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BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège1 Stage Collège Ils nous font un socle qui n’a rien de commun.

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1 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège1 Stage Collège Ils nous font un socle qui n’a rien de commun

2 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège2 Les finalités du collège… En 1996, le collège devait préparer tous les élèves à des poursuites d’études : Art. 1 « Le collège accueille tous les élèves ayant suivi leur scolarité élémentaire. Il leur assure, dans le cadre de la scolarité obligatoire, la formation qui sert de base à l’enseignement secondaire et les prépare ainsi aux voies de formation ultérieures ». Art. 2 « Le collège dispense à tous les élèves, sans distinction, une formation générale qui doit leur permettre d’acquérir les savoirs et savoir-faire fondamentaux constitutifs d’une culture commune ». (Décret no 96-465 du 29 mai 1996)

3 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège3 Art. 2 - Le collège dispense à chaque élève, sans distinction, une formation générale qui doit lui permettre d’acquérir au moins le socle commun de connaissances et compétences, défini en application de l’article L. 122-1-1 du code de l’éducation et dont l’acquisition a commencé dès le début de l’instruction obligatoire. D’autres enseignements sont dispensés au cours de la scolarité obligatoire et complètent le socle commun dont la maîtrise est indispensable pour la poursuite des études, l’exercice de la citoyenneté et l’insertion professionnelle future. (décret 2005-1013 du 24 août 2005 qui décline l’article L. 122-1-1 du code de l’éducation) …redéfinies par la Loi Fillon…

4 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège4 Le cynisme de l’OCDE « Tous n’embrasseront pas une carrière dans le dynamique secteur de la “nouvelle économie” – en fait, la plupart ne le feront pas – de sorte que les programmes scolaires ne peuvent être conçus comme si tous devaient aller loin. » [OCDE 2001] Dans une telle conception, les programmes scolaires doivent donc prévoir des contenus différents selon le destin scolaire de chaque élève.

5 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège5 En France… D’après le rapport Thélot de 2004, « l’École devra intégrer les deux éléments prévisionnels suivants : les performances économiques futures de la Nation dépendront de la richesse du « capital humain », ce qui conduit à justifier l’ambition d’accroître le niveau de formation et de qualification des individus ; mais l’incertitude de l’avenir conduit à souhaiter que cet accroissement ne se produise pas lors de la « formation initiale » : il devrait au contraire résulter de l’essor de la formation tout au long de la vie ; Or, l’accès à la formation tout au long de la vie bénéficie principalement à ceux qui sortent les mieux formés de la formation initiale !

6 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège6 … le même cynisme Le rapport poursuit plus clairement encore : la part des emplois « peu qualifiés » ou requérant une qualification d’ordre « comportemental » ou « relationnel » demeurera considérable dans l’avenir : certains domaines d’activité (vente, services à la personne, etc.) devraient donner lieu à une création d’emplois importante ; dans les métiers d’employés et d’ouvriers peu qualifiés, la destruction des emplois sera plus que compensée par la nécessité de remplacer les départs massifs à la retraite qui vont intervenir à partir de 2005. » Il ne s’agit donc pas d’élever le niveau de formation et de qualification de tous, mais bien de former a minima des élèves qui auront vocation à occuper les emplois peu ou non qualifiés.

7 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège7 Socle et programmes Le socle ne se substitue pas aux programmes : L’enseignement obligatoire ne se réduit pas au socle commun. Bien que désormais il en constitue le fondement, le socle ne se substitue pas aux programmes de l’école primaire et du collège ; il n’en est pas non plus le condensé. (…) Il détermine ce que nul n’est censé ignorer en fin de scolarité obligatoire sous peine de se trouver marginalisé. L’école doit offrir par ailleurs à chacun les moyens de développer toutes ses facultés. (décret n° 2006-830 du 11 juillet 2006 qui définit le socle) (…) les programmes de la scolarité obligatoire ne se réduisent pas au socle commun. Cela signifie que les enseignants ont, dans chaque classe, une double obligation : traiter pour tous leurs élèves l'intégralité du programme de leur discipline et, à l'intérieur de celui-ci, faire acquérir à tous les élèves la maîtrise des compétences du socle. Ainsi, le collège donne aux élèves qui ont acquis la maîtrise du socle la possibilité d’aller plus loin. » (rapport HCE 2010)

