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Approche épidémiologique et clinique du développement cognitif et des apprentissages chez l’enfant normal ou avec pathologie Etudes longitudinales (en.

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1 Approche épidémiologique et clinique du développement cognitif et des apprentissages chez l’enfant normal ou avec pathologie Etudes longitudinales (en milieu scolaire) Neuropsychologie du développement (lésions cérébrales) Développement du langage Etudes chez le bébé

2 Développement, apprentissages et pathologies (équipe en évolution au LPNcog I.P. Boulogne)
Isabelle Jambaqué (PU) : Neuropsychologie des épilepsies de l’enfant Marie-Thérèse Le Normand (DR Inserm) : Développement du langage Carolyn Granier-Deferre (MCU) : perception du fétus Emmanuel Devouche (MCU) : communication précoce mère-bébé Françoise Morange-Majoux (MCU) : asymétries motrices et perceptives chez le bébé Plusieurs doctorants

3 Etudes longitudinales en milieu scolaire
Enfant avec lésions cérébrales Développement du langage

4 Etudes longitudinales chez l’enfant
Suivi d’un grand nombre d’enfants dans la population générale (par exemple de la PS de maternelle au primaire ou au collège) avec recueil de données à T0 (« facteurs de risque » potentiels : milieu, questionnaires, épreuves, …) pour examiner leur relation avec quelque chose observable à la fin de la période de suivi : réussite/échec scolaire, difficultés d’apprentissage de la lecture, problèmes de comportement Même approche possible dans des populations particulières d’enfants : ex. après implant cochléaire, traumatisme crânien sévère, …

5 Etudes longitudinales chez l’enfant
Première étape (observation de corrélations) avant de préciser les mécanismes par d’autres méthodes Interactions entre les « facteurs de risque » (ex., facteurs environnementaux, facteurs propres à l’enfant) Intensité et type des relations Parfois confusion entre cause et effet

6 Etudes longitudinales chez l’enfant
Exemples de questions : Prédire l’apprentissage de la lecture ; sélectionner les variables qui prédisent le mieux les difficultés d’apprentissage plus tard Devenir des « 0 de conduite » à 3 ans et demi ; «l’hyperactivité » en maternelle est-elle liée à des difficultés d’apprentissage au primaire ? Constat (en France) Etudes déjà effectuées très sous-exploitées ; plusieurs études en cours Projet Regrouper les responsables de ce type d’études pour faire une synthèse

7 Etudes longitudinales en milieu scolaire
Un exemple d’épreuve en GS de maternelle fortement liée aux performances en lecture au CE1 l’épreuve de reproduction de rythmes proposée par Mira Stambak en 1951 Dellatolas et al.(2009), Archives of Clinical Neuropsychology

8 Epreuve de Mira Stambak (1951)

9 1000 enfants de GS (5-6 ans)

10 Score de lecture au CE1 (N=600) 5 groupes

11 Stambak GS et lecture CE1

12 Neuropsychologie de l’enfant
Epilepsies de l’enfant (I. Jambaqué) Tumeurs cérébrales de l’enfant (bénignes et malignes) Tumeurs du cervelet Hôpital Necker, Institut Gustave Roussy. Oncologues (J Grill), Neurochirurgiens, Neuroradiologues Pédiatriques, Ophtalmologistes, ORL Neuropsychologues, Psychologues, Psychanalyste Enseignants

13 Epilepsies de l’enfant
Après traitement chirurgical pour épilepsie temporale gauche ou droite Mémoire : Temp. Gauche : déficit de la mémoire verbale Temp. Droite : déficit de la mémoire visuelle et après ? Impact scolaire ? Rééducation ? Reconnaissance des émotions faciales : Temp. G ou D : déficit Temp D : + problèmes psy Hypothèse : G : pb de dénomination des émotions; D : « vraie non reconnaissance des émotions » et après ? A confirmer par les psy. Jambaqué et al. (2007), Neuropsychologia Golouboff et al. (2008), Neuropsychologia

14 Tumeurs du cervelet Après traitement, certains enfants s’en sortent sans séquelles, d’autres se trouvent dans des institutions spécialisées. Pourquoi ? Cognition et cervelet (vaste littérature) La maladresse manuelle explique la moitié de la variance de certains tests cognitifs. Mesurer chaque déficit neurologique en rapport avec l’atteinte du cervelet et son impact sur la cognition et les apprentissages

15 Tumeurs du cervelet Déficits neurologiques en rapport avec l’atteinte du cervelet Maladresse gestuelle Troubles de l’équilibre Dysarthrie (LPNcog) Oculomotricité : saccades et poursuite (LPNcog) Automatismes (LPNcog) lecture, comptage, apprentissage moteur/implicite Attention (LPNcog) Perception du temps (projet ANR en cours) Cervelet et psy (autisme, …)

16 Remarques sur l’enfant avec lésions cérébrales
Aspects neuro et aspects psy indissociables Ne pas exclure les enfants avec les difficultés les plus sévères Apprentissages en dehors du système scolaire «normal » Passage de l’évaluation à l’action à développer.

17 Développement du langage (production de mots et de phrases) de 24 à 48 mois
Marie-Thérèse Le Normand Christophe Parisse

18 OUTILS du CHILDES http://childes.psych.cmu.edu
CHILDES (Base de données et outils de traitement du langage de l’enfant) CLAN (Computerized Language ANalysis) MOR (Morphological analysis) POST (Part Of Speech Tagger) PHON (Phonology) Base de données Le Normand: 108,675 mots 312 échantillons, (80 échantillons recueillis en crèche,100 à domicile, et 132 à l’école)

19 Base de données

20 Mesurer la Complexité de la grammaire des enfants:
indice du LME

21 Parisse & Le Normand, 2000b

22 Regressions linéaires : % de la var du LME expliquée
Quelles catégorie de mots expliquent le mieux (sont les plus liées) à la longueur moyenne de l’énoncé mots jamais seuls (pronoms, prépositions, …) « mots » toujours seuls : ah, oh, plouf, … mots parfois seuls Regressions linéaires : % de la var du LME expliquée Toutes les catégories de mots Pas à pas Trois analyses : Nb de mots dans chaque catégorie (tokens) Nb de lots différents dans chaque catégorie (types) Présence d’au moins un élément de chaque catégorie

23 Percentage of variance of MLU explained by syntactic categories (Word Type)

24 Percentage of variance of MLU explained by syntactic categories (Word Token)

25 Percentage of variance of MLU explained by the presence of syntactic categories (Word Token)

26 Pronoms personnels

27 Discordance je et les autres….

28 Pourcentage des enfants

29 Comparaisons à faire avec des groupes particuliers d’enfants
Syndromes génétiques rares Prématurité (+lésions périventriculaires) Épilepsie temporale gauche unilatérale Sourds, implantés cochléaires Dysphasie Autisme


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