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Comportements de consommation des produits laitiers Evolutions de long terme Enseignements de l’enquête 2013 Noëlle PAOLO – Responsable stratégie et études.

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1 Comportements de consommation des produits laitiers Evolutions de long terme Enseignements de l’enquête 2013 Noëlle PAOLO – Responsable stratégie et études Direction de la communication CNIEL Matinée économique CNIEL - 1 avril 2015

2 Un outil de mesure L’étude CCAF du Crédoc pour situer la place des produits laitiers dans le bol alimentaire Partie Baromètre Partie Consommation alimentaire Depuis 1981 tous les 3 ans 11 points de mesure Jusqu’en 2003 un baromètre centré sur les PL avec un carnet de consommation 7 jours Depuis l’utilisation de l’enquête Crédoc La rétropolation des données pour conserver l’historique En 2003, 2007, 2010, 2013 : Carnets de consommation sur 7 jours (+ cahier photographique SU.VI.MAX) Tous les aliments liquides et solides, Occasions et lieux de consommation, contexte d’accompagnement… Tables nutritionnelles du CIQUAL 2013 1980 personnes interrogées 1171 adultes ans 809 enfants et adolescents 3-14ans

3 TOTAL PRODUITS LAITIERS (AVEC INGRÉDIENTS)
Depuis 2013 la mesure de la consommation ingrédients (utilisation en cuisine par la MdM et IAA) TOTAL PRODUITS LAITIERS (AVEC INGRÉDIENTS) Ultra-frais laitiers Fromages Lait Beurre Crème Yaourts, Laits fermentés Fromages hors ingrédients Lait hors ingrédient Beurre hors ingrédient Fromages blancs, Petits- suisses Fromage ingrédient Lait ingrédient Beurre ingrédient Desserts laitiers

4 Eléments de contexte alimentaire
Une baisse du bol alimentaire en termes de quantités consommées depuis 2003 5 % chez les adultes et 14 % chez les enfants Avec depuis 2010 des comportements de frugalité lié à la crise (subi ou choisi) SIMPLIFICATION DES REPAS ET SAUT DE REPAS MOINS EN QUANTITE Des transferts au profit de produits moins chers, tout prêts ou plaisir Les produits laitiers 18% du bol alimentaire des enfants, 9% pour les adultes (en g/j)

5 Eléments de contexte alimentaire
Chez les enfants : Baisse des quantités d’aliments consommées entre 2010 et 2013 sur presque toutes les catégories de produits (sauf : pizzas, volailles, pâtes, riz, biscuits sucrés) Chez les adultes : Baisse des quantités d’aliments consommées entre 2010 et 2013 sur presque toutes les catégories de produits (sauf : pizzas, pâtes)

6 Sur le court terme la consommation de PL résiste chez les enfants mais baisse légèrement chez les adultes. La part consommée sous forme d’ingrédients progresse. Evolution des consommations de produits laitiers entre 2004 et 2013 (g/j) Part ingrédient 6% 8% 8% 10% 384,1 hors ingr. AVEC ingrédients 340,9 342,8 326,8 hors ingr. ** 264,5 253,9 hors ingr. 248,0 hors ingr. 249,5 * * ** 6 Note : Tests d’évolution entre 2010 et *: p<0.05; **: p<0.01; ***: p<0.001 Source : CREDOC, Enquêtes CCAF 2004, 2007, 2010 et 2013

7 Les PL sont très présents dans l’alimentation des français : le trio de tête fromage, yaourt et lait
Pourcentage d’individus consommateurs et nombre d’actes de consommation sur 1 semaine

8 Diagnostic LAIT 61% des français consomment du lait
Diagnostic LAIT 61% des français consomment du lait. Moins de consommateurs qui consomment moins souvent , une légère amélioration sur le court terme (stabilisation) Enfants : 85% (91% en 2003) Adultes : 57% (62% en 2003)

9 Diagnostic LAIT En 2013, 27% des français consomment du lait de manière quotidienne contre 42% en 2007 Individus âgés de 3 à 75 ans

10 Diagnostic lait Les consommateurs les plus réguliers sont les enfants
Diagnostic lait Les consommateurs les plus réguliers sont les enfants. Les moins réguliers sont les jeunes adultes (18-35 ans). Quelque soit l’âge les français sont moins nombreux à consommer du lait quotidiennement.. On observe en 2013 un décrochage dans la consommation quotidienne des enfants. Évolution de la proportion d’individus ayant bu du lait tous les jours sur une semaine d’enquête selon l’âge (années 2003, 2007, 2010 et 2013)

11 Diagnostic LAIT Un décrochage chez les enfants qui s’explique par l’augmentation du saut de petit-déjeuner (phénomène déjà présent les années antérieures chez les ado) Évolution du nombre moyen de petit-déjeuner pris sur une semaine d’enquête selon l’âge (années 2003, 2007, 2010 et 2013)

