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As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société.

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1 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 1 Disclaimer The Canadian Cardiovascular Society (CCS) welcomes reuse of our educational slide deck for medical institution internal education or training (i.e. grand rounds, medical college/classroom education, etc.). However, if the material is being used in an industry sponsored CME program, permission must be sought through our publisher Elsevier (www.onlinecjc.com).www.onlinecjc.com If your reuse request qualifies as medical institution internal education, you may reuse the material under the following conditions: You must cite the Canadian Journal of Cardiology and the Canadian Cardiovascular Society as references. You may not use any Canadian Cardiovascular Society logos or trademarks on any slides or anywhere in your presentation or publications. Do not modify the slide content. If repeating recommendations from the published guideline, do not modify the recommendation wording. Renonciation La Société canadienne de cardiologie (SCC) encourage la réutilisation des diaporamas éducatifs aux fins d’éducation ou de formation interne dans les établissements médicaux (p. ex., grandes rondes, formation médicale universitaire en classe, etc.) Cependant, quand ce matériel est utilisé dans le cadre d’un programme de FMC commandité par l’industrie, il est sujet à l’autorisation de notre éditeur Elsevier (www.onlinecjc.com).www.onlinecjc.com Si votre réutilisation se qualifie à titre de formation interne d’un établissement médical, vous pouvez réutiliser le matériel aux conditions suivantes : Vous devez citer le Journal canadien de cardiologie et la Société canadienne de cardiologie comme références. Vous ne pouvez pas utiliser les logos ou marques de commerce de la Société canadienne de cardiologie sur aucune diapositive ni ailleurs dans votre présentation ou dans vos publications. Il est interdit de modifier le contenu des diapositives. En répétant les recommandations de lignes directrices publiées, il est interdit de modifier le libellé des recommandations.

2 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 2 Lignes directrices de la Société canadienne de cardiologie MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte

3 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 3 Todd J Anderson, M.D., Institut cardiovasculaire Libin d'Alberta, Université de Calgary (Alberta) Jean Grégoire, M.D., Institut de cardiologie de Montréal, Université de Montréal (Québec) Robert A. Hegele, M.D., Institut de recherche Robarts, London (Ontario) Patrick Couture, M.D., Centre hospitalier universitaire de Québec, Québec (Québec) G. B. John Mancini, M.D., Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Colombie-Britannique) Ruth McPherson, M.D., Ph.D., Institut de cardiologie de l'Université d'Ottawa (Ontario) Gordon A. Francis, M.D., St Paul’s Hospital, Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Colombie-Britannique) Paul Poirier M.D., Ph.D., Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec, Québec (Québec) David C. Lau M.D., Ph.D., Institut cardiovasculaire Libin d'Alberta, Université de Calgary (Alberta) Steven Grover, M.D., Centre de santé de l’Université McGill, Montréal (Québec) Jacques Genest Jr., M.D., Centre de santé de l’Université McGill, Montréal (Québec) André C. Carpentier, M.D., Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke, Sherbrooke (Québec) Robert Dufour MD, Institut de recherches cliniques de Montréal, Montréal, Québec Milan Gupta, M.D., département de médecine, Université McMaster, Hamilton (Ontario) Richard Ward, M.D., Université de Calgary (Alberta) Lawrence A. Leiter, M.D., St Michael’s Hospital, Université de Toronto (Ontario) Eva Lonn, M.D., Institut de recherche sur la santé de la population, Université McMaster, Hamilton (Ontario) Dominic S. Ng, M.D., Ph.D., St Michael’s Hospital, Université de Toronto (Ontario) Glen J. Pearson, Pharm.D., Mazankowski Alberta Heart Institute, Université de l'Alberta, Edmonton (Alberta) Gillian M. Yates, maîtrise en soins infirmiers, IP, QE II Health Sciences Centre, Halifax (Nouvelle-Écosse) James A. Stone, M.D., Ph.D., Institut cardiovasculaire Libin d'Alberta, Université de Calgary (Alberta) Ehud Ur, B.M., Université de Colombie-Britannique, Vancouver (Colombie-Britannique) Panel principal Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

4 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 4 Introduction Todd J Anderson, M.D. Sujets qui doivent faire l'objet d'un dépistage et évaluation du risque Robert Dufour, M.D. Niveaux de risque Milan Gupta, M.D. Épreuve secondaire Todd Anderson, M.D. Mode de vie sain Gillian M. Yates, maîtrise en soins infirmiers, IP Intolérance à la statine Glen J. Pearson, Pharm.D. Cas Jean Grégoire, M.D. Questions ouvertes Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

5 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 5 Changements depuis 2009 Recommandations GRADE Ajout de définitions et d'un traitement de la néphropathie chronique Traitement du diabète à un plus jeune âge – harmonisation de l'ACD Ajout de cholestérol non-HDL comme cible de remplacement Recommandation de l'épreuve secondaire chez des patients sélectionnés Recommandations plus précises afin de modifier son comportement pour avoir un mode de vie sain Approche de l'intolérance à la statine Détermination de l'âge cardiovasculaire Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

6 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 6 MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte Sujets qui doivent faire l'objet d'un dépistage et évaluation du risque Robert Dufour, M.D.

