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Communication et interaction

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Présentation au sujet: "Communication et interaction"— Transcription de la présentation:

1 Communication et interaction

2 Ecole de PALO ALTO ou le concept systémique
Le courant de recherches théoriques et pluridisciplinaires centralisé autour de l’ Ecole de PALO ALTO (± ) a conceptualisé progressivement ce que l’on considère maintenant comme la « nouvelle communication » par opposition au modèle théorique dit « linéaire » dont nous avons déjà parlé: LASSWEL, SHANNON & WEAVER Boussard Fopa 2004

3 Ensemble de signaux La conception systémique postule en premier la nature globale de la communication interpersonnelle. (un système ne peut se réduire à la somme de ses composantes (principe de totalité)) Cette nature globale passe généralement inaperçue, sauf si les messages sont contradictoires. Par exemple, une molle poignée de main fournit une communication incohérente avec un salut verbal dynamique Boussard Fopa 2004

4 Ensemble de signaux Dans toute communication, nous transmettons donc des « ensembles » de messages (verbaux et non verbaux) qui constituent chacun des systèmes de communication plus ou moins complexes et cohérents Boussard Fopa 2004

5 Rien ne demeure jamais statique dans la « conception systémique » de la communication interpersonnelle : la communication est considérée comme un processus actif

6 La communication est un processus
Interactionnel; Intentionnel; Irréversible; Continu; Inévitable; D’ajustement.

7 L’interaction L’unité de base est moins l’individu que la relation qui s’établit entre l’émetteur et le récepteur Autrement dit, c’est l’interaction qui caractérise la communication interpersonnelle Boussard Fopa 2004

8 L’interaction Chaque intervention d’un membre d’un système en interaction, répond à celle de l’autre et constitue à son tour le stimulus auquel l’autre va réagir (boucle interactive) La communication est donc envisagée comme un processus circulaire dans lequel chaque message provoque une rétroaction (feed-back)

9 L’intention Communiquer n’est pas un processus sans finalité : toute communication est « adressée » (consciemment ou non). Lorsque nous parlons, nous écrivons, nous peignons, etc. nous ne le faisons pas au hasard mais avec une intention

10 Irréversible Quand nous avons communiqué quelque chose, il est impossible de revenir en arrière : ce qui est fait est fait! La communication produit des effets que nous ne pouvons pas toujours contrôler…Aïe

11 Continuité Nos modalités de communication sont en mutations constantes, car elles s’ajustent en permanence, consciemment ou non, en fonction des rétroactions multiples issues de chaque interaction vécue.

12 Inévitable Dans toute situation d’interaction, il est impossible de ne pas communiquer par nos paroles, nos gestes, nos attitudes, nos conduites

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14 Inévitable Ainsi, se murer dans le silence est un « comportement qui communique » : un refus d’établir une communication, de la timidité, de la bouderie, etc.

15 Inévitable Le principe d’inévitabilité n’est, bien entendu, d’application que dans les limites de nos capacités sensorielles (seuils de perception interactionnelle)

16 L’ajustement L’efficacité de toute communication dépend grandement de la capacité des interlocuteurs à partager une proportion importante d’un même système de signaux le concept de « référentiel commun »

17 L’ajustement Il n’y a pas deux personnes qui utilisent des systèmes de signaux identiques : nous avons chacun notre propre « carte du monde » Le processus d’ajustement consiste dès lors à déceler les signaux d’autrui, à en apprendre l’usage et à en comprendre la signification pour être à même d’utiliser des systèmes mutuels de signaux.

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19 Codage et traitement humain de l’information
« Le référentiel commun »

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21 « Référentiel Commun » Lorsque l’on demande à un observateur ce qu’il a vu, il nous répondra que la photo montre un couple qui présente un produit. Et il continuera en nous disant que le titre est très clair à ce sujet puisqu’il mentionne que Mr. LOSTE montre son boudin… Et cela nous fait rire… Ce qui s’est passé, c’est que nous avons interprété l’observation de l’information que nous donnait cette photo… Ici, pas de danger. Nous pouvons penser que nous partageons tous ce code et que chacun aura compris l’humour qui s’en dégageait.