8 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège8 Les inégalités institutionnalisées Un socle qui légitime ainsi des parcours scolaires différenciés avec : des élèves qui pourront accéder à l’ensemble de la culture scolaire des élèves qui seront cantonnés au seul socle commun (« objectif-cible » de l’éducation prioritaire, par exemple, d’après le rapport IGEN 2006) dont certains seront même envoyés précocement vers les dispositifs d’alternance et d’apprentissage

9 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège9 Un recul de 50 ans ! ECOLE PRIMAIRE COURS COMPLE- MENTAIRES ECOLES PRIMAIRES SUPE- RIEURES (EPS) PREMIER CYCLE DE L’ENSEIGNE- MENT SECONDAIRE CENTRE D’APPRENTIS SAGE A cette époque, l’orientation post-primaire était très marquée socialement. La loi Fillon va figer les inégalités entre élèves et même entre établissements, dans un contexte de polarisation sociale accrue et où la France est déjà le pays où le parcours scolaire est le plus marqué par l’origine sociale.

10 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège10 Une approche par compétences Des compétences-clé européennes … 1.Communication dans la langue maternelle 2.Communication en langues étrangères 3.Compétences mathématiques et compétences de base en sciences et technologies 4.Compétence numérique 5.Apprendre à apprendre 6.Compétences sociales et civiques 7.Esprit d’initiative et d’entreprise 8.Sensibilité et expression culturelles …aux 7 compétences » du socle français 1.Maîtrise de la langue française 2.Pratique d’une langue vivante étrangère 3.Principaux éléments de mathématiques et culture scientifique et technologique 4.Maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication 5.Culture humaniste 6.Compétences sociales et civiques 7.Autonomie et initiative

11 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège11 Qu’est-ce qu’une compétence ? Quelques exemples de définition : la compétence est « la capacité réelle et individuelle de mobiliser, en vue d’une action, des connaissances (théoriques et pratiques), des savoir-faire et des comportements, en fonction d’une situation de travail concrète et changeante et en fonction d’activités personnelles et sociales » Etres «capable de mobiliser ses acquis scolaires en dehors de l’école, dans des situations diverses, complexes, imprévisibles » (Perrenoud 1995) Maîtriser le socle commun c’est être capable de mobiliser ses acquis dans des tâches et des situations complexes, à l’école puis dans sa vie. (décret socle, 2006) D’après le décret relatif au socle, chaque grande compétence est conçue comme une combinaison de connaissances, de capacités, d’attitudes indispensables

12 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège12 Au service de l’économie… Les compétences clé européennes correspondent au projet européen de construire : Une « économie de la connaissance » Pour former « un capital humain » et développer son « employabilité » Un savoir, dans cette conception, n’a d’intérêt que s’il peut être mobilisé pour accomplir une tâche et permettre de s’adapter à une situation nouvelle, notamment de travail.

13 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège13 Un socle qui ne fait pas « culture » Un socle qui invite à la fragmentation des apprentissages avec le risque que les é l è ves en difficult é se concentrent encore plus qu ’ aujourd ’ hui sur une tâche à accomplir sans percevoir les r é els enjeux cognitifs Un socle qui é crase ou ignore des pans entiers de la culture Un socle qui affiche une culture humaniste mais qui vise au mieux à mémoriser des repères historiques, géographiques, littéraires ou artistiques Deux piliers (6 et 7) totalement déconnectés des disciplines qui visent à encadrer les individus, en imposant des comportements normatifs soumis à évaluation

14 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège14 …et non une culture humaniste « la logique de la compétence est, au départ, un costume taillé sur mesure pour le monde de l’entreprise. Dès lors qu’on s’obstine à en revêtir l’école, celle- ci est engoncée dans un habit trop étriqué eu égard à sa dimension nécessairement humaniste. Il est urgent que l’école se dégage de l’emprise de l’économisme qui s’insinue dans tous ses rouages, intellectuels et organisation- nels», (Marcel Crahay, 2005).