7 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 7 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

8 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 8 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

9 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 9 Évaluation du risque 1. Nous recommandons qu'une évaluation du risque cardiovasculaire, utilisant le « risque sur 10 ans », offert par le modèle Framingham, soit effectuée tous les 3 à 5 ans chez les hommes âgés de 40 à 75 ans, et chez les femmes âgées de 50 à 75 ans. Cette évaluation doit être modifiée (pourcentage de risque doublé) lorsqu'il existe des antécédents familiaux positifs de MCV précoce (c.-à-d. 1 0 membres de la famille 1 facteur de risque pour la MCV précoce pourraient aussi profiter d'une évaluation de risque qui les encouragerait à améliorer leur mode de vie. (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

10 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 10 Journal can. de cardiologie, vol. 22, n o 7, 15 mai 2006 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie (publié en anglais seulement) Évaluation du risque et modèle Framingham

11 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 11 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Estimation de risque de MCV sur 10 ans (Score de risque de Framingham)

12 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 12 MCV − Risque cardiovasculaire chez les hommes POINTSRISQUEPOINTSRISQUEPOINTSRISQUE -3 ou moins< 1 %53,9 %1315,6 % -21,1 %64,7 %1418,4 % 1,4 %75,6 %1521,6 % 01,6 %86,7 %1625,3 % 11,9 %97,9 %1729,4 % 22,3 %109,4 %18+> 30 % 32,8 %1111,2 % 43,3 %1213,3 % Multiplié par 2 s'il y a des antécédents familiaux positifs de MCV précoce Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

13 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 13 Limites des estimations de risque sur 10 ans Sensible à l'âge du patient La majorité des sujets présentent un faible risque Plus grande précision parmi les sujets plus jeunes Augmentation du risque concurrent avec l'âge (c.-à-d. le cancer) Catégories de risque (faible, modéré, élevé) sélectionnées arbitrairement par consensus Compréhension et utilisation sous-optimales En dépit des limites, l'évaluation du risque de MCV total améliore la gestion de la pression artérielle et des lipides sanguins. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

14 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 14 Jackevicius CA, Mamdani M, Tu JV. Adherence with statin therapy in elderly patients with and without acute coronary syndromes. JAMA. 2002;288(4):462-467 L'observance du traitement à base de statine est sous-optimale chez les Canadiens Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

15 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 15 Évaluation du risque : Recommandation 2 1.Nous recommandons de calculer et d'examiner « l'âge cardiovasculaire » d'un patient afin d'améliorer la probabilité que les patients atteignent les cibles de lipides, et qu'une hypertension mal maîtrisée soit traitée. (Forte recommandation, données probantes de haute qualité). Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

16 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 16 Évaluation du risque : Valeurs et préférences La principale évaluation du risque est le score de risque de Framingham (SRF) modifié sur 10 ans. Étant donné le chevauchement des facteurs de risque de diabète, une évaluation simultanée du risque cardiométabolique pour le diabète peut être utile afin de motiver une personne à modifier son mode de vie. Il est bien connu que le risque sur 10 ans n'explique pas complètement le risque chez les sujets plus jeunes. Il a été démontré que chez ces personnes, le calcul de l'âge cardiovasculaire pouvait les motiver à atteindre les cibles de facteur de risque. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

17 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 17 Évaluation du risque : Conseil pratique Pour les patients de plus de 75 ans, le modèle de Framingham n'est pas très bien validé. Même si des études cliniques examinent actuellement ce groupe, un jugement clinique en consultation avec le patient est requis à ce moment pour déterminer la valeur de la pharmacothérapie. Une approche consiste à extrapoler le SRF modifié, et les résultats indiquent que la plupart des sujets présentent un risque de modéré à élevé en se basant sur l'âge. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

18 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 18 Tableaux d'âge cardiovasculaire / Diabète : NON Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

19 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 19 Tableaux d'âge cardiovasculaire / Diabète : OUI Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

20 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 20 Tableaux d'âge cardiovasculaire / Diabète : NON Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

21 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 21 Tableaux d'âge cardiovasculaire / Diabète : OUI Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

22 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 22 MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte Niveaux de risque Milan Gupta, M.D.

23 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 23 Recommandations dans les cas de faible risque 1.Pharmacothérapie avec C-LDL ≥ 5,0 mmol/L, ou données probantes de dyslipidémie génétique (p. ex., hypercholestérolémie familiale) (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 2.>50 % de réduction de C-LDL après le début du traitement (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée ) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

24 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 24 Recommandations dans les cas de faible risque Valeurs et préférences : Aucun changement. Moins de données probantes d'essais cliniques, de sorte que les pratiques varieront et dépendront des souhaits des patients et de l'évaluation clinique. Pour les sujets présentant un risque de 5 à 9 % : - surveillance du risque plus fréquente - examen des risques ou des avantages du traitement à base de statine - utilisation judicieuse de l'épreuve secondaire. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

25 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 25 Recommandations dans les cas de risque modéré 1.Catégorie de risque modéré : SRF ajusté > 10 % et < 20 % (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 2.Traiter les sujets présentant un risque modéré avec C-LDL > 3,5 mmol/L (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 3.Chez les sujets présentant un risque modéré avec C-LDL < 3,5 mmol/L, apo B ≥ 1,2 g/L ou C-non-HDL ≥ 4,3 mmol/L peuvent aider à repérer les patients qui pourraient profiter d'une pharmacothérapie (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 1.Viser C-LDL 50 % de réduction après le début du traitement (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). Cibles de remplacement : apo B < 0,8 g/L ou cholestérol non-HDL < 2,6 mmol/L (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

