une sieste d'autres pas.

9 Le sommeil et l’enfant les stades (ou phases) du sommeil
Le sommeil est constitué de cycles d'une durée d'environ 90 minutes qui incluent deux types d'états: le sommeil paradoxal et le sommeil non paradoxal.

10 Le sommeil et l’enfant Pour un bon sommeil chez les enfants, les experts Recommandent: une routine régulière entourant l'heure du coucher une période de relaxation avant l'heure du coucher une nuit de sommeil entière toutes les nuits l'évitement d'aliments et de boissons qui contiennent de la caféine et de médicaments qui contiennent un stimulant quelque temps avant l'heure du coucher ne pas avoir faim mais ne pas trop manger avant le coucher d'une chambre tranquille, à la noirceur et un peu fraîche se lever à la même heure tous les jours

11 Le sommeil et l’enfant Ce qui favorise l'endormissement (à moduler suivant l'âge de l'enfant évidemment) : -La régularité dans l'heure du coucher. -L'instauration de rituels : brossage des dents, passage aux toilettes pour bien vider la vessie -La petite histoire racontée ou lue par papa ou maman. -Le doudou : poupée, nounours ou simple bout de tissu pour les tout-petits. -la veilleuse allumée. -La porte entrouverte à condition d'éteindre la télé dans le séjour. -Le câlin -Le rappel des bons moments de la journée ou de ceux à venir pour la journée du lendemain. -L'écoute des soucis de l'enfant, de ses préoccupations : écouter puis réassurer

12 Le sommeil et l’enfant De mauvaises habitudes qui risquent de perturber de façon durable le sommeil de l'enfant Laisser l'enfant s'endormir sur le canapé du salon : le transporter dans son lit va le réveiller ou s'il ne se réveille pas, il va perdre l'habitude de s'endormir dans son lit et refusera ensuite de rejoindre sa chambre pour dormir. -Attendre que l'enfant s'endorme pour quitter sa chambre : l'enfant doit accepter de s'endormir seul. S'il lui faut la présence de quelqu'un à ses côtés, c'est qu'il est trop angoissé par la séparation. Si c'est le cas, il serait peut-être utile de consulter un spécialiste : médecin ou psy.

13 Le sommeil et l’enfant Le laisser s'endormir dans le lit des parents ou d'un parent pour les familles monoparentales l'enfant doit apprendre à trouver dans son lit son apaisement personnel qui lui permet de trouver le sommeil. Il doit également différencier son espace personnel de celui de ses parents. La chambre des parents est un espace réservé aux parents auquel les enfants ne doivent avoir accès que très exceptionnellement.

14 Le sommeil et l’enfant Revenir dans sa chambre dès que l'enfant vous appelle sur un prétexte quelconque pour retarder l'instant de l'endormissement : ne pas hésiter à ce moment là à être ferme. Toutefois, il faut apporter un peu de souplesse à ce principe, surtout chez le tout jeune enfant, et revenir faire quelques câlins supplémentaires si c'est nécessaire pour rassurer et atténuer l'angoisse de séparation.

15 Le sommeil et l’enfant Terreurs nocturnes, éveils confus, somnambulisme et cauchemars chez les enfants La terreur nocturne, l'éveil confus et le somnambulisme se produisent alors que l'enfant est dans un état d'éveil partiel. C'est ce qui les distingue des réveils agités après un cauchemar où l'enfant est pleinement éveillé

16 Le sommeil et l’enfant Venir vérifier qu'il s'est bien endormi au moment où il cherche le sommeil : c'est le plus sûr moyen de l'empêcher de s'endormir. Cela ne vous empêche pas de jeter un coup d'oeil dans sa chambre quand vous êtes sûr(e) (s) qu'il dort profondément. Ne pas associer le lit à une punition. Au contraire, expliquer à l'enfant les bienfaits du sommeil : permet le bon développement du cerveau, rôle dans la croissance etc...

