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TCC et Obésité Docteur MIRABEL-SARRON Christine

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Présentation au sujet: "TCC et Obésité Docteur MIRABEL-SARRON Christine"— Transcription de la présentation:

1 TCC et Obésité Docteur MIRABEL-SARRON Christine
CMME Université Paris V 100 rue de la Santé 75014 PARIS FRANCE

2 L’obésité, un enjeu de santé publique
La prévalence de l’obésité est en constante augmentation (OMS, 2003) Progression de 10 à 40% ces dix dernières années L’obésité et le surpoids affecteraient plus d’un milliard de personnes dans le monde (WHO, 1998) 11% de la population française serait obèse, 30% en surpoids (Bocquier et coll., 2006) L’obésité est plus fréquente chez la femme que chez l’homme, même si le surpoids est plus fréquent chez ce dernier.

3 La France au hit parade de la minceur
Devinez qui sont les plus minces? Les Français : une corpulence moyenne la plus basse d’Europe et des pays développés, avec un IMC (Indice de Masse Corporelle) moyen de 24,9 pour les hommes et de 23,6 pour les femmes. Plus de 80 % se considèrent globalement «bien informés» sur la nutrition et seulement 9 % «ne cherchent jamais d'informations sur ces questions» »

4 Le vécu de l’image corporelle (1)
Ce vécu de l'image corporel varie en fonction des catégories socio-économiques, des races, et de l'attitude de l'environnement familial. (Vadem 1982).

5 Le vécu de l’image corporelle (2)
Les jeunes filles normopondérées s'accorderaient moins encore de leur corps que les jeunes filles obèses. L'insatisfaction de la femme par rapport à son poids et à son corps est peut être un phénomène général qui devient un trouble massif dans le cas de troubles des conduites alimentaires. D’autres études montrent que les femmes comparativement aux hommes présenteraient un style de raisonnement commun ou l'alimentation est appréhendée pour ses conséquences sur le corps.

6 Partie 1 : Qu’est ce que le poids idéal?

7 Le calcul de l’Indice de Masse Corporelle
L’IMC (ou indice de Quételet) est un indice simple du poids par rapport à la taille Il se calcule en divisant le poids en kilogrammes par le carré de la taille en mètres (kg/m2). Par exemple, un adulte qui pèse 70 kg et qui mesure 1,75 m aura un IMC de 22,9 : IMC = 70(kg) 1,752(m2)= 22,9

8 Classification internationale de l’obésité (adulte) OMS, 1995
IMC Insuffisance pondérale < 18,5 Eventail normal 18,5-24,99 Surpoids >25 Préobèse 25-29,99 Obèse, classe I 30-34,99 Obèse, classe II 35-39,99 Obèse, classe III >40

9 Classification de l’obésité chez l’enfant
Courbes de croissance de référence basées sur le rapport poids/âge et le rapport taille/âge (OMS, 1983; WHO, 1986).

10 La régulation du poids Des mécanismes psychophysiologiques qui gouvernent le poids et le comportement alimentaire sont précis et performants. Pour faire le juste poids Pour préserver sa santé physique et mentale

11 Le poids idéal social Cette recherche du poids idéal va à l'encontre des lois de l'évolution du corps qui connaît rondeurs, maternités et épanouissement global.

12 Partie 2 : Du poids à l’image du corps.

13 Le concept d’image du corps
Le vécu et la perception corporelle sont désormais considérés un important facteur de risque Les différents auteurs décrivent un trouble de l’image du corps comme une distorsion qui inclut et reflète les idées, les images internes, les émotions ainsi que les cognitions autour du corps des patients. Les deux composantes : l’estimation de la taille corporelle ; les attitudes ou les émotions autour de leur corps. Hilde Bruch a été, en 1962, la première à suggérer qu’il y avait un trouble de l’image corporelle dans les TCA. En effet, l’expérience corporelle, la perception du poids et de la forme corporelle sont particulièrement perturbées chez ces patientes. Comment l’on perçois, l’on vit et l’on évalue le corps vient considérer un important facteur de risque dans le développement d’un TCA. Différents auteurs sont arrivés à la conclusion que les troubles de l’image corporelle sont une distorsion qui inclut / reflète les idées des patientes, leurs images internes ainsi que les cognitions et les émotions liées à leur propre corps. Au-delà de toutes les controverses autour du concept d’image du corps, généralement il vient considéré par rapport à deux composantes: l’estimation de la taille corporelle – à l’aide de tâches perceptives Et b) Les attitudes ou les émotions autour du corps.