26 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 26 C-non-HDL comme cible de remplacement de C-LDL Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie,,,,,,

27 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 27 Risque modéré et non-HDL : Valeurs et préférences Ajouter le C-non-HDL semble contredire le principe de simplification des lignes directrices. Cependant, l'apo B n'est pas disponible dans certaines administrations, tandis que le C-non-HDL l'est sans épreuve ou frais supplémentaires. En outre, de plus en plus de données montrent ses avantages possibles comparativement au C-LDL : facteur de prévision supérieur, aucun jeûne nécessaire. En conséquence, il a été nécessaire d'accroître son profil dans les lignes directrices. Le C-non-HDL serait particulièrement utile lorsque l'apo B n'est pas disponible, et les triglycérides > 1,5 mmol/L. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

28 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 28 Recommandations dans les cas de risque élevé 1.Un risque élevé est relevé chez les personnes souffrant d'athérosclérose clinique, ou âgées de plus de 30 ans et atteintes de diabète depuis plus de 15 ans, ou âgées de plus de 40 ans et souffrant de diabète, ou ayant reçu un score de risque de Framingham ajusté de ≥ 20 %. (Forte recommandation, données probantes de haute qualité). Nous incluons maintenant l'anévrisme de l'aorte abdominale, la néphropathie à risque élevé (DFGe < 45) et l'hypertension à risque élevé dans cette catégorie. (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 2.Valeurs cibles de traitement pour C-LDL 50 % pour une baisse optimale du risque. (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée). 3.L'apo B (< 0,80 g/L) ou le C-non-HDL (< 2,6 mmol/L) doivent être considérés comme des remplacements. (Forte recommandation, données probantes de haute qualité). Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

29 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 29 Risque élevé : Valeurs et préférences Notre décision d'ajouter la néphropathie chronique (DFGe < 45) à la catégorie de risque élevé est fondée sur d'importantes données épidémiologiques émergentes, ainsi que sur l'étude publiée récemment portant sur la protection du cœur et des reins, intitulée Study of Heart and Renal Protection (SHARP). Le traitement de la dyslipidémie chez les personnes subissant des séances d'hémodialyse prête toujours à controverse, et une décision individuelle est nécessaire. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

30 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 30 Stratification du risque avec le score de risque de Framingham (SRF) et le phénotype Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

31 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 31 Stratification du risque pour les sujets présentant un risque modéré Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

32 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 32 Niveaux de risque - Conseils pratiques : Le C-LDL demeure la principale cible dans les lignes directrices. Les cliniciens sont encouragés à se familiariser avec l'utilisation du C- LDL, et l'une des deux cibles de remplacement. Nous ne recommandons pas l'utilisation des 3 indices à la fois régulièrement, ou des épreuves de dépistage du C-LDL, du C ‑ non ‑ HDL et de l'apo B en même temps chez les sujets. Dans le cas de ceux pour qui l'apo B est disponible et qui peuvent l'utiliser confortablement, il existe des avantages qui ont été traités précédemment. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

33 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 33 Résumé des seuils de traitement et des cibles fondés sur le score de risque de Framingham (SRF), avec ajustement pour les antécédents familiaux Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

34 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 34 MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte Épreuve secondaire Todd J Anderson, M.D.

35 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 35 Épreuve secondaire 1. Nous recommandons une épreuve secondaire pour évaluer davantage le risque chez les sujets présentant un « risque modéré » (10 à 19 % SRF après ajustement pour les antécédents familiaux), qui ne sont pas candidats au traitement pour les lipides en se fondant sur les facteurs de risque traditionnels, ou pour qui le choix d'un traitement est incertain. (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

36 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 36 Épreuve secondaire 2. Nous proposons d'envisager l'épreuve secondaire pour un sous-groupe sélectionné de sujets présentant un « risque de faible à modéré » (5 à 9 % SRF après ajustement pour les antécédents familiaux), pour qui une évaluation supplémentaire du risque est indiquée, p. ex. : antécédents familiaux très nets de MCV précoce, obésité abdominale, ascendance sud- asiatique ou tolérance au glucose atteinte. (Recommandation faible, données probantes de faible qualité) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

37 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 37 Biomarqueurs facultatifs pour une évaluation du risque supplémentaire BiomarqueurIndications pour des épreuvesFréquence des épreuvesÉcart normal Lp(a) Évaluation du risque supplémentaire surtout chez les personnes qui ont des antécédents familiaux de MCV précoce Facteur de risque déterminé génétiquement Épreuves répétées non requises < 30 mg/dl (< 300 mg/L) hsCRP Hommes > 50 ans et femmes > 60 ans qui ne sont pas candidats à une ordonnance à base de statine pour les facteurs de risque traditionnels Tous les 3 ans à partir de 50 ans (H) et 60 ans (F) Si > 2,0 mg/L, répéter après 2 à 4 sem., utiliser une valeur inférieure pour l'évaluation du risque < 1,0 risque le plus faible > 2,0 risque accru > 3,0 risque élevé A1C Évaluation du risque supplémentaire chez des sujets sélectionnés présentant une glycémie à jeun > 5,6 mmol/L Tous les 1 à 5 ans Plus fréquemment s'il y a gain de poids ou une glycémie à jeun accrue < 5,5 % faible risque 5,5 à 6,0 % risque modéré 6,0 à 6,5 % risque élevé > 6,5 % diabète Albumine/créatinine urinaire DT2 HTN mal maîtrisée Patients sélectionnés qui ne sont pas candidats à l'ordonnance à base de statine en s'appuyant sur les facteurs de risque traditionnels Tous les ans pour les patients souffrant d'un DT2 ou d'une HTN mal maîtrisée < 3 mg/mmol Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