12 Diagnostic LAIT Bien installée durant l’enfance la fréquence de consommation baisse pour atteindre un palier vers 20 ans. Elle progresse ensuite. Une baisse de la fréquence de consommation quel que soit l’âge

13 Diagnostic LAIT Cette baisse de fréquence concerne en particulier les consommateurs enfants en après avoir concerné les plus de 45 ans en 2010

14 Diagnostic LAIT Le petit déjeuner reste un moment clé : 76% des actes de consommation ont lieu au petit-déjeuner mais les consommateurs y sont moins nombreux. Les quantités s’y maintiennent chez les enfants. A court terme le goûter et la collation se maintiennent. 1994 1997 2003* 2007* 2010* 2013* Petit-déjeuner 77% 75% 61% 63% 58% 55% Déjeuner Juste avant le déjeuner 15% /// 12% 6% 7% 5% Goûter (et après-midi en 2003) 28% 24% 17% 20% 16% 18% Dîner Juste avant le dîner Collation 14% 11% 8% 3% 9% Soirée / coucher Base : Total individus Enfants adultes Petit déjeuner 2007 2010 2013 % consommateurs 89% 84% 81% 58% 53% 49% Consommation en gr/j 161 163 160 91 86 73 *Source : CRÉDOC, enquêtes CCAF 2003, 2007, 2010 et 2013

15 Diagnostic LAIT Taux de consommateurs selon les variables sociodémographiques

16 Lait : Une érosion des actes de consommation en 2013 – Synthèse –
Baisse de la consommation de lait – moins de consommateurs qui consomment moins souvent et en moindre quantité Les enfants et les 45 ans et + La consommation « en ajout » Raisons possibles : Des évolutions de consommation de boissons liées aux générations et au cycle de vie : jus d’orange, BRSA (étude petit déjeuner à venir) Le modèle alimentaire français (né au XXème) reste très structuré et est caractérisé par des freins culturels important : il difficile d’imaginer le lait autrement qu’au petit déjeuner Trop lié au petit-déjeuner qui voit sa place s’éroder Discours anti-lait ? Qui altère le coté bénéfique pour la santé et indispensable du lait (études) Des innovations voient le jour pour accompagner la mobilité au petit déjeuner (étude sur le potentiel du lait boisson...)

17 Diagnostic BEURRE Une part consommée tel quel qui s’érode, la part consommée sous forme ingrédient se maintient Evolution des consommations de beurre entre 2004 et 2013 (g/j) Base : Enfants (N=948 en 2013) et Adultes (N=1091 en 2013) AVEC ingrédients Part ingrédient 70% 73% 48% 51% 12,3 11,8 Non calculé 8,2 7,7 Non calculé Non calculé Non calculé Attention : baisse en tendance chez les adultes * Note : Tests d’évolution entre 2010 et *: p<0.05; **: p<0.01; ***: p<0.001 Source : CREDOC, Enquêtes CCAF 2004, 2007, 2010 et 2013

18 Diagnostic BEURRE (tel quel ) Un français sur deux consomme du beurre
Diagnostic BEURRE (tel quel ) Un français sur deux consomme du beurre. Le nombre de consommateurs continue à baisser. Depuis 2007 les consommateurs ne réduisent plus leur fréquence de consommation. Alors qu’elle était quotidienne la consommation devient occasionnelle 11% de consommateurs de beurre allégé Soit 59% de consommateurs de beurre 97% de consommateurs de beurre yc ingrédients (préparation maison et industrielles) 51% de consommateurs de beurre tel quel 51% de consommateurs de préparations maison contenant du beurre Enfants : 42% (72% en 2003) Adultes : 53% (78% en 2003)

19 Diagnostic BEURRE (tel quel) Une augmentation de la régularité avec l’âge. Peu de consommateurs quotidiens. Ces consommations sont le fait des consommateurs âgés. 2/3 des ados sont non consommateurs. Régularité de la consommation de beurre selon l’âge (proportion d’individus en fonction du nombre de jours de consommation par semaine)

20 Diagnostic BEURRE Une fréquence de consommation et des quantités qui progressent nettement avec l’âge. En 25 ans la fréquence de consommation a considérablement diminué ce parmi toute la population et en particulier chez les jeunes. Sur le court terme la baisse de la fréquence et des quantités se poursuit en particulier chez les adultes. 2007 2010 2013

21 Diagnostic Beurre Une effet d’âge et de génération défavorables Les nouvelles générations consomment moins que les précédentes Au même âge les nouvelles générations consomment moins

