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Mieux comprendre le cerveau Ado

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Présentation au sujet: "Mieux comprendre le cerveau Ado"— Transcription de la présentation:

1 Mieux comprendre le cerveau Ado
Apprentissage passe par le coeur le 30 août 2010 Mieux comprendre le cerveau Ado Eva de Gosztonyi, psychologue, maître associé INSTITUT NEUFELD Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

2 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 La maturation La vulnérabilité L’attachement Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

3 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 La maturation du cerveau Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

4 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 La Recherche Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

5 QUELLE ÉMOTION VOYEZ-VOUS?
Deborah Yurgelun Todd (2002) PBS - Frontline QUELLE ÉMOTION VOYEZ-VOUS? Adultes - Peur Adolescents: 50% décodent la peur 50% décodent de la “tristesse”, de la confusion”, un état “de choc”.

6 Deborah Yurgelun Todd Amygdale Les jeunes Cortex pré-frontal Les adultes Pour décoder l’émotion, le jeune adolescent utilise l’amygdale alors que l’adulte utilise le cortex pré-frontal. Au fur à mesure que l’adolescent vieillit, le centre d’activité se déplace vers le cortex frontal et s’éloigne de l’amygdale.

7 Deborah Yurgelun Todd (2002)
Cette étude démontre que les adolescents se révèlent : Moins habiles dans leur raisonnement émotionnel, Montrent peu de signes d’introspection émotionnelle. Ont davantage de comportements impulsifs. Et décodent moins bien que l’adulte les indices émotionnels présentés par autrui.

8 Jay Giedd Depuis 1991 – étudie les cerveaux d’adolescents en santé par IRM (Imagerie par résonnance magnétique) Détermine que l’âge de la pleine maturation du cerveau est autour de ans. 26 Des différences majeures entre 15 et 35 ans se situent au niveau des matières grise et blanche. Matière grise = neurones Matière blanche = Enveloppe (gaine de myéline) – responsable de la vitesse de transmission des signaux nerveux.

9 Jay Giedd L’épaisseur maximale de la matière grise: chez les filles - 11 ans et les garçons - 12,5 ans À partir de là commence un processus d’élagage – ce qui n’est pas utilisé beaucoup est élagué pour fins de “spécialisation”. Le cerveau adolescent est très actif – INCONSISTENCE est la marque de commerce Beaucoup d’essais/erreurs Le cerveau est encore en développement.

10 Jay Giedd Le développement du cerveau – de l’arrière vers l’avant (du primitif au plus sophistiqué) Deux secteurs principaux sont “en construction” jusqu’à l’âge de 26 ans. Les lobes frontaux – les fonctions exécutives (système d’autorégulation) - la planification, l’organisation, l’établissement de priorités, l’inhibition des impulsions, la prise en compte des conséquences de ses actions. Le cervelet – Coordination des processus cognitifs – permettant d’accéder à différentes parties du cerveau rapidement et avec fluidité.

11 Marcel Brass & Martha Farah – Août 2007
AUTO-CONTROL – La décision de se retenir de faire quelque chose après y avoir réfléchi (Libre renoncement “Free Won’t”) L’activité était dans le cortex dorsal fronto-médian (une section dans la ligne médiane du cerveau, directement au-dessus des yeux.

12 L. Steinberg – Prise de risque et Développement du cerveau
Chez les adolescents: La partie émotionnelle du cerveau est plus facilement stimulée. Le système du contrôle cognitif se développe graduellement Chez les adultes: Le cerveau distribue ses responsabilités de régulation À TRAVERS UN SPECTRE OU RÉSEAU PLUS LARGE D’ÉLÉMENTS RELIÉS ENTRE EUX. Les adolescents – ou pensent moins ou pensent plus– (réactions plus “instinctives”).