38 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 38 Choisir une épreuve appropriée pour le patient individuel (et non plusieurs épreuves) Lp(a) : 30 à 70 mg/dl signifie un risque accru d'environ 1,3 X; > 80 mg/dl, un risque accru de MCV d'environ 1,5 X Une hsCRP > 2 mg/dl est associée à un risque accru de MCV d'environ 1,5 à 2,0 X L'hémoglobine glycosylée (HbA1c) de 6,0 à 6,5 % est associée à un risque accru de MCV d'environ 1,5 à 1,8 X La microalbuminurie est associée à un risque accru de MCV d'environ 1,5 X Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

39 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 39 Examens non effractifs facultatifs pour évaluer le risque davantage Examen non effractif Indications pour des épreuvesÉcart normalFréquence des épreuves Épreuve à l'effort notée Adultes asymptomatiques sélectionnés, qui présentent des facteurs de risque de MCV, surtout ceux qui commencent un programme d'activité physique vigoureuse Adultes sélectionnés dans la catégorie de risque modéré Score Duke a Faible risque ≥ +5 Risque modéré -10 à +4 Risque élevé ≤ -11 Tous les 3 à 10 ans ou si des symptômes se manifestent Imagerie de la carotide Patients asymptomatiques sélectionnés, qui ne sont pas candidats à l'ordonnance à base de statine en s'appuyant sur les facteurs de risque traditionnels. Seulement dans les centres spécialisés Épaisseur de la média et intima de la carotide < 1,0 mm Aucune plaque visible b Tous les 5 à 10 ans tel qu'indiqué pour une nouvelle réévaluation du risque Indice tibio- brachial Patients adultes asymptomatiques sélectionnés, qui ne sont pas candidats à l'ordonnance à base de statine en s'appuyant sur les facteurs de risque traditionnels (particulièrement les fumeurs, les patients souffrant de diabète) Indice tibio-brachial 1,0 à 1,3 c Tous les 5 à 10 ans tel qu'indiqué pour une nouvelle réévaluation du risque ou si des symptômes se manifestent CACPatients asymptomatiques sélectionnés qui ne sont pas candidats à l'ordonnance à base de statine en s'appuyant sur les facteurs de risque traditionnels CAC Faible risque 0 Risque accru 0 – 100 Risque élevé 100-300 d Risque très élevé > 300 e CAC = 0 tous les 10 ans selon les indications cliniques CAC = 0 – 100 Tous les 3 à 5 ans si le traitement est différé Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

40 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 40 Choix et interprétation d'examen non effractifs Épreuve à l'effort notée : Peut être indiquée pour un patient sédentaire qui souhaite commencer un programme d'activité physique. Noter que le risque de MCV est aussi accru chez les sujets présentant une faible capacité d'activité physique (< 6 pour le syndrome métabolique) Indice tibio-brachial : À envisager pour le patient soupçonné de souffrir d'une MAP. Un indice tibio-brachial < 0,90 est une indication pour un traitement intensif à base de statine Épaisseur de la média et intima de la carotide (EMIC) : Chaque augmentation de 0,1 mm d'EMIC est associée à un risque accru de 10 % d'IM, et à un risque accru de 13 % d'AVC. Les plaques de la paroi artérielle visibles qui présentent une EMIC > 1,5 mm ou des valeurs EMIC > 75 % pour l'âge et le sexe sont considérées comme des signes manifestes d’athérosclérose subclinique et une indication justifiant un traitement à base de statine Calcification des artères coronaires : Valeur progressive la plus élevée sauf l'exposition au rayonnement, et non généralement disponible. Avec une valeur de CAC > 100, le traitement à base de statine est généralement indiqué. Une valeur de CAC > 300 place le patient dans la catégorie de risque très élevé (risque sur 10 ans de décès à la suite d'un IM ou d'une MCV = 28 %) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

41 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 41 Eva Lonn

42 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 42 Nouveaux marqueurs du risque d'athérosclérose Lorenz et coll. Circulation, 2007; 115:459 (publié en anglais seulement) Analyse de l'équivalent métabolique chez 37 197 sujets 8 études, 12 publications d'EMI Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

43 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 43 EMI et discrimination, reclassification Méta-analyse utilisant épaisseur intima-média – 15 vastes études de cohortes – 45 000 sujets – 4 007 premiers IM ou AVC – Statistique-C 0,757 et aucune modification avec EMI – Amélioration nette de reclassification significative, mais 0,8 % étant donné la taille de l'échantillon – Amélioration nette de nouvelle reclassification de l’ordre de 3,6 % pour les cas de risque modéré Den Ruijiter. JAMA, 2012; 308:796- Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

44 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 44 Calcification des artères coronaires Due à l'athérosclérose Associée à l'âge et aux facteurs de risque Non associée à la sténose, mais au volume de plaque Peut être détectée par la tomodensitométrie à faisceau d'électrons (TFE) ou la tomodensitométrie à multidétecteurs La dose de rayonnement est modérée (0,5 à 1,5 mSev et l'acquisition très rapide) Variance d'environ 40 % pour les mesures répétées Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