22 « Référentiel Commun » Au sens large : nous savons tous qu’il peut être extrêmement difficile de communiquer avec des interlocuteurs issus d’une autre culture Faute de moyens de codages et décodages appropriés de l’info transmise Jean-Claude Abric

23 « Référentiel Commun » Dumas illustrait dès 1906 cet état de fait à propos de la signification culturelle du sourire. Si dans notre culture le sourire manifeste une attitude d’écoute et de relation positive, il en va différemment dans d’autres cultures : chez les japonais par exemple car le sourire signifie l’embarras…

24 Le concept de « référentiel commun »
L’efficacité de toute communication dépend grandement de la capacité des interlocuteurs à partager une proportion importante d’un même système de signaux Le concept de « référentiel commun » Boussard Fopa 2004

25 Codage et traitement humain de l information
Code : ensemble structuré (système, architecture) de règles, de lois. Ex: le code de la langue française (ensemble de relations structurées entre signes) Norme : état habituel conforme à la majorité des cas, ce qui correspond à l’usage dominant, ce qui est socialement admis et reconnu. La norme est souvent implicite, sociale et culturelle et donc variable dans le temps et l’espace Exemples : les normes de la conversation orale

26 Codage et traitement humain de l information
Au sens étroit : la micro-culture d’une organisation, d’une institution donnée détermine des modes de communication, un système d’échanges qui peut être spécifique, c’est-à-dire compréhensible et mis en œuvre que dans ce contexte limité.

27 Codage et traitement humain de l information
Il convient donc dans toute communication : D’être prudents; De pouvoir prendre du recul par rapport à soi; De témoigner de ce que l’on a observé objectivement De faire appel à d’autres disciplines (ex : sociologie, psychosociale,…) pour pouvoir mieux interpréter ce qui se passe et donc mieux communiquer.

28 Psychologie sociale et sociologie
« L’habit ne fait pas le moine »

29 La psychologie sociale
La psychologie sociale est une branche de la psychologie qui s'intéresse à l'influence des processus cognitifs et sociaux sur les relations entre les individus (relations interpersonnelles) et ainsi que les fondements de ces relations. Elle étudie tant les interactions des individus en groupe et société que les comportements des groupes et sociétés eux-mêmes.

30 Stéréotypes et préjugés
Le mot stéréotype veut dire « cliché ». Ce terme désignait anciennement les caractères de fonte dont on se servait en typographie. Le stéréotype désigne une image toute faite et figée d'un groupe d’individus. Cette image est habituellement basée sur des renseignements faux ou incomplets. Les stéréotypes sont généralement négatifs. Un préjugé, comme son nom l'indique est un jugement prématuré. C'est une opinion ou une attitude négative à l'égard d’une personne ou d'un groupe quelconque.  

31 Les stéréotypes Nous devons le terme de stéréotype à LIPPMAN (1922) qui voyait le stéréotype comme un élément d’une tendance universelle à regrouper les événements et les objets sur la base d’une similarité Il pensait que la pratique du stéréotype faisait partie d’un mécanisme simplificateur qui nous permet de gérer: « l’environnement réel, qui est à la fois trop grand, trop complexe et trop évanescent pour une connaissance directe »

32 Les stéréotypes Les stéréotypes seraient facilement perçus comme des catégories naturelles lorsque les groupes peuvent être identifiés en fonction de caractéristiques physiques. C'est donc une activité de catégorisation. Notre environnement social est alors simplifié, systématique et ordonné. Les traits que nous attribuons à autrui créent une personnalité les observateurs considéreront la catégorisation de la cible comme reflétant sa vraie identité, sa vraie nature.

33 Les stéréotypes Au sein d’un groupe donné le stéréotype s’impose comme un poncif récurrent, figé et caricatural souvent défavorable au sujet qui est stéréotypé. Le stéréotype relève donc souvent d’une prise de position simpliste et très conventionnelle pour ne pas dire banale qui repose sur des « on dit » et non sur des fondements réfléchis et argumentés.

34 Les préjugés Le préjugé est une attitude comportant une dimension d’évaluation à l’égard d’un groupe social donné. Ce sont des opinions adoptées en l'absence d'information ou de pratique suffisante. Les préjugés sont des jugements faits à l'avance par quelqu'un d'autre que la personne qui a les préjugés. Elle les a acceptés tels quels sans les confronter à sa propre expérience. La personne "juge" en appliquant une opinion reçue. C'est donc une opinion de deuxième main.