13 Reyna and Farley 2006/Beyth-Marom et al. 1993
Les habiletés de raisonnement logique – (nos connaissances) un jeune de 15 ans a des habiletés comparables à ceux de l’adulte: Habileté à évaluer le risque Le jugement sur la gravité des conséquences Sous penser le rapport relatif coût/bénéfice d’une action. Le réseau de contrôle cognitif (Fonctions exécutives) continue de se développer jusqu’à la mi vingtaine (Steinberg 2004) Le contrôle des impulsions L’autorégulation et la régulation des émotions La tolérance du délai de gratification La résistance à l’influence des pairs.

14 Raisonnement logique Contrôle cognitif/fonctions exécutives

15 L. Steinberg – des jeux vidéos
Jeunes Adultes Jeunes Adultes Adolescents accidents Ado Adultes 3.4 2.9 2.4 1.9 1.4 0.9 0.4 Adultes seule avec les pairs

16 fonction préfrontale émotion

17 ILS SONT DE GRANDS ENFANTS
Michael Bradley La culture nord-américaine a tendance à considérer les adolescents comme de petits adultes, alors que neurologiquement ILS SONT DE GRANDS ENFANTS Ils leur manquent la capacité de l’adulte à mettre des freins “neurologique”

18 Quelles sont les implications de cette recherche?
L’éducation face aux drogues, à la sexualité, à la conduite automobile, etc.. Steinberg conclut: Plutôt que de donner davantage d’information, mettre le focus sur les limites à poser face aux opportunités présentées à un jeune au jugement immature qui l’empêche de bien évaluer la situation (ex. augmenter le prix des cigarettes; graduer les permissions, etc.)

19 Quelles sont les implications de cette recherche?
Jay Giedd: “Aider les jeunes pour COMPENSER ce que le cerveau ne peut encore faire en offrant STRUCTURE ORGANISATION DE LEUR TEMPS LES GUIDER LORS DE DÉCISIONS DIFFICILES APPLIQUER: - PATIENCE ET AMOUR

20 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 La vulnérabilité Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

21 three maturing processes labeled
G. Neufeld, Ph.D St-Jean-sur-Richelieu, 2010 three maturing processes labeled émergent intégratif adaptatif Tous droits réservés, 2010 Gordon Neufeld, Ph.D.

22 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 L’enfant est trop sensible pour son environnement Le SYSTÈME LIMBIQUE du CERVEAU OU Protège contre le stress contre la VULNÉRABILITÉ GILLES Pousse vers la maturité Ne peut pas faire les deux en même temps Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

23 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 STRESS STRESS L’ É ME R G E N C L’ADAPTATION L’INTÉGRATION Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

24 Le blocage provient de l’interaction entre :
Apprentissage passe par le coeur le 30 août 2010 Le blocage provient de l’interaction entre : HYPER- SENSIBILITÉ STRESS Séparation Honte Alarme Génétiques Des facteurs de stress prénataux et périnataux Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

25 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 L’APPRENTISSAGE AUGMENTE LES SENTIMENTS DE VULNÉRABILITÉ Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

26 Apprentissage passe par le coeur
Éléments d’observation – protection contre des sentiments de VULNÉRABILITÉ dans un milieu ÉDUCATIF le 30 août 2010 Évite de prendre des risques dans l’apprentissage: «c’est plate...» Peu enclin à examiner ses erreurs. Réticence à demander de l’aide. Hypersensibilité à l’humiliation. Difficulté à parler de ses problèmes, ses inquiétudes. Détachement : «je m’en fous…» Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

27 Apprentissage passe par le coeur
Difficultés d’apprentissage et de comportement le 30 août 2010 BLOQUÉ dans son développement Il lui MANQUE les sentiments essentiels nécessaires à la maturation SE DÉFEND contre la vulnérabilité de son expérience TROP GRANDE SENSIBILITÉ Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

28 commence ici FUTILITY DOESN’T SINK IN - insecurity - taking things into their own hands - taking care of oneself - COLLECTING THE UNCOLLECTIBLE - SPOILING - INDULGENT PARENTING Le sentiment d’impuissance (futilité) doit prendre place pour permettre l’adaptation