45 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 45 Score de calcification des artères coronaires – Prévalence Tota-Maharaj. EHJ, 2012;33:2955 Groupe asymptomatique : 44 052 CAC associée à toutes les causes de mortalité pour tous les groupes d'âge Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Àge

46 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 46 Score de calcification des artères coronaires - Prognostic Multi-Ethnic Study of Atherosclerosis (MESA) (Étude multiethnique de l'athérosclérose) – 6 722 sujets 162 événements RR 7,08 pour des événements coronariens majeurs avec CAC >100 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Detrano. NEJM, 2008;356:1336 (publié en anglais seulement)

47 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 47 Comparaison des nouveaux marqueurs de risque Yeboah. JAMA, 2012;308:788 Étude multiethnique de l'athérosclérose 1 330 sujets présentant un risque modéré CAC, EMI, protéine C-réactive, AF et indice tibio-brachial 123 événements de MCV EMI de la carotide non associée à des événements, tandis que d'autres le sont. CAC le meilleur Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

48 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 48 MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte Mode de vie sain Gillian M. Yates, maîtrise en soins infirmiers, IP

49 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 49 Stratégie de recherche Mise à jour des lignes directrices alimentaires internationales et américaines pour le traitement de la dyslipidémie et des maladies cardiovasculaires depuis 2007 Mise à jour des lignes directrices sur l'activité physique pour le traitement de la dyslipidémie et des maladies cardiovasculaires depuis 2007 Trois sujets principaux doivent être examinés : 1.L'effet des régimes alimentaires et de la composition en macronutriments dans les interventions d'une durée ≥ 8 semaines 2.L'effet de l'activité physique dans les interventions d'une durée ≥ 8 semaines 3.L'effet des modifications du comportement en vue d'adopter un mode de vie sain (c.-à-d. une modification du mode de vie combinée à un régime alimentaire et à l'activité physique, avec ou sans perte de poids) dans les interventions d'une durée ≥ 8 semaines Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

50 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 50 Modification du mode de vie Les interventions visant à modifier le comportement pour adopter un mode de vie sain sont les pierres angulaires de la gestion et de la prévention des maladies cardiovasculaires. – Régime alimentaire – Activité physique – Consommation d'alcool – Tabagisme – Stress et problèmes de santé mentale Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

51 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 51 Tableau 7. Avantages prévus d'une modification du comportement pour adopter un mode de vie sain Intervention (dose minimale pour obtenir un effet)Résultat prévu Apport alimentaire en cholestérol 98 < 300 mg/jour (régime alimentaire de l'étape 1 du NCEP) < 200 mg/jour (régime alimentaire de l'étape 2 du NCEP) ↓ C-LDL 10 à 12 % 12 à 16 % Acides gras saturés < 7 % de l'apport calorique quotidien 107 ↓ C-LDL 5 à 10 %; ↓ mortalité due aux MCV 14 % Phytostérols 1 à 2 g/jour 100 ↓ C-LDL 5 à 8 % Protéines de soya avec isoflavones 25 g/jour 101 ↓ C-LDL 3 à 5 % Fibre visqueuse 10 g/jour 102 ↓ C-LDL 3 à 5 % Noix 30 à 67 g/jour 103 ↓ C-LDL 5 à 7 %, ↓ TG 5 à 10 % Régime alimentaire de type portefeuille 104 ↓ C-LDL 8 à 14 % Régime alimentaire de type méditerranéen 105 ↓ C-LDL 5 à 10 %; ↓ mortalité due aux MCV Régime alimentaire DASH (Dietary Approaches to Stop Hypertension - Approches alimentaires pour arrêter l'hypertension artérielle) 106 ↓ Mortalité chez ceux souffrant d'hypertension Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

52 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 52 Tableau 7. Avantages prévus d'une modification du comportement pour adopter un mode de vie sain Intervention (effet d'une dose minimale)Résultats prévus Consommation modérée d'alcool, 1 à 2 consommations/jour↑ HDL 5 à 10 %, ↓ événement de MCV Perte de poids et réduction de l'obésité abdominale 42 ↓ C-LDL, ↑ HDL, ↓ TG, 5 à 10 % de perte de poids corporel↓risque cardiométabolique Oméga -3 - 2 à 4 g d'acide eicosapentanoïque (AEP) plus↓ TG 25 à 30 % de points avec acide docosahexanoïque (ADH)/jour ↑ TG Activité physique 109,110 ↑ HDL 5 à 10 %, De 30 à 60 min/jour d'activité physique de modérée à vigoureuse ↓ événements de MCV La cessation du tabagisme ↑ HDL, ↓ événements de MCV Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

53 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 53 Recommandations Nous recommandons que toutes les personnes soient encouragées à adopter des habitudes alimentaires saines afin d'abaisser leur risque cardiovasculaire (MCV) : 1.Avoir un apport modéré en énergie (calorique) pour atteindre et maintenir un poids corporel sain. 2.Insister sur un régime alimentaire riche en légumes, en fruits, en céréales de grains entiers, et en huiles polyinsaturées et monoinsaturées, y compris les acides gras oméga-3 provenant en particulier du poisson. 3.Éviter les gras trans, et limiter les graisses saturées et totales à, respectivement, < 7 % et < 30 % de l'énergie (calorique) totale quotidienne. 4.Augmenter l'apport quotidien en fibres à > 30 g 5.Limiter l'apport en cholestérol à 200 mg quotidiennement pour les personnes atteintes de dyslipidémie ou présentant un risque accru de MCV. (Recommandation conditionnelle, données probantes de qualité modérée) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