35 Les préjugés Appliqués à des groupes sociaux, les préjugés font référence à des biais positifs ou négatifs envers les membres de ces groupes (anciens de grandes écoles, hommes politiques...) A ne pas confondre avec un lieu commun, qui souligne seulement la banalité d'une idée et un consensus à son sujet. (on n’aime pas les extraterrestres, sans pour autant en avoir rencontrés)

36 Les préjugés Les préjugés fournissent à celui qui y croit une indication de la « jugeabilité » des membres du groupe stéréotypé. En effet, le fait de savoir pourquoi ces personnes sont un groupe, donne à l'observateur l'impression de connaître quelque chose de leur nature profonde (“Ils sont tous pareils parce que c'est dans leur nature”)

37 Les blondes sont idiotes…

38 Les fonctionnaires sont fainéants …

39 Les psychanalystes sont chers et incompétents…

40 Les Japonais sont travailleurs…….
M. Suzuki est japonais donc M. Suzuki est travailleur (Stening & Everett, 1979)

41 Les femmes rondes sont toutes souriantes….

42 Expérience de Milgram I... comme Icare est un film français de Henri Verneuil sorti en 1979. L'expérience de Milgram vise à estimer à quel niveau d'obéissance peut aller un individu dirigé par une autorité qu'il juge légitime et le processus qui mène à et maintient cette obéissance, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. Ces expériences permettent d'estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d'une autorité qu'il accepte, même quand cela entre en contradiction avec son système de valeurs morales et éthiques.

43 L’effet Pygmalion Rosenthal a découvert l'effet Pygmalion en réalisant l'expérience suivante :   Après avoir constitué deux échantillons de rats totalement au hasard, il informe un groupe de six étudiants que le groupe n° 1 comprend 6 rats sélectionnés d'une manière extrêmement sévère. On doit donc s'attendre à des résultats exceptionnels de la part de ces animaux. Il signale ensuite à six autres étudiants que le groupe des 6 rats n° 2 n'a rien d'exceptionnel et que, pour des causes génétiques, il est fort probable que ces rats auront du mal à trouver leur chemin dans le labyrinthe.

44 L’effet Pygmalion Les résultats confirment très largement les prédictions fantaisistes effectuées par Rosenthal : certains rats du groupe n° 2 ne quittent même pas la ligne de départ. Après analyse, il s'avère que les étudiants qui croyaient que leurs rats étaient particulièrement intelligents, leur ont manifesté de la sympathie, de la chaleur, de l'amitié ; inversement, les étudiants qui croyaient que leurs rats étaient stupides, ne les ont pas entourés d'autant d'affection.

45 L’effet Pygmalion L'expérience est ensuite tentée avec des enfants, à Oak School, aux États-Unis, par Rosenthal et Jacobson, mais en jouant uniquement sur les attentes favorables des maîtres. Les chercheurs, sous prétexte d'éprouver une nouvelle technique de test permettant de prédire la réussite scolaire des élèves, demandent aux enseignants de bien vouloir faire passer ledit test à tous les élèves de leur classe ; au cours d'une conversation ultérieure à bâtons rompus, et tout à fait incidemment, ils donnent à l'enseignant les noms des cinq élèves de la classe susceptibles de réaliser les progrès les plus impressionnants.

46 L’effet Pygmalion Chose extraordinaire, ces prévisions fantaisistes se réalisent pleinement !

47 L’effet de halo L'effet de halo ou effet de notoriété est un biais cognitif qui affecte la perception que l'on a de gens ou de firmes. Il a été mis en évidence par le psychologue social Edward Thorndike en 1920. C’est une erreur de perception qui consiste à se faire une impression générale d’une personne à partir d’une seule de ses caractéristiques. Une caractéristique jugée positive à propos d'une personne ou d'une collectivité a tendance à rendre plus positives les autres caractéristiques de cette personne, même sans les connaître (et inversement pour une caractéristique négative).

48 L’effet de halo Ainsi Clifford (1975) a pu montrer que des personnes étaient jugées plus intelligentes que d'autres uniquement sur la base de leur attrait physique.

49 Mais encore……. La primauté récente : on est plus influencé dans une description par les premiers éléments que par les derniers La perception sélective : c’est la tendance à privilégier une lecture de la réalité qui correspond à ses propres valeurs, sa propre carte du monde et qui amène à ne voir que certains aspects d’une situation, d’une personne.