17 Le sommeil et l’enfant Ces éveils partiels se produisent habituellement durant une phase de sommeil profond au cours du premier tier de la nuit. Il est généralement très difficile de réveiller un enfant pendant que cela se produit. Typiquement, il ne se rappelle pas de l'événement ou très peu le lendemain. Dans jusqu'à 60% des cas, ce phénomène a déjà été présent dans la famille, ce qui suggère une forte influence génétique. La fréquence peut augmenter en réaction à un manque de sommeil ou d'autres stresseurs

18 Le sommeil et l’enfant Somnambulisme
Les épisodes de somnambulisme chez les enfants consistent habituellement en déplacements tranquilles, non agités qui durent quelques minutes. Un somnambulisme occasionnel est relativement fréquent chez les enfants: 40% des enfants de 6 à 16 ans ont déjà vécu de tels épisodes. Mais seulement 2 à 3% vivent plus qu'un épisode par mois. Le phénomène devient moins fréquent après l'âge de 10 ans

19 Le sommeil et l’enfant Éveil confus, terreur nocturne
Les termes "éveil confus" et "terreur nocturne" sont souvent utilisés comme des synonymes pour décrire des éveils partiels agités chez les enfants mais certains auteurs suggèrent une distinction entre les deux. Ces épisodes agités sont souvent assez perturbants pour les parents

20 Le sommeil et l’enfant Éveils confus
Les éveils confus se voient surtout chez les jeunes enfants à partir de 18 mois jusqu'à environ 6 ans. Les épisodes évoluent souvent graduellement, les enfants commençant souvent par pleurer et appeler les parents, ce qui est suivi par une confusion manifeste qui peut être accompagnée d'un état de panique et d'une inconsolable agitation qui peut durer 30 minutes ou plus. L'enfant semble éveillé mais il est encore endormi. Il ne reconnaît pas ses parents et n’a pas conscience de ce qui lui arrive. Essayer de le réveiller est souvent peine perdue et inutile. La plupart du temps, quelques minutes après l'épisode de confusion, il se calme seul et reprend paisiblement le fil de sa nuit

21 Le sommeil et l’enfant Terreurs nocturnes
Les terreurs nocturnes quant à elles sont caractérisées par un début brusque de cris et d'agitation extrême, souvent chez des enfants plus vieux ou des adolescents. Elles durent typiquement quelques minutes seulement mais peuvent être accompagnées de mouvements violents, de comportements potentiellement dangereux comme courir Les éveils partiels agités sont relativement fréquents chez les enfants, affectant 3% des enfants entre 3 et 13 ans selon une récente recherche. Ils ne sont pas le signe d'une psychopathologie sous-jacente. Réveiller l'enfant à certaines heures au cours de la nuit (dans le premier tiers de celle-ci) peut être efficace

22 Le sommeil et l’enfant Les cauchemars
Les cauchemars surviennent durant une phase de sommeil paradoxal, vers la fin d'un cycle du sommeil, le plus souvent dans la seconde moitié de la nuit. Un vif rappel des images du rêve au réveil peut amener une agitation. Alors que l'agitation faisant suite à un cauchemar peut en apparence ressembler à la terreur nocturne, les enfants sont, dans ce cas, bien éveillés, consolables et peuvent décrire le contenu de leurs rêves.

23 Le sommeil et l’enfant Les cauchemars
On estime qu'entre 25 et 50% des enfants feraient des cauchemars. Alors que les mauvais rêves ne nécessitent pas de traitement chez la grande majorité des enfants, la présence de cauchemars excessivement fréquente avec des contenus particulièrement violents peut signaler le besoin d'une évaluation psychologique. Il est bon, dans la journée, d'entamer une discussion à propos des cauchemars et d'aider les enfants à bien faire la différence entre les rêves et la réalité (faire le point sur les monstres par exemple).