54 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 54 Recommandations Nous recommandons les régimes alimentaires méditerranéen, de portefeuille ou DASH pour améliorer les profils de lipides ou réduire le risque de MCV, (Forte recommandation, données probantes de haute qualité) et une augmentation de l'apport en phytostérols, en fibres solubles, en soya et en noix pour réduire le cholestérol. (voir le tableau 7) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

55 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 55 Recommandations Nous recommandons que les adultes accumulent au moins 150 minutes d'activité physique aérobique de modérée à vigoureuse par semaine, en séances de 10 minutes ou plus, pour réduire le risque de maladie cardiovasculaire. (Forte recommandation, données probantes de haute qualité) Nous recommandons d'abandonner le tabagisme (Forte recommandation, données probantes de qualité modérée) et de limiter l'apport en alcool à 30 g ou moins par jour (1 à 2 consommations) (Recommandation conditionnelle, données probantes de qualité modérée) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

56 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 56 MISE À JOUR 2012 Diagnostic et traitement de la dyslipidémie pour la prévention des maladies cardiovasculaires chez l'adulte Intolérance à la statine Glen J. Pearson, Pharm.D.

57 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 57 Recommandations relatives à l'intolérance à la statine 1.Étant donné que, globalement, les risques-avantages encouragent le traitement des patients qui répondent aux critères pour un traitement hypolipidémiant et la réduction du risque cardiovasculaire, nous recommandons que : i.en dépit d'inquiétudes concernant divers autres effets indésirables possibles, tous les prétendus symptômes associés à la statine soient évalués systématiquement, intégrant l'observation pendant la cessation, le redémarrage (même statine ou statine différente ou de puissance inférieure, fréquence des doses identique ou réduite) afin de déterminer un traitement à base de statine toléré pour utilisation chronique; (Recommandation forte, données probantes de très faible qualité) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

58 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 58 Recommandations relatives à l'intolérance à la statine 1.Étant donné que, globalement, les risques-avantages encouragent le traitement des patients qui répondent aux critères pour un traitement hypolipidémiant et la réduction du risque cardiovasculaire, nous recommandons que : (suite) ii.L'administration de statines ne doit pas être évitée en s'appuyant sur un faible risque possible de nouveau début de diabète sucré pendant un traitement à long terme. (Recommandation forte, données probantes de très faible qualité) 2. Nous ne recommandons pas les vitamines, les minéraux ou les suppléments pour traiter des symptômes de myalgie qui pourraient être perçus comme associés aux statines. (Recommandation forte, données probantes de très faible qualité). Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

59 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 59 Conseil pratique pour les cas d'intolérance aux statines On doit conseiller aux patients de mettre fin au traitement à base de statine, et de communiquer avec le dispensateur de soins prescripteur, si des symptômes inquiétants se manifestent. La quantité d'efforts consacrés à poursuivre le traitement à base de statine chez les sujets présentant des effets indésirables doit être directement liée au niveau de risque pour un patient individuel. Chez ceux dont le risque est le plus élevé, toutes les solutions doivent être utilisées avant de remplacer le traitement hypolipidémiant ou de mettre fin à tout traitement de ce type. Le traitement d'association à plus faible dose demeure une solution pour ces patients. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

60 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 60 Conseil pratique pour les cas d'intolérance aux statines On doit insister fortement sur une approche non pharmacologique plus dynamique telle que la modification du régime alimentaire et l'activité physique. Dans le cas de sujets présentant un risque plus faible, qui ne tolèrent pas le traitement à base de statine, une nouvelle évaluation de la nécessité d'un traitement hypolipidémiant doit précéder l'adoption d'une thérapie de remplacement parce que les études sur les résultats ne sont pas aussi solides. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

61 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 61 Algorithme de gestion des symptômes musculaires causés par les statines Mancini GBJ, Baker S, Bergeron J et coll. Journal can. de cardiologie, 2011; 27:635–662 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

62 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 62 Lignes directrices canadiennes sur les lipides : Résumé SRF doublé avec des antécédents familiaux positifs Cible principale : - C-LDL absolu ≤ 2 mmol/L - réduction relative de C-LDL ≥ 50 % Cibles de remplacement : - C-non-HDL ≤ 2,6 mmol/L - apo B ≤ 0,8 g/L Risque de 5 à 9 % : - surveillance sur une base annuelle Marqueurs secondaires : -biochimiques :Lp(a), hsCRP, HbA1c, ACR -non effractifs :Épreuve à l'effort notée, EMI, indice tibio-brachial, CAC Recommandations relatives au mode de vie Recommandations relatives à l'intolérance à la statine Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

63 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 63 Examens de cas Jean Grégoire, M.D.