50 La sociologie La communication est un moteur, un outil, un enjeu dans toutes sortes de situations de la vie sociale, professionnelle, civique, personnelle ; Les compétences de communication peuvent être développées et font partie du capital culturel rentable dans tous les domaines ; Ces compétences sont mal partagées, en raison de la diversité des personnalités et des héritages culturels. Philippe Perrenoud

51 Pierre Bourdieu Sociologue important, reconnu à l'étranger, Bourdieu fut aussi un penseur engagé dont les prises de position ont suscité des polémiques. Il démonte les mécanismes par lesquels les clivages sociaux se reproduisent

52 Pierre Bourdieu Pierre Bourdieu se consacre principalement à l’étude de la nature sociale dans sa totalité. Ses études variées, se penchent sur l’examen de diverses institutions, diverses manifestations sociales.

53 Les capitaux Les individus ne sont pas identiques et interchangeables. Ils se distinguent d’abord par leur dotation globale en capitaux. Or, cette dotation n’est pas aléatoire : ceux qui appartiennent à la classe dominante en sont richement dotés alors que les membres des classes populaires en sont faiblement pourvus. Les individus se distinguent ensuite par la structure de ce capital.

54 Les capitaux Bourdieu distingue quatre principaux types de capitaux.
Le capital économique (biens); Le capital culturel (niveau culturel); Le capital social (relation); Le capital symbolique (prestige social).

55 Les champs P. Bourdieu insiste sur la division en groupes sociaux et estime que l’espace social est partagé en une multitude de champs sociaux L’école La politique La religion Les médias Etc.

56 Les champs Le champ est une sphère de la vie sociale qui est devenue progressivement autonome à travers l’histoire. les capitaux (détenus par chaque groupe social en proportion inégale) constituent des atouts pour se positionner dans un champ, mais les atouts nécessaires varient en fonction des champs.

57 Les champs Chacun de ces champs possède ses propres règles du jeu et ses propres critères de réussite. Ainsi, les qualités requises pour réussir à l’école ne sont pas identiques à celles exigées dans le domaine de la mode, de la politique ou du sport. Chaque champ se caractérise par un rapport de forces entre dominants et dominés où les agents sociaux s’affrontent pour conserver ou transformer ces rapports de forces.

58 L’habitus On peut définir simplement l’habitus comme la façon dont les structures sociales s’impriment dans nos têtes et nos corps par intériorisation de l’extériorité. À cause de notre origine sociale et donc de nos premières expériences puis de notre trajectoire sociale, se forment, de façon le plus souvent inconsciente, des inclinaisons à penser, à percevoir, à faire d’une certaine manière, dispositions que nous intériorisons et incorporons de façon durable.

59 L’habitus L’habitus renvoie à tout ce qu’un individu possède et qui le fait. En somme, l’habitus désigne des manières d’être, de penser et de faire communes à plusieurs personnes de même origine sociale, issues de l’incorporation non consciente des normes et pratiques véhiculées par le groupe d’appartenance.

60 La violence symbolique
Les différentes formes de domination doivent être reconnues comme légitimes pour durer. Elles doivent devenir comme « naturelles » de sorte que les dominés eux-mêmes adhèrent à l'ordre dominant tout en en méconnaissant le caractère arbitraire Les couches inférieures de la population reconnaissent la légitimité du style de vie dominant et essaient de l'imiter Par exemple: violence liée à la culture

61 La violence symbolique
Un exemple intéressant de violence symbolique nous est donné par l'exemple du langage. Il existe un langage légitime c'est-à-dire à la fois dominant et reconnu, qui est celui des professeurs. Parler, c'est dès lors se classer. Celui qui parle ce langage légitime domine par le seul fait qu'il le parle et celui qui ne le parle pas est dominé. On peut dire, de ce point de vue, que la sélection sociale débute dès la maternelle

62 Langage verbal et non verbal

63 Verbal et non verbal Watzlawick distingue deux formes de communication : La communication digitale exploite principalement le registre verbal La communication analogique exploite quant à elle le registre non verbal

64 Le langage verbal et la valeur suggestive de la parole
Il est fondamental de prendre conscience du pouvoir de la suggestion des mots: « ce qui est exprimé est imprimé » Quand nous prononçons un mot nous créons dans notre esprit et dans celui de nos interlocuteurs l’image de la signification de ce même mot Essayons de ne pas penser à un chien…