29 hourglass sentiments de frustration sentiments d’impuissance

30 sentiments de frustration sentiments d’impuissance Résistance à la
hourglass sentiments de frustration Résistance à la vulnérabilité sentiments d’impuissance

31 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 L’ATTACHEMENT L’ATTACHEMENT EST LE CONTEXTE D’APPRENTISSAGE PRIVILÉGIÉ POUR UN JEUNE IMMATURE Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

32 Apprentissage passe par le coeur
L’attachement facilite la dépendance le 30 août 2010 Ce qui fait l’attachement: …il donne le pouvoir de Il organise de manière hiérarchique s’occuper de l’enfant, de le prendre en charge et d’agir avec une autorité naturelle Il rend cher et tolérant l’aimer et de le supporter apporter réconfort, du repos et un refuge Il donne un chez soi Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

33 Apprentissage passe par le coeur
L’attachement facilite la dépendance le 30 août 2010 Ce qui fait l’attachement: …il donne le pouvoir de gagner l’attention de l’enfant, de le guider, de le diriger et de lui transmettre notre culture Apporte un point de repère Éveille les instincts de proximité le garder proche et de gagner sa loyauté Suscite le désir d’être bon pour ceux auxquels on est attaché agir avec un pouvoir et une autorité naturelle Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

34 Comment s’attache-t-on?
Le lien d'attachement Comment s’attache-t-on? le 4 novembre 2010 vulnérabilité maturité sens appartenance et loyauté être connu sentiment d’importance similitude attachement amour Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

35 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 LES INTERVENTIONS Favoriser au maximum l’attachement envers les adultes Minimiser les effets de l’immaturité Créer une communauté d’attachement Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

36 Apprentissage passe par le coeur
APPRIVOISER le 30 août 2010 Se placer face à l’autre (ou à l’intérieur de son espace) de manière amicale, aller chercher son regard, son sourire et un hochement de tête Offrir à l’autre un “contact proche” auquel se raccrocher Inviter l’autre à dépendre de vous Servir de point de repère Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

37 Favoriser l’attachement envers les adultes
Apprentissage passe par le coeur le 30 août 2010 Les saluer personnellement – chaque fois qu’on les voit. Prévoir des RITUELS D’ACCUEIL et de départ – focus sur l’adulte. Développer des rituels pour rassembler le groupe. Fournir un ancrage: Lorsqu’on a un premier contact, fournir un ancrage, c’est-à-dire quelque chose à quoi se raccrocher. Manifester de l’intérêt: exemple: un contact visuel, Quelque chose de gratuit et de personnel à quoi se raccrocher: Un petit mot, un clin d’oeil,l’accueil personnalisé à la porte de la classe: ex: “Ta partie de hockey s’est bien déroulée?”.. Tout ce qui indique qu’il a de l’importance à nos yeux de façon personnelle. Chez les élèves très défensifs, il faut être moins direct. Rechercher les similitudes par exemple: la couleur des yeux, le hockey, un groupe de musique. C’est une entreprise de séduction. Avec les adolescents, l’écrit fonctionne particulièrement bien. Démontrer de la loyauté: être fidèle à l’élève ne pas l’humilier, parler de lui négativement, attention aux conversations de corridor que les élèves peuvent surprendre. Au besoin, défendre sa position devant des collègues, éviter les mises à mort dans la salle des enseignants, respecter la confidentialité... Doser les félicitations: Les félicitations sont conditionnelles à la performance, si l’enfant échoue ou ne croit pas qu’il peut y arriver, alors l’élève immature ne s’accroche pas à ce moyen pourtant très utilisé dans nos écoles. Un élève carencé affectivement s’organisera pour bousiller ces félicitations car il croit mordicus qu’il ne les mérite pas. Y aller à petite dose. Surprendre: Accorder de l’attention positive à un moment ou l’élève ne s’y attend pas, faire une activité spéciale à l’occasion. Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