22 Diagnostic BEURRE Un nombre de consommateurs qui se stabilise au petit déjeuner, des érosions continues lors des repas. Le petit-déjeuner est la première occasion de consommation : 60% des actes de consommation y ont lieu (contre 53% en 2003) Base : Total individus 1994 1997 2003* 2007* 2010* 2013* Petit-déjeuner 56% 50% 35% 37% Déjeuner 54% 55% 41% 33% 29% 21% Goûter 16% 9% 7% 5% 4% Dîner 46% 45% 27% 22% Collation / Encas 2% 0% Apéritif 1% *Source : CRÉDOC, enquêtes CCAF 2003, 2007, 2010 et 2013

23 Diagnostic BEURRE Taux de consommateurs selon les variables sociodémographiques

24 Beurre : Une amélioration de la situation même si l’érosion du nombre de consommateurs se poursuit en 2013 – Synthèse – Une poursuite de la baisse du nombre de consommateurs et d’actes de consommation. Mais une stabilisation du nombre des actes chez les consommateurs Une part utilisée en cuisine qui se maintient Un nombre de consommateur qui se maintient au petit déjeuner mais une baisse de l’usage du beurre (consommé tel quel) au déjeuner et au dîner Raisons possibles : Propagation d’un discours anti-MG/ beurre et une diabolisation pendant plus de 20 ans. Sur le court terme une réhabilitation par la communauté scientifique et par les chefs Un contexte de valorisation du plaisir alimentaire qui progresse, les émissions culinaires Peu d’ancrage dans la culture alimentaire des jeunes et dans leurs petits déjeuners La place du petit déjeuner qui s’érode

25 Diagnostic FROMAGE La consommation de fromage « ingrédient » représente 30% des quantités consommées (28% en 2010). Elle est encore plus importante chez les plus jeunes (45% ans; 13% chez les plus de 60 ans). Elle progresse pour toutes les cibles, au détriment du fromage consommé tel quel Quantités de fromages (dont ingrédients) consommées (g/j) selon l’âge. 3-75 ans en 2010 en 2013 6,7 g/j 2,6 g/j 1,3 g/j 27,2 g/j 8,4 g/j 1,9 g/j 1,0 g/j 26,5g/j Ingrédient : de préparations faites maison ou non Râpé : fromage râpé ajouté Plat : plat 100% fromage (fondu savoyarde) Tel quel : fromages en fin de repas 37,9 g/j 37,8 g/j Source : CRÉDOC, enquête CCAF 2010 et 2013 Rapport spécifique 3 ans et plus.

26 Diagnostic FROMAGE Les fromages ont su s’adapter à tous les modes et moments d’utilisation… des plus traditionnels aux plus nouveaux Tradition revisitée Raclettes , Fondues, Tartiflette Gratins Pâtes Quiches, pizzas Croque monsieur, toasts Bricks, crêpes, paninis Nouveaux usages Sauces Salades, verrines Soupes Pour améliorer toutes les recettes En association avec les viandes Encas Avant les repas Entre les repas Repas de midi ou du soir Apéritif, brunchs Grignotage à domicile Snacking hors domicile Et bien sûr cuisine Renouveau des tartines Des associations originales Apéritifs Cubes, mini brochettes, tuiles Roulé dans du jambon Avec des fruits En pâte feuilletée

27 Diagnostic FROMAGE Près de 9 français sur 10 consomment du fromage consommé tel quel. Une relative stabilité du nombre de consommateurs de fromage consommé tel quel jusqu’en 2007, une légère érosion depuis. La fréquence s’érode également. 4,6 + 2,1 fromage ingrédient 98% y compris fromage ingrédient (préparations faites maison ou industrielles) : - 87% de consommateurs de fromage tel quel - 42% de consommateurs de préparations faites maison contenant du fromage Enfants : 80% Adultes : 88%

28 Diagnostic FROMAGE La fréquence de consommation du fromage tel quel progresse nettement avec l’âge pour atteindre quasiment 1 acte par jour. Des érosions sur longue période en particulier chez les moins de 45 ans compensée par la consommation « ingrédient».

29 Diagnostic FROMAGE Peu différenciée avant 30 ans, la consommation en fin de repas devient plus masculine ensuite.

30 Diagnostic FROMAGE (fin de repas) La régularité de consommation de fromage est très liée à l’âge. Elle progresse fortement à partir de 45 ans. Les anciennes générations sont les plus consommatrices mais aussi les plus régulières. Entre 2010 et 2013 on note une proportion en baisse de consommateurs quotidiens à relier à la baisse probable des fins de repas. Régularité de la consommation de fromage selon l’âge (proportion d’individus en fonction du nombre de jours de consommation par semaine)

31 Diagnostic FROMAGE Des consommateurs qui restent nombreux en fin de repas du midi et du soir même si ce nombre s’érode. Le déjeuner résiste chez les enfants (cantine) Base : Total individus *Source : CRÉDOC, enquêtes CCAF 2003, 2007, 2010 et 2013