65 La valeur suggestive de la parole
A l’instant où l’on nous dit de ne pas penser à un chien, l’image de cet animal prend forme dans notre esprit

66 La valeur suggestive de la parole
Ainsi des communications comportant des mots comme: « difficulté », « problème », « sacrifice », « effort », « insécurité » ou encore « déranger », « ennuyer », « voler » (quelques minutes), etc… Créent dans toute communication un sentiment de malaise, évoquent inévitablement des sensations et des suggestions négatives

67 Il arrive qu’au cours d’une discussion, la situation se dégrade brusquement… Bien souvent il est trop tard pour rattraper la situation Pourtant, toute émotion se traduit par des manifestations extérieures observables, même les plus subtiles: Silences, regards différents, modifications des gestes, de la voix

68 Les recherches les plus récentes montrent que nous communiquons beaucoup plus par nos messages non verbaux que nos mots C’est ce qui explique qu’il est beaucoup plus facile de travestir des faits, racontés avec des mots que des émotions, traduites par des signaux corporels

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70 Le langage non verbal Le langage non verbal peut avoir toute une série d’usages : renforcer et/ou accompagner le langage verbal, mettre en évidence certains points, réguler, gérer les différents flux de parole, se substituer au langage verbal Différents aspects sont étudiés dans le langage non verbal : les mouvements corporels; les mouvements faciaux; les mouvements oculaires; le toucher; le paralangage, etc

71 Le langage non verbal Deux orientations nous intéressent quant à l’étude des communications gestuelles : on peut considérer les gestes comme possédant la propriété d’exprimer les représentations mentales qui constituent la pensée : il existerait donc un LANGAGE DES GESTES

72 Le langage non verbal les gestes semblent présenter des émotions, des états affectifs ou des attitudes interpersonnelles Nous allons maintenant développer la première orientation afin d’illustrer les difficultés d’interprétation des observations

73 Le langage non verbal L’analogie entre les gestes et le langage repose sur le postulat que les usages corporels varient selon les peuples et les cultures Le décodage de la signification d’indicateurs non verbaux sont directement liés par le contexte culturel

74 Le langage non verbal Gestes et paroles ont une valeur communicative mais il manque encore beaucoup de réponses pour savoir si les gestes sont un système de communication autonome, s’ils sont spécialisés pour véhiculer des informations. Il est difficile d’isoler des gestes dans la communication sans que cette dernière ne perde son sens…

75 Bibliographie ARTAUD J., “ L’écoute, attitudes et techniques ”, Ed. Chronique sociale, Lyon, 1991 BARNLUND D.C., “ Interpersonal Communication, Survey and Studies ”, Houston Mifflin Company, Boston,1968 BERNE E., “ Que dites vous après avoir dit bonjour ? ”, Ed. Laffont, Paris, 1977 BOUSSARD A, Université Catholiques de Louvain / FOPA « Communication interpersonnelle et gestion de groupe » DELORME A., “ Psychologie de la perception ”, Ed. Etudes vivantes, Montréal, 1982 ELDIN F « Le management de la communication » (consulté sur le NET) GOFFMAN E., “ La mise en scène de la vie quotidienne, Tome 1 et 2 , Ed. de Minuit, Paris, 1973

76 HALL E., “ La dimension cachée ”, Ed. Le Seuil, Paris, 1971
HALL E., “ Le langage silencieux ”, HMH, Paris, 1973 MAC GREGOR D., “ La dimension humaine de l’entreprise ”, Ed. Dunod, Paris, 1969 MAIER N., “ Principes des relations humaines ”, Ed. d’Organisation, Paris, MYERS ET MYERS, “ Les bases de la communication interpersonnelle, une approche théorique et pratique ”,Ed. Mc Graw-Hill, Montréal, 1984 SULGER F., “ Les gestes vérités ”, Ed. Sans, Paris 1986 SOMMER R., “ Personnal Space ”, Englewood Cliffs, Prentice Hall, 1969 VINCENT C., “ Développez votre pouvoir par l’analyse transactionnelle ”, Ed. d’Organi-sation, Paris, 1988 VAN DE LEEMPUT C., « Psychologie sociale de la communication ». UCL WATZLAWICK P. ET AL., “ Une logique de la communication ”, Ed. Le Seuil, Paris, 1972 WIKEPEDIA: encyclopédie du NET


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