15 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège15 Définitives ou volatiles? Une compétence est censée être acquise définitivement : dès qu’on pense qu’elle est acquise, on la valide ! Comment être sûr, par exemple, qu’un élève maîtrise dans toutes les situations, une bonne fois pour toutes, et dans toutes les disciplines les compétences censées être validées, par ex : comprendre un énoncé, une consigne rechercher, extraire et organiser l’information utile utiliser les logiciels à disposition traiter une image, un son, une vidéo Or, l’acquisition d’une compétence dépend notamment : du niveau de difficulté du support utilisé de la discipline : pour une compétence donnée « il n’est pas du tout sûr que les mêmes opérations mentales soient requises dans les différentes disciplines » (cf Bernard Rey)

16 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège16 Un livret inexploitable… La plupart des items ne sont pas évaluables en l’état : D’autres supposent une évaluation de la personne même de l’élève : Utiliser ses capacités de raisonnement, ses connaissances sur la langue, savoir faire appel à des outils appropriés pour lire (1) Rendre compte de faits (2) Raisonner, argumenter, pratiquer une démarche expérimentale ou technologique, démontrer (3) Protéger sa personne et ses données (4) Connaître et pratiquer diverses formes d’expression à visée artistique (5) Etre sensible aux enjeux esthétiques et humains d’une œuvre artistique (5) Assumer des rôles, prendre des initiatives et des décisions (7) Manifester curiosité, créativité, motivation à travers des activités conduites ou reconnues par l’établissement (7)

17 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège17 …qui requiert des grilles locales Les grilles de références, qui sont en cours de réactualisation suite aux diverses modifications du livret, ne sont guère plus explicites sur les exigences attendues pour chaque item. Depuis plusieurs années, des équipes, notamment en éducation prioritaire, ont été invitées à élaborer des grilles locales d’évaluation des compétences. En l’absence de repères nationaux, chaque établissement établira ses propres exigences pour chacun des items - qui pourront donc être différentes d’un collège à l’autre !

18 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège18 Comment valider ? « La validation des compétences relève d'une décision des équipes pédagogiques, qui se fondent sur l'évaluation des items pour valider chaque compétence. Elles peuvent toutefois choisir d'apprécier une compétence de manière globale, même si quelques items qui la composent n'ont pas été évalués positivement. Si des lacunes manifestes apparaissent dans un domaine, la compétence ne pourra être validée. » ( circulaire n° 2010-087 du 18-6-2010 sur la mise en œuvre du livret) Les modalités de validation ne seront donc pas les mêmes d’un collège à l’autre.

19 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège19 Comment décide-t-on, alors? A partir de combien d’items validés peut-on valider le domaine de compétence ? A partir de combien de domaines validés, valide- t-on la compétence entière ? Et si les collègues ne sont pas d’accord entre eux, qui décide de valider l’item, le domaine ou la compétence ? Réponse du ministère : il faut faire confiance au terrain !

20 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège20 RENONCEMENT Avec le socle qui institutionnalise les inégalités sociales et scolaires ; Avec le livret de compétences qui ne permet pas d’évaluer des acquis communs ; La Loi Fillon renonce à l’ambition pour tous les élèves !

21 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège21 Une logique globale Le socle est un outil de redéfinition du système éducatif sous tous ses aspects. Sa mise en place risque de conduire notamment : à des écoles du socle commun, à une redéfinition du métier en collège, à une redéfinition du service.

22 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège22 Ecoles du socle commun puisque le socle commun, élément central de la loi d’orientation et de programmation, appelle à un continuum pédagogique de l’âge de six ans à l’âge de seize, pourquoi ne pas imaginer des « écoles du socle commun », qui rassembleraient des écoles et un collège en une seule entité ? (rapport Reiss, 2010) Dans la mesure où socle commun et scolarité obligatoire sont intimement liés, l’école primaire et le collège ont logiquement vocation à constituer un ensemble : « l’École du socle commun », d’une durée de neuf ans. La toute récente création, au sein de la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO), d’une « Sous-direction du socle commun, de la personnalisation des parcours scolaires et de l’orientation », regroupant donc l’école primaire et le collège, constitue à cet égard un signe de la volonté politique de faire de la mise en œuvre du socle une priorité. (rapport HCE, 2010)

23 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège23 et transformation du métier « la mise en œuvre du socle commun implique des évolutions dans la formation des enseignants et les conditions d’exercice de leur métier. En effet, la nouvelle approche de l’enseignement promue par le socle commun ne deviendra une réalité que si les professeurs y sont formés et si leur temps de travail est repensé pour englober toutes les formes d’activités induites par la pédagogie différenciée. » (Grosperrin, 2010) « La mise en œuvre de « l’École du socle commun » devrait conduire à des évolutions du métier d’enseignant. » (HCE, 2010)

