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Publié parRosaire Auffret Modifié depuis plus de 10 années
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La virus de la grippe est un virus à ARN- avec un génome segmenté
Enzymes structurales : Polymérases PA, PB1, PB2 Protéine « N » (=NP) (Neuraminidase) (Hémagglutinine)
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L’acide sialique est le récepteur du virus de la grippe
Tropisme viral au niveau de l’entrée HA Liaison 2’-6’ : trachée de l’homme Liaison 2’-3’ : les oiseaux Liaison 2’-3’ & 2’-6’ : cochon Membrane cellulaire Tropisme du virus de la grippe Souches humaines : préférence de hémagglutinine : 2’-6’ Souches aviaires (H5) : préférence de hémagglutinine : 2’-3’
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Neuraminidase détache le virus de la grippe
de la cellule hôte (sortie du virus)
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Maturation de la hémagglutinine Tropisme virale au niveau de la sortie
virion Maturation de la hémagglutinine Tropisme virale au niveau de la sortie Lors de sa sortie, la glycoprotéine de surface de la grippe (hémagglutinine, HA) doit être clivé par une protéase cellulaire pour créer une particule infectieuse Particule infectieuse non-infectieuse Epithélium bronchiolaire virion
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Pathogénicité de la grippe aviaire
Virus de la grippe de faible pathogénicité Virus de la grippe de haute pathogénicité Furine, une protéase répandue Infection du poumon, foie, rate, rein, cerveau, tube digestive
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peuvent-ils provoquer une pandémie chez l’homme ?
Les sérotypes H5N1, H7N7, H9N2 peuvent-ils provoquer une pandémie chez l’homme ? Facteurs de restriction Déterminants moléculaires de l’infection humaine
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Sérotypes viraux H1 H2 N2 N1 Hémagglutinine (HA) Neuraminidase (NA)
Sérotype est défini à la base de la réaction sérologique (ELISA, Western, neutralisation, etc.) non-croisée. Sérotypes de la grippe sont définis chez la canard : 16 hémagglutinines (H1-H16) 9 neuraminidases (N1-N9) Chez l’homme : H1, H2, H3 et N1, N2, N7. Récemment : H5, H7, H9 !? anticorps neutralisants
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Virus de la grippe recombine
H1N1 H1N1 Coinfection de le cellule cible HA NA Sélection : cellule hôte (récepteur, protéases, etc) l’organisme hôte (la réponse immunitaire) H3N2
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Virus de la grippe recombine et mute
H1N1 (aviaire) dans le contexte humaine a2,6 a2,6 Importance du transfert inter-espèces Le cochon est un hôte commun pour les types de la grippe humaine et aviaire l’échange de segments (« shift », réassortiment) est suivi par des mutation ponctuelles (« drift ») Adaptation Maladies émergeants
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Epidémiologie de la grippe
Facteurs de pandémie absence des anticorps neutralisantes (HA, NA) zoonose (déséquilibre) adaptation
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La grippe aviaire est hautement pathogène pour l’homme
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Adaptation de hémagglutinine à son récepteur
virion 190 - 226 - H1 : Glu190Asp H3 : Gln226Leu a2,3 virus aviaire a2,6 virus humain adaptation dans le cochon (?) Canard poulet homme ? H5
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Déterminants moléculaires de la virulence
du virus de la grippe chez l’homme Hémagglutinine l’entrée du virus (a2,3 ou a2,6) - tropisme pour l’espèce sortie (clivage HA1, HA2) tropisme pour les organes Polymérase PB2 (contexte H5N1) multiplication du virus Glu627Lys virus aviaire virus humain NS1 (contexte H5N1) résistance à IFN-b
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