38 Apprentissage passe par le coeur
Stratégies le 30 août 2010 Apprivoiser avant d’intervenir Souligner ce qui va bien Le  Sandwich  « + » « - » « + » Développer des îlots de compétence Utiliser la structure: On oublie ou on laisse très souvent tomber cet aspect au secondaire. C’est très très sécurisant pour les enfants en difficulté: Les places, les déplacements permis ou non, comment remettre un travail, comment remplir l’agenda. Inscrire le menu de la période ou de la journée. Apprivoiser avant d’intervenir: Avec les jeunes en difficulté, il faut avant de donner des directives, se reconnecter à chaque fois. Ils ne sont pas rejoints par les directives de groupe. Les quelques secondes qu’on va prendre pour reprendre contact valent beaucoup: Nommer leur prénom, assurez la proximité physique, les regarder en parlant… Modeler un comportement mature: On peut enseigner des façons de résoudre les problèmes, de s’excuser, d’attendre son tour, les bonnes manières mais sans s’attendre à ce que ce soit intégré et que c’est-ce qui rend le jeune mature. On peut très bien s’excuser à 4 ans, mais ce ne sont pas des excuses sincères.Pour ce faire, il faut être capable de ressentir des sentiments partagés et de se mettre à la place de l’autre. L’attachement des élèves va les inciter à bien agir en notre présence. Cependant, ils ne vont pas nécessairement généraliser. Penser à l’exemple de l’enseignant de maternelle, comme Ma mère l’Oie. La société ne nous aide pas toujours en ce sens car la culture actuelle n’enseigne plus et n’applique plus les règles de base. Souligner ce qui va bien: Plusieurs jeunes apprennent de leurs erreurs. Ce n’est pas le cas des enfants bloqués. Pas nécessaire d’ensanglanter les copies. Très souvent, ça va les mettre en état de défense pour ne pas ressentir leur vulnérabilité. Même chose pour le comportement. Ne pas exiger que l’élève admette tous ses torts, une partie seulement. Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

39 Créer un lien d’attachement
Inviter à la dépendance : Apporter notre aide et notre soutien. Assurer la sécurité physique et affective. Encourager la dépendance face à nous. Inviter à la dépendance: Apporter notre aide: “Tu peux compter sur moi, je vais t’aider, etc, je suis là pour toi” Je vais toujours répondre aux demandes d’aide”. En offrir plus que le client en demande. Si on ne peut donner le support dans l’immédiat, dire à quel moment on pourra le faire. Assurer la sécurité physique et affective: Le plus possible: assurer que les élèves ne se blessent pas physiquement mais aussi émotivement. Être présent dans les transitions Nous sommes obsédés par l’autonomie et nous avons l’impression de pouvoir la susciter en contrecarrant la dépendance. On devient autonome lorsque nos besoins de dépendance ont été comblés. C’est un processus. Ce n’est pas comme les oiseaux qu’on jette en bas du nid. Le retrait du support doit être très très progressif après en avoir donné ! Le fait de les pousser à l’extérieur du nid ne les incite pas à voler, mais plutôt à paniquer ou à se chercher un autre nid, par exemple, un groupe de pairs déviants. Nicholas