24 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège24 Bivalence, voire polyvalence « Un développement de la bivalence s’impose donc pour faire entrer, dans les faits, le collège unique. » « Cette politique de relance de la bivalence devrait être complétée par le recours à des « échanges de service » entre les professeurs des écoles enseignant en CM2 et les professeurs certifiés enseignant en Sixième. » (Rapport Grosperrin, 2010) Certains professeurs de collège pourraient enseigner plusieurs disciplines, leur polyvalence permettant de faciliter la transition entre l’école primaire et le collège ; (HCE, 2010)

25 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège25 Temps de présence accru « Une piste prometteuse consisterait donc à allonger le temps de présence des enseignants du second degré dans les établissements, en incluant dans leur mission, aux côtés des heures de cours, qui ne seraient pas augmentées, mais diminuées, les tâches liées à la coordination pédagogique, aux travaux en petits groupes, à l’accueil des parents, à l’orientation, aux activités culturelles et artistiques, au tutorat des enseignants débutants, etc. (…) et impliquant 24 heures de présence par semaine dans l’établissement. » (rapport Grosperrin, 2010) Le HCE souhaiterait que le service des enseignants ne soit pas uniquement défini par un nombre d’heures hebdomadaires d’enseignement devant élèves, comme c’est le cas depuis le décret du 25 mai 1950, mais qu’il prenne en compte la diversité des missions assignées aux enseignants, à savoir le temps d’enseignement (disciplinaire, interdisciplinaire, en ateliers), ainsi que le travail d’équipe (concertation, conseils de classe...), l’aide au travail et le tutorat (accompagnement scolaire, bilan...), et que ces différentes tâches soient également incluses dans leur emploi du temps, comme cela est déjà le cas dans de nombreux pays européens. Cette redéfinition du service des enseignants pourrait conduire à allonger de quelques heures leur temps global de présence dans l’établissement. (HCE, 2010)

26 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège26 Éléments à intégrer éventuellement Une attestation de maîtrise du socle commun simplifiée et valant brevet l’obligation de résultats imposée au système éducatif, et à ses acteurs que sont les professeurs, par le socle.

27 BM - Novembre 2010SNES National - Secteur Collège27 Circ LPC Aux termes de l'article D. 311- 6, il « permet à l'élève, à ses parents ou représentants légaux et aux enseignants de suivre la validation progressive des connaissances et compétences du socle commun » tout au long de la scolarité obligatoire. Un vocabulaire commun est défini pour ces attestations : chacune des sept compétences du socle commun est structurée en « domaines », eux-mêmes déclinés en « items ». Les items désignent les connaissances, capacités ou attitudes qui se combinent pour constituer les compétences. 1.2 Le livret personnel de compétences se distingue du livret de compétences expérimental prévu par la loi du 24 novembre 2009 relative à l'orientation et à la formation tout au long de la vie. Ce livret expérimental inclut le livret personnel de compétences parce qu'il recense les compétences acquises en formation initiale (enseignements, activités éducatives) mais son périmètre est sensiblement plus large car il mentionne aussi les compétences acquises en dehors du champ scolaire (réalisations et engagements des jeunes hors des établissements, expériences de découverte des voies de formation et du monde professionnel). La validation des compétences relève d'une décision des équipes pédagogiques, qui se fondent sur l'évaluation des items pour valider chaque compétence. Elles peuvent toutefois choisir d'apprécier une compétence de manière globale, même si quelques items qui la composent n'ont pas été évalués positivement. Si des lacunes manifestes apparaissent dans un domaine, la compétence ne pourra être validée. le livret personnel de compétences est renseigné, à l'école, par le conseil des maîtres de cycles, au collège, par le professeur principal, (…) après consultation de l'équipe pédagogique. La validation d'une compétence est une décision définitive qui requiert toute l'attention des équipes éducatives : une compétence validée le reste. Pour certaines compétences, il est possible de commencer la validation en classe de quatrième. C'est au plus tard lors du conseil de classe du troisième trimestre qu'il convient d'attester ou non la maîtrise du socle commun. Lorsque la maîtrise du socle commun est attestée, le chef d'établissement porte sur la première page son cachet et sa signature. SOCLE du SOCLE ? Le livret personnel de compétences permet aux équipes pédagogiques, notamment lors d'un changement d'établissement scolaire comme lors du passage de l'école au collège, d'identifier les points forts et les difficultés de chaque élève, et de définir les objectifs d'apprentissage des programmes personnalisés de réussite éducative (PPRE). Une priorité est donnée à la maîtrise de la langue française et aux principaux éléments de mathématiques car ces deux compétences conditionnent largement les autres apprentissages en milieu scolaire.


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