14 Techniques utilisées Marquer d’images
(Gleghorn et al., 1987 ; Whitehorn et al., 1986) ; Échelles analogiques (Birtchnell et al., 1985 ; Casper et al., 1979) ; Distorsion optique (Freeman et al., 1985 ; Garfinkel et al., 1992 ; Garner et al., 1985) ; Cartes de silhouettes (Bulik et al., 2001 ; Williamson et al., 1989) ; Auto-questionnaires (Mountford et al., 2006 ; Probst el al., 1999) ; Méthodes kinesthésique (Powers et al., 1985). Six les techniques ou tâches perceptives utilisées pour estimer la taille corporelle. Ici vous les trouvez tous ensemble avec les auteurs des principales études. Comme vous verrez plus tard, nous avons retenus le méthode de cartes de silhouettes.

15 Perception de l’image corporelle (Mouchès, 1992)
Afin de évaluer la perception de l’image corporelle un dessin représentant une progression de dix silhouettes de femmes (de maigre à grosse), chacune correspondante à un indice pondérale spécifique, est montré aux patientes. Les consignes sont de choisir : la silhouette qui correspond la plus à leur silhouette actuelle ; la silhouette qui correspond la plus à leur silhouette idéale ; et la silhouette qui correspond la plus à leur silhouette souhaitée. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 BMI 15,7 16,9 18,0 19,3 20,4 21,6 22,8 24,1 25,4 27,0

16 Partie 3 : Qu’est ce que une alimentation équilibrée?

17 Que mangez-vous ? Petit déjeuner Déjeuner : - 41 % prennent une entrée
- 87 % prennent un plat principal - 34 % prennent un fromage - 70 % prennent un dessert Dîner : - 50 % prennent une entrée - 68 % prennent un plat principal - 23 % prennent du fromage - 66 % prennent un dessert

18 Manger équilibré La diversité alimentaire se mesure journellement par un relevé de la consommation des produits en fonction de leur catégorie d'origine. La variété alimentaire se définit par le nombre d'aliments différents consommés sur une période donnée. En nutrition, l'alimentation saine correspond aux notions de diversité, d'équilibre et de modération, de variété et de plaisir. On ne répétera jamais assez que nous devons consommer chaque jour au moins cinq légumes ou fruits.

19 Une alimentation diversifiée
Diversité : (Céréales, viandes, légumes et fruits, produits laitiers) Variété alimentaire : (nombre différent d’aliments consommés sur une période donnée) Profil alimentaire typique : - 50 % de glucides - 20 % de protéines 30 % de lipides Comment allier une alimentation équilibrée, une bonne santé et le plaisir alimentaire ?

20 L’acte de manger ou une histoire d’amour
Amour des aliments qui nous font vivre, qui sont porteurs d’histoires et de symboles, qui sont si bons lorsqu’ils comblent précisément nos besoins physiques, psychologiques et émotionnels; Amour et respect de nous-même, quand nous mangeons à l’écoute de nos appétits ; Amour de nos semblables avec qui nous partageons.