32 Diagnostic FROMAGE Taux de consommateurs selon les variables sociodémographiques

33 La consommation de fromage en 2013 – Synthèse –
Le fromage est très consommé par les français Une part croissante du fromage consommé en ingrédient pour toutes les cibles Le dîner et le déjeuner sont les 2 moments clés de la consommation Raisons possibles : Un territoire d’image extrêmement fort (goût, variété, patrimoine…) La cuisine un levier majeur de développement Une légère érosion en fin de repas lié à la modification de la structure des repas (simplification du modèle) et à la baisse de prise de fins de repas Modes de consommation plus diversifiés chez les plus jeunes : plus forte consommation de fromage en tant qu’ingrédient 33

34 Diagnostic UF/ YAOURT Près de 9 français sur 10 consomment de l’UF Sur le long terme le nombre de consommateurs et d’actes de consommation est en croissance. Après avoir diminué entre 2003 et 2010 le taux de consommateur se stabilise en 2013 2013 2010 2007 Yaourts 70% des individus 71% 73% 2,7 actes par semaine par individu 3,1 actes 3,4 actes Desserts au lait 50% des individus 50% 53% 1,2 actes par semaine par individu 1,1 actes 1,3 actes Fromages blancs 26% des individus 24% 29% 0,6 acte par semaine par individu 0,5 acte 0,6 acte Petits suisses 9% des individus 7% 8% 0,2 acte par semaine par individu 0,2 acte % consommateurs Enfants Adultes 2007 2010 2013 Yaourts 81% 79% 69% 68% fromage blanc / petits suisses 33% 35% 41% 32% 29% 31% Desserts laitiers 63% 56% 59% 53% 52% 48%

35 PETITS SUISSES YAOURTS FROMAGE BLANC DESSERTS LAITIERS
Une progression du nombre d’actes à presque tous les âges Une consommation enfantine 2 fois moins fréquente qu’en 1988 PETITS SUISSES YAOURTS Une progression de la consommation à tous les âges depuis Entre 2010 et 2013 la fréquence de consommation a progressé chez les enfants (moins de 25 ans) Depuis 1988, une progression du nombre d’actes à presque tous les âges FROMAGE BLANC DESSERTS LAITIERS

36 Diagnostic YAOURT/ DESSERTS LAITIERS
2 moments clé de consommation le déjeuner et le diner Une place notable de la consommation au petit déjeuner Une érosion de la consommation de yaourt principalement au déjeuner Yaourt 2007 2010 2013 Petit déjeuner 13% 10% Déjeuner 52% 48% 44% Goûter 11% 9% 7% Dîner 55% 54% En-cas 4% 2% 5% Enfants : 58% ; Adultes: 42% Enfants : 15% ; Adultes: 5% Enfants : 57% ; Adultes: 51% Desserts laitiers 2007 2010 2013 Petit déjeuner 1% Déjeuner 35% 32% Goûter 6% 5% 3% Dîner 33% 31% En-cas 2% Enfants : 42% ; Adultes: 33% Enfants : 37% ; Adultes: 30%

37 Diagnostic ULTRA FRAIS Taux de consommateurs selon les variables sociodémographiques

38 UFL : Une baisse observée en 2013 – Synthèse –
Une forte proportion de français consommateurs d’ultra-frais (87%) avec une préférence pour les yaourts (70%) et les desserts laitiers (50%) Plus d’1/3 des français consomme des ultra-frais quotidiennement ou quasi quotidiennement (5 jour ou plus sur 7 jours). Sur les 20 dernières années le taux de consommateurs reste stable, on observe néanmoins une baisse de la fréquence de consommation. Au sein des UF ce sont les yaourt qui pâtissent de cette baisse. Au-delà de la quarantaine les femmes consomment plus fréquemment que les hommes La baisse du nombre de consommateurs se constate en particulier sur le déjeuner des adultes (à creuser sur l’étude fin de repas). Raisons possibles : Un territoire d’image double sur le plaisir et sur la santé (goût, variété, digestion…) Une légère érosion en fin de repas lié à la modification de la structure des repas (simplification du modèle) et à la baisse de prise de fins de repas Une érosion sur le caractère essentiel Une perception d’aliment sucré (dessert), un effritement du caractère naturel 38

39 Pour bâtir des plans de communication
D’autres études nous permettent d’identifier les forces et faiblesses de chacun des produits auprès du grand public ou des professionnels de santé Ces études sont mises à votre disposition, elles servent à éclairer les données de marché Pour bâtir des plans de communication Campagne : « les produits laitiers n’oublions pas le plaisir » Campagne européenne (EMF): « le lait une force de la nature » Actions pour soutenir les valeurs des PL (plaisir, modernité, santé, naturalité) et valoriser la filière laitière

40 Merci de votre attention


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