64 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 64 Cas n o 1 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

65 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 65 Cas n o 1 Une femme âgée de 54 ans En bonne santé sauf pour une hypertension artérielle traitée pendant 12 ans Non-fumeuse, non-diabétique, pas d'antécédents familiaux pertinents PA 132/90, CT 5,4, HDL 1,3, LDL 3,3 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

66 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 66 Quel est son SRF? 1.< 5 % 2.5 à 9 % 3.10 à 19 % 4.> 20 % Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Le SRF est 10 % Le LDL est 3,3

67 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 67 Devrait-elle recevoir une statine? 1.Oui 2.Non 3.J'ai besoin de plus d'information avant de prendre une décision. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

68 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 68 Hypertension artérielle à risque élevé (ASCOT) L'hypertension artérielle plus l'un de ces 3 facteurs de risque correspondent à un risque élevé : Homme Âge > 55 Tabagisme HVG CT/HDL > 6 Antécédents familiaux de coronaropathie précoce ECG anormal Microalbuminurie Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

69 Critère d'évaluation primaire ASCOT : IM non fatal et coronaropathie fatale Réduction de 36 % RR = 0,64 (0,50 à 0,83) Atorvastatine 10 mgNombre d'événements100 PlaceboNombre d'événements 154 p = 0,0005 Sever PS, Dahlöf B, Poulter N, Wedel H, et coll., pour les chercheurs d'ASCOT. Lancet, 2003;361:1149-58

70 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 70 Cas n o 1 – Autres renseignements Poids : 66 kg, IMC : 25,8, tour de taille : 85 cm Glycémie à jeun 5,3, A1c 0,058 hsCRP 1,2 Créatinine 168, DFGe 40 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

71 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 71 Cas n o 1 Elle est atteinte de néphropathie chronique (DFGe < 45) Il s'agit d'un équivalent de risque élevé Elle devrait alors être candidate au traitement à base de statine avec une cible LDL < 2,0 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

72 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 72 Alberta Kidney Disease Network Tonelli et coll. Lancet 2012 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

73 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 73 012345 Années de suivi 0 5 10 15 20 25 Proportion souffrant d’un événement (%) Risque relatif 0,83 (0,74 à 0,94) Test de Mantel-Haenszel 2P = 0,0021 Placebo Simv/Ézé SHARP : Événements d'athérosclérose majeurs chez des patients atteints de néphropathie chronique Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

74 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 74 Cas n o 1 Elle commence une thérapie de 20 mg d’atorvastatine quotidiennement. Le LDL tombe à 2,4 et le médicament est bien toléré. La dose est titrée à 40 mg par jour, mais des douleurs musculaires gênantes surviennent avec une valeur de CK de 450. La fonction rénale demeure stable. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

75 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 75 Douleurs musculaires avec 40 mg d'atorvastatine, LDL sous-optimal Prochaine étape? 1.Réduire l'atorvastatine à 20 mg par jour, accepter LDL à 2,4 2.Remplacer par la rosuvastatine à 10 mg et titrer selon le niveau de tolérance 3.Remplacer par la simvastatine à 20 mg et ajouter l'ézétimibe à 10 mg 4.Réduire l'atorvastatine à 20 mg et ajouter l'ézétimibe à 10 mg 5.Laisser l'atorvastatine à 40 mg et ajouter la coenzyme Q10 6.Autre Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Alors que la bonne réponse est de 4, 2 et 3 pourrait être utilisé comme deuxième choix.

76 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 76 Canadian Journal of Cardiology, 2011; 27:635-662 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

77 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 77 Stratégies hypolipidémiantes sans statines Ézétimibe  Réduit le taux de LDL de 15 à 20 %  Médicament bien toléré  Peut être ajouté à une statine à faible dose Séquestrants des acides biliaires  Réduisent le taux de LDL de 15 %  Pourraient prévenir le diabète  Le colesevalam est mieux toléré Ézétimibe + séquestrant des acides biliaires  Réduction du taux de LDL de 40 à 45 % Fibrates   TG, LDL - peu de changement  ? Avantage lorsque le taux de HDL est faible Niacine  Les bouffées vasomotrices ou le prurit pourraient limiter la tolérance.  Réduit le taux de LDL de 20 %  TG  40 %, HDL  30 % Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

78 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 78 Et si elle subissait déjà des séances d'hémodialyse? Devrait-elle recevoir un traitement hypolipidémiant? 1.Oui 2.Non 3.Incertain Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

79 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 79 Risque relatif et IC à 95 %PlaceboSimv/Ézé Simv/Ézé meilleursPlacebo meilleur (n = 4 620)(n = 4 650) Sans dialyse (n = 6 247)296(9,5 %)373(11,9 %) Dialyse (n = 3 023)230(15,0 %)246(16,5 %) Événement majeur d'athérosclérose526(11,3 %)619(13,4 %) 16,6 % erreur type 5,4 Réduction de (p = 0,0021) 1,01,21,40,80,6 SHARP : Événements majeurs d'athérosclérose par état rénal Aucune hétérogénéité significative entre les patients qui subissent ou non des séances de dialyse (p = 0,25) Le traitement de la dyslipidémie chez les personnes subissant des séances d'hémodialyse prête toujours à controverse, et une décision individuelle est nécessaire. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

80 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 80 Cas n o 2 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

81 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 81 Cas n o 2 Homme d'origine sud-asiatique âgé de 36 ans Non-fumeur, non diabétique, normotensif Son père a été victime d'un IM à l'âge de 46 ans PA 128/84, CT 5,8, HDL 1,0, LDL 4,1 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

82 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 82 Quel est son SRF? 1.< 5 % 2.5 à 9 % 3.10 à 19 % 4.> 20 % Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Le SRF est 3,9 % Antécédents familiaux  SRF 7,8 % Le taux de LDL est 4,1

83 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 83 Risque sur dix ans comparativement au risque à vie 70 60 50 40 30 20 10 0 5060708090 69 50 46 36 5 60 50 40 30 20 10 0 Hommes (n = 3 564) Femmes (n = 4 362) Incidence cumulative ajustée de MCV (%) 5060708090 ≥2 FR majeurs 1 FR majeur ≥1 FR élevé ≥1 FR non optimal Tous les FR optimaux 70 50 39 27 8 Âge atteint (années) Lloyd-Jones DM et coll. Circulation. 2006;113:791-8. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