21 Les solutions amour de manger éducation du goût
écoute de ses sensations écoute de ses émotions dédiabolisation des aliments lutte contre la stigmatisation du poids

22 Partie 4 : Les facteurs psychologiques et émotionnels.

23 Les pensées qui influencent nos comportements alimentaires
Des pensées universelles (lois de Frazer) Des pensées émotionnelles (plaisir, angoisse,…) Des pensées individuelles (« Je suis une gourmande »)

24 les lois universelles (1)
Principe d’incorporation : « On devient ce que l’on mange » « Ce que l’on mange devient nous-même » Pour une pomme : absorption de l’eau, du sucre, des fibres et de la substance imaginaire (tissu d’évocation, de signification)

25 Les lois universelles (2)
Principe de similarité Les choses avec lesquelles nous partageons une certaine intimité sont difficilement consommables. Les aliments trop loin de l’homme sont également immangeables (araignées,…).

26 Les lois universelles (3)
Principe de contiguïté « Une fois en contact, toujours en contact ». La substance considérée comme dangereuse et contaminante est à l’origine de dégoûts. (attributs psychiques, chimiques, moraux,…) Les principes de similarité et de contiguïté s’additionnent souvent.

27 A quoi servent ces pensées ?
Créer une homéostasie interne de l’individu :état d’équilibre biologique Créer une homéostasie externe :une bonne adaptation avec l’environnement.

28 La peur dans nos assiettes (fausses croyances)
« Le moisi du roquefort, du bleu, c’est horrible, c’est dangereux » « Manger de la salade rend faible » « Les féculents font grossir » « Quand je mange un œuf en gelée, mon corps devient mou comme de la gelée » «  Le pain est inutile ; c’est un non-aliment » « La charcuterie, c’est malsain ; on ne sait pas ce qu’il y a dedans »

29 La santé dans son assiette
« Les aliments blancs sont fades » « Manger de la viande rend fort » « Les tomates rouges sont pleines d’énergie » « Les abricots, c’est l’été. Ils sont pleins de vitamines » « Le chocolat est antidépresseur »

30 Goûts et dégoûts Entre six et dix ans, l’enfant acquiert ses comportements alimentaires grâce: à une motivation sensori-affective (goût, odeur, couleur), à l’anticipation des conséquences, au fonctionnement métabolique, à l ’équipement génétiques, aux composantes psychologiques, à l ’intégration des facteurs culturels, religieux, éducatifs.

31 Partie 5 : Comment modifier son comportement alimentaire ?

32 Pour supprimer le stress des régimes amaigrissants (1) :
Petit-déjeuner : ½ pamplemousse 1 tranche de pain de campagne grillée 25 cl de lait écrémé Déjeuner : 125 g de blanc de poulet grillé, sans la peau 150 g d’épinard cuits à la vapeur 1 tasse de tisane non sucrée 1 Pépito

33 Pour supprimer le stress des régimes amaigrissants (2) :
Goûter : Tout le reste du paquet de Pépito 2 cartons de glace Haagen-Dasz, de préférence avec noisettes, amandes, caramel, etc.… Crème Chantilly à volonté 1 grand pot de sauce fudge ou du chocolat fondu Dîner : 2 baguettes grillées, beurrées et frottées d’ail ou des frites à volonté avec de la mayonnaise 1 grande pizza Régina 3 ou 4 cannettes de Coca-Cola ou de bière 3 Mars glacés Au coucher : ½ pot de Nutella 1 whisky pour bien dormir

34 La démarche de soin Elle associe souvent des démarches complémentaires: Approche diététique Pratique sportive Psychothérapies Médicaments (anxiété, dépression,..) Associations de patients

35 Thérapies Comportementales et Cognitives
Thérapies brèves (15 séances environ). L’objectif est la modification d’un comportement problème : la restriction nutritionnelle par exemple. L’évaluation de la symptomatologie est un temps principal. La thérapie est proposée sous forme d’un contrat. Le contrat comporte des objectifs personnalisés et les moyens de les atteindre.

36 La prise en charge TCC (1)
Une méthode psychothérapique centrée sur le contrôle des stimuli qui vise: à mieux maîtriser le comportement alimentaire à mieux gérer les aliments à disposition Le carnet alimentaire permet de noter les apports (repas ; composition ; horaires) mais aussi les stratégies de contrôle et le contexte émotionnel

37 La prise en charge TCC (2)
Abord des cognitions en rapport avec la prise alimentaire. Reformulation des pensées dysfonctionnelles concernant le poids, l’alimentation, l’image du corps et l’estime de soi.