40 Lors de périodes difficiles
S’il faut utiliser les mesures disciplinaires, l’adulte doit aller chercher le jeune pour rétablir le lien. Il faut convaincre le jeune que le lien va survivre à n’importe quelle difficulté. Détourner l’attention: Au moment d’une grande frustration: au lieu de fixer sur le problème, faire diversion, comme on le ferait avec un enfant de deux ans qui fait une crise de centre d’achats. Offrir des choix: Ça donne du pouvoir à l’élève. L’adulte limite les choix en s’assurant de la possibilité de l’élève de réussir à l’intérieur de ces choix.Tu travailles avec Jonathan ou seul. Au retour du dîner, tu passes les feuilles aux autres ou tu te mets à travailler… Battre en retraite quand ça va mal: Se retirer pour revenir dans un meilleur contexte: laisser un délai raisonnable à l’enfant pour que son attitude défensive s’abaisse ( utiliser la diversion, lui changer les idées ou s’éloigner…) Je vois que tu es fâché, je viendrai te voir un peu plus tard. Par la suite, lorsqu’il est plus réceptif, discuter du comportement. L’enfant immature ne vit qu’une émotion à la fois. Si nous parlons du comportement fautif, notre ton de voix et nos paroles démontrent que la relation n’est pas en jeu. Les mesures disciplinaires: Les mesures disciplinaires vont favoriser les apprentissages seulement lorsqu’elles sont utiliser dans un contexte relationnel. Dépersonnaliser l’intervention le plus possible lorsqu’on doit utiliser les mesures disciplinaires: Utiliser des formules neutres comme « Dans notre école… » « La règle dit… », « c’est plate, on va devoir te suspendre car c’est une règle du code de vie de l’école, mais je vais t’attendre au retour ». Stratégiquement, les mesures les plus lourdes comme les suspensions devraient être annoncées par la direction. Lorsque ça va mal, utiliser notre lien pour aider l’élève plutôt que d’être fâché à notre tour. Garder un lien avec l’élève durant la suspension : vérifier par télépĥone si tout va bien et s’il a besoin de support. Utiliser la réparation lorsque c’est possible. Favoriser les mesures qui préservent la dignité de l’élève: Attention aux listes et systèmes d’émulation affichés dans les classes, au piquet, aux résultats nommés par ordre décroissants, aux excuses publiques.

41 Apprentissage passe par le coeur
le 30 août 2010 « Gagner le cœur pour ouvrir l’esprit » Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

42 MINIMISER LES EFFETS DE L’IMMATURITÉ
ANTICIPER :Ajuster les circonstances et les situations : MINISTÈRE DES TRANSPORTS Prendre en charge les décisions Prévenir les situations problématiques

43 CRÉER UNE COMMUNAUTÉ D’ATTACHEMENT
Les autres adultes Liste des jeunes et leurs « attachants »

44 the armoured heart- master
Apprentissage passe par le coeur le 30 août 2010 L’ADULTE Le jeune a t c h m e n e e Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld

45 Basé sur le paradigme de Gordon Neufeld
Apprentissage passe par le coeur le 30 août 2010 Basé sur le paradigme de Gordon Neufeld Retrouver son rôle de parent Gordon Neufeld est un psychologue du développement de la région de Vancouver qui a été invité au Québec par les services régionaux de soutien. Il était à Montréal ces deux dernières années. Ses propos sur les besoins des jeunes en difficulté sont très différents de tout ce qu’on entend à l’heure actuelle, en ce qu’il s’attache davantage à donner un sens aux difficultés de ces jeunes plutôt que de fixer uniquement sur les symptômes (approche catégorielle) ou les comportements observés. Lorsqu’on comprend d’où viennent les difficultés, il est beaucoup plus facile d’être guidé dans les interventions appropriées. Personnellement, ses propos m’ont beaucoup rejoint car ils ont confirmé la pertinence de ce que je faisais déjà: D’abord développer un lien avec les jeunes en difficulté ou accompagner les enseignants à développer ce lien. Si on adhère à cette façon de voir, nous comprendrons que nos élèves en difficulté sont victimes de blocages dans leur développement et sont foncièrement immatures au plan psychologique. Notre rôle sera de les accompagner dans leur développement en tenant compte d’où ils sont rendus. Notre façon de les voir modifiera nos attentes à leurs égards. Certains de ses propos sont bousculants entre autres sa position par rapport aux relations avec les pairs. Il faut les voir dans le cadre de l’intervention auprès des élèves en difficulté qui demandent une approche différenciée car ils ne sont pas comme les autres! On ne peut refaire la même chose pour eux ! Comment être plutôt que quoi faire ! Docteur en psychologie du développement Canadien, Colombie-Britannique Eva de Gosztonyi, psychologue, Institut Neufeld


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