84 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 84 Recommandations relatives au mode de vie Régimes alimentaires de type méditerranéen, portefeuille ou Dash : comprenant des aliments à teneur élevée en stérols, en protéines de soya, en fibres visqueuses, en acides gras oméga 3 et en noix Consommation modérée d'alcool : 1 à 2 consommations par jour 150 minutes d'activité physique aérobique de modérée à vigoureuse par semaine Poids corporel sain avec IMC de 20 à 25 kg/m 2 Approche de counselling 0-5-30 : – 0 cigarette – 5 portions de fruits ou de légumes par jour – 30 minutes d'activité physique par jour Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

85 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 85 Devrait-il recevoir une statine? 1.Oui 2.Non 3.J'ai besoin de plus d'information avant de prendre une décision. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

86 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 86 Cas n o 2 – Autres renseignements Poids 65 kg, IMC 22,5, tour de taille 80 cm Glycémie à jeun 6,2, A1c 0,062 Créatinine 78, DFGe 120 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

87 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 87 Devrait-il recevoir une statine? 1.Oui 2.Non 3.J'ai besoin de plus d'information avant de prendre une décision. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

88 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 88 Cas n o 2 Homme d'origine sud-asiatique âgé de 36 ans Non-fumeur, non diabétique, normotensif Son père a été victime d'un IM à l'âge de 46 ans PA 128/84, CT 5,8, HDL 1,0, LDL 4,1 Poids 65 kg, IMC 22,5, tour de taille 80 cm Glycémie à jeun 6,2, A1c 0,062 Créatinine 78, DFGe 120 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

89 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 89 Statines et sujets présentant un faible risque CTT Lancet 2012;379 (publié en anglais seulement) Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

90 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 90 Cas n o 2 Le sujet présente un risque de faible à modéré (7,8 %) Il est d'origine sud-asiatique, indiquant un risque plus élevé que ne le suggère le SRF. Le taux de LDL est assez élevé à 4,1, même s'il n'est pas > 5,0 L'épreuve secondaire est une solution raisonnable pour stratifier davantage par risque. Il souffre de dysglycémie, avec un taux anormal de A1c, ce qui augmente son risque de 1,5 à 2 fois. Il est donc considéré comme un candidat au traitement à base de statine jusqu'à une cible de LDL < 2,0 ou une réduction de 50 % à partir de la valeur de référence. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

91 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 91 Cas n o 3 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

92 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 92 Cas n o 3 Homme de race blanche âgé de 56 ans Non-fumeur, non diabétique, normotensif Pas d'antécédents familiaux pertinents PA 124/78, CT 5,6, HDL 1,1, TG 3,2, LDL 3,0 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

93 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 93 Quel est son SRF? 1.< 5 % 2.5 à 9 % 3.10 à 19 % 4.> 20 % Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie Le SRF est 15,6 % Le taux de LDL est 3,0

94 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 94 Devrait-il recevoir une statine? 1.Oui 2.Non 3.J'ai besoin de plus d'information avant de prendre une décision. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

95 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 95 Cas n o 3 – Autres renseignements Poids 86 kg, IMC 30, tour de taille 104 cm Glycémie à jeun 5,4, créatinine 85, DFGe 90 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

96 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 96 Devrait-il recevoir une statine? 1.Oui 2.Non 3.J'ai besoin de plus d'information avant de prendre une décision. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

97 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 97 Une épreuve secondaire est-elle nécessaire? 1.Oui 2.Non 3.Incertain Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

98 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 98 Si une épreuve secondaire est nécessaire, laquelle envisageriez-vous? 1.hsCRP 2.HbA1c 3.Protéine urinaire 4.Test à l'effort 5.Échographie carotidienne 6.Indice tibio­brachial 7.Score de calcification des artères coronaires 8.Autre Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

99 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 99 Cas n o 3 : Une épreuve secondaire n'est pas nécessaire. Homme de race blanche âgé de 56 ans Non-fumeur, non diabétique, normotensif Pas d'antécédents familiaux pertinents PA 124/78, CT 5,6, HDL 1,1, TG 3,2, LDL 3,0 Poids 86 kg, IMC 30, tour de taille 104 cm Glycémie à jeun 5,4, créatinine 85, DFGe 90 Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

100 Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 100 Cas n o 3 – Solutions de rechange autres que l'épreuve secondaire Le rôle du C-non-HDL Pour les patients qui présentent un SRF de 5 à 19 % avec LDL < 3,5, on peut envisager une évaluation de l'apo B ou du C-non-HDL. C-non-HDL = CT moins HDL Aucun jeûne requis, pas de frais supplémentaires, calcul immédiat à partir de n'importe quel profil lipidique complet Le C-non-HDL de ce patient = 5,6 – 1,1 = 4,5 Si C-non-HDL > 4,3 avec LDL < 3,5, on peut envisager un traitement à base de statine. Mise à jour 2012 des lignes directrices de la SCC sur la dyslipidémie

101 As presented at CCC 2012 ** Draft only Anderson TJ, Gregoire J et coll., Journal can. de cardiolgie, févr. 2013;29(2): 151-167 Droit d’auteur © 2013, Société canadienne de cardiologie 26/02/2016 101 Merci et questions


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