38 Les variations de l’estime de soi
- Une personne à bonne estime de soi, se pense digne du respect et de l’amour des autres. - A l’opposé, avec une faible estime de soi, il ne se considère pas digne du respect et de l’amour des autres. - Bonne estime en valeur personnelle et faible estime en compétence : personne passive, hypersocialisation pour faire oublier son défaut de compétence. - Estime en valeur de soi basse, et estime en ses compétences haute : personne hyperactive dans le travail , perfectionniste souvent qui pense qu’en travaillant bien il aura l’amour et la reconnaissance des autres. Le carencé affectif, par peur d’être exploité par les autres, peut refuser d’exploiter ses talents…

39 Conséquences de la faible estime de soi
Les personnes a faible estime de soi, sont très sévères vis-à-vis d’eux même et rarement satisfaits de leurs performances, même si elles sont objectivement valables. « quand ils ont fait très peu, ils se punissent beaucoup et quand ils ont fait beaucoup ils se félicitent très peu » (Boisvert, Beaudry 1979)

40 Schémas cognitifs de maintien d’une faible estime de soi
J’ai besoin qu’on m’aime, Je ne suis pas capable de…, Je dois faire toujours mieux, Je n’arrive jamais à me décider, Je dois me méfier des autres, ….

41 Jeune femme de 32 ans qui vient consulter pour un surpoids installé depuis des années
Mariée, mère d'un garçon de un an ; Jusqu'à 25 ans, 42 kilos pour 1 mètre 60 ; Début des régimes à l'âge de 16 ans ; Première prise de poids à 26 ans, entrée dans la vie active ; Poids "yoyo" ne contrôle plus depuis une année.

42 CARNET ALIMENTAIRE "TCC"
SITUATION CE QU’ELLE MANGE EMOTIONS PENSEES SENSATIONS PHYSIQUES COMPORTEMENT 1er exemple samedi après-midi je mange un gâteau au chocolat avec ma mère culpabilité je ne devrai pas manger ce chocolat je suis tendue de partout je mange le gâteau à regret 2ème exemple dimanche après-midi en faisant des courses je demande à mon mari d'aller me chercher un café il me rapporte un petit café stupéfaction, colère  il veut bien me dire que je dois maigrir je bois le café avec amertume, et je me dis qu'il a raison et je suis triste

43 PREMIÈRE HYPOTHÈSES D'ANALYSE FONCTIONNELLE
Analyse diachronique :  Éléments historiques familiaux et personnels. Identification d'autres troubles comorbides. Établir une chronologie dans l'apparition des troubles, leurs rémissions, leurs aggravations. Analyse synchronique: Le comportement aujourd'hui : Fréquence, intensité, les lieux, la manière, en compagnie de qui? Identification des facteurs qui améliorent les troubles, qui les aggravent ou qui les maintiennent.

44 ÉVALUATION COGNITIVE SITUATION EMOTIONS PENSEES COMPORTEMENT LUNDI
sur mon bureau un mot désagréable de mon associé injustice, colère, tristesse il est totalement injuste, je l'ai perdu pleure je rentre chez moi le soir joie de retrouver mon fils il m'a manqué je le prends dans mes bras MARDI mon associé rentre de vacances il ne rentre pas dans mon bureau tristesse il n'aurai jamais fait cela il y a un an encore, il serait rentré, m'aurait demandé comment se seraient passées mes vacances je suis abattue sur ma chaise

45 R. 40 ans, surpoids avec compulsions
Début des troubles à 25 ans Contexte de rupture sentimentale Prise brutale de 30 kg Depuis 15 ans, échec de tous les régimes Compulsion alimentaire en rapport avec les relations affectives