24 Le sommeil et l’enfant Alimentation et sommeil
Un verre de lait chaud est traditionnellement reconnu pour favoriser le sommeil Cette action bénéfique est en partie expliquée par le fait que les produits laitiers contiennent du tryptophane, un acide aminé qui contribue à la production de sérotonine et de mélatonine qui sont des neurotransmetteurs impliqués dans le sommeil. D'autres aliments contenant du tryptophane sont les volailles, la banane, l'avoine et le miel.

25 Le sommeil et l’enfant Les aliments riches en hydrates de carbone (sucres lents) complètent les produits laitiers pour augmenter le niveau de tryptophane dans le sang. Un repas du soir comprenant du pain de céréales entières, des pâtes et du riz bruns, des légumineuses et des fruits peut ainsi favoriser le sommeil. La parfaite collation du soir peut être un bol de céréales avec du lait, un yogourt avec des craquelins ou du pain avec fromage. Il est préférable toutefois d'éviter les hydrates de carbone élevés en sucre car la baisse de sucre qui s'en suit peut perturber le sommeil

26 Le sommeil et l’enfant Aliments riches en protéines et en gras
Les aliments riches en protéines au contraire, sont plus difficiles à digérer et contiennent un acide aminé, la tyrosine qui agit sur la dopamine et favorise l'activité cérébrale, pouvant ainsi nuire au sommeil. Une alimentation riche en gras a aussi été associée par les recherches à un sommeil plus perturbé.

27 Le sommeil et l’enfant Caféine
Même une quantité modérée de caféine, qui se trouve aussi dans le chocolat, les sodas, peut nuire au sommeil. La caféine se retrouve également dans certains médicaments en vente libre tels que les antidouleurs, les diurétiques et les médicaments pour le rhume. Ils peuvent contenir autant de caféine et même plus qu'une tasse de café

28 Le sommeil et l’enfant Endormissement, 5 à 10 minutes
Sommeil léger, environ 20 minutes Sommeil long-profond, environ 60 minutes Sommeil paradoxal, environ 20 minutes Sommeil intermédiaire, fin du cycle A 1 2 3 4

29 Le sommeil et l’enfant Phase 1: La respiration est plus calme, le rythme cardiaque diminue, le corps devient lourd. Un bruit sec peut tirer l’enfant de son sommeil. Phase 2: L’enfant dort profondément. Son corp est tout relaché, il a la bouche ouverte. L’hormone de croissance est secrétée. L’enfant peut grncer des dents, parler en dormant, faire pipi, être somnanbule. Le dormeur est coupé du reste du monde

30 Le sommeil et l’enfant Phase 3: La respiration devient irrégulière, le rythme cardiaque s’accélère, les yeux bougent sous les paupières. C’est la priode du rêve. Phase 4: L’enfant se retourne sur son matelas, laisse échapper un soupir. Il peut même ouvrir les yeux et replonger dans son sommeil. Cette phase annonce la fin d’un cycle et le début d’un nouveau cycle si l’enfant désire dormir encore.

31 Le sommeil et l’enfant Il est souhaitable d’observer le comportement de l’enfant lors de la sieste pour détecter les phases du sommeil. On pourra alors, si cela s’avère nécessaire, réveiller l’enfant sans casser son cycle de sommeil

32 Le sommeil et l’enfant Dormir, c’est vivre aussi… ».
Bien dormir est un gage de bonne santé chez l'enfant car le sommeil est indispensable à la vie. Pendant le sommeil, de nombreuses fonctions s'accomplissent. Le sommeil permet la récupération de la fatigue nerveuse et physique. Il est indispensable à la maturation du cerveau, à la mémorisation, et au bon développement corporel.

33 Le sommeil et l’enfant UN PETIT DODO OU UN REPOS L’APRÈS – MIDI.
Durant le sommeil profond l'organisme répare et regénère les tissus, construit les os et les muscles et renforce le système immunitaire UN PETIT DODO OU UN REPOS L’APRÈS – MIDI. C’EST PLEIN DE BON SENS


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