46 VARIATIONS EMOTIONNELLES
CARNET ALIMENTAIRE 1a CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 15 heures 15 Déjeuner 615/670 Kcal Tout va bien 200g de légumes 20g de viande 60g de fromage 1 yaourt 0% + 5g de sucre 10g d'huile parmesan 2 cuillères de sauce pistou

47 VARIATIONS EMOTIONNELLES
CARNET 1b (SUITE) CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 22 heures 45 : restaurant avec un ami Dîner 980 Kcal Tout va bien avant 100g de viande 200 Kcal 200g de féculents gratin dauphinois 300 Kcal formage + 30g de pain Kcal J'ai encore faim

48 CARNET ALIMENTAIRE 1c (SUITE)
CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 23 heures 45 : seule dans la rue Crêpe + crème de marrons 280 Kcal J'ai encore faim Je suis un peu inquiète 10g d'huile Un peu contrariée en notant le repas : J'hésite à acheter une pomme trop élevé (aurais dû acheter une pomme), J'ai envie d'une crêpe J'essaye de ne pas culpabiliser J'ai l'impression que l'ami s'ennuie avec moi

49 CARNET ALIMENTAIRE 2a CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS
VARIATIONS EMOTIONNELLES 14 heures Déjeuner 615/670 Kcal Tout va bien avant Repas avec préparation 200g de légumes 100g de viande 200g de féculents 10g d'huile 16 heures 30 : au café Goûter 180 Kcal 1 menthe à l'eau Mal à l'estomac

50 CARNET ALIMENTAIRE 2b (SUITE)
CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 17 heures 30 Je me sens un peu faible J'ai la tentation d'acheter un gâteau J'ai conscience que je n'ai pas faim 19 heures : à la maison 160 Kcal Après les courses (tout va bien avant) 1 goûter bio 95 Kcal J'ai la tentation de boire quelque chose 1 yaourt 65 Kcal Je n'ai pas de difficultés à renoncer J'ai bu hier

51 CARNET ALIMENTAIRE 2c (SUITE)
CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 20 heures 30 Dîner 585 Kcal J'ai faim avant le dîner 150g de crudités + 5g d'huile Café avant de préparer le repas 100g de viande 200g de légumes verts salade + sauce J'ai oublié de préparer un entremet : (10g d'huile + 1/4 de yaourt) Je prends une portion de fromage fromage + 25g de pain 22 heures 30 10g de chocolat Je suis préoccupée pour des raisons professionnelles

52 CARNET ALIMENTAIRE 2d (SUITE)
CONTEXTE COMPOSITION DU REPAS VARIATIONS EMOTIONNELLES 23 heures Crise 470 Kcal Quelle attitude avoir entre 2 solutions ? 3 biscuits 270 Kcal Choix difficile qui peut engager l'avenir 1 mousse 150 Kcal En notant, la nécessité de tomber dans la nourriture 5g de pain + confiture 50 Kcal 2 heures 45 810 Kcal Inquiétudes professionnelles 3 mousses 450 Kcal Je perds le contact avec l'idée d'amaigrissement et de stabilisation 2 biscuits 180 Kcal

53 Études d’évaluation Une vingtaine d’études contrôlées atteste de leur efficacité. Les TCC entraînent un changement significatif pour les quatre caractéristiques des boulimies : les boulimies, la prise de laxatifs, la restriction nutritionnelle et les attitudes anormales concernant le poids et la silhouette corporelle. Le changement opéré par les TCC concerne à la fois les troubles psychopathologiques spécifiques et généraux: Ainsi elles améliorent également la souffrance dépressive, anxieuse, l’estime de soi et le fonctionnement social de l’individu. Les gains thérapeutiques se maintiennent (études de suivi : 6 mois et 1 an).

54 Une dialectique sociale difficile à gérer :
CONCLUSIONS Une dialectique sociale difficile à gérer : Une profusion d’aliments disponibles Une alimentation « snacking » en augmentation Un culte de la minceur très médiatisé

55 Merci de votre attention.


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