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Les différents publics

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Présentation au sujet: "Les différents publics"— Transcription de la présentation:

1 Les différents publics

2 Du point de sociologique, psychologique, psychanalytique.
Age H. Wallon J. Piaget S. Freud Avant la naissance Symbiose ou « parasitisme Influence possible. Traumatisme de la naissance. Naissance Stade impulsif Période du nourrisson : réflexes, premières habitudes, intelligence sensori-motrice. Stade Oral 5-6 mois Stade émotionnel Intelligence intuitive Stade anal 12-18 mois Stade sensori-moteur et projectif 3 ans à 6 ans Stade de personnaliste ou égocentrique Stade phallique et complexe d’oedipe 10 ans Stade de l’objectivité de la pensée. « Age scolaire » Opération de l’intelligence concrète Période de latence, résolution de l’oedipe Construction de la personnalité 12 ans à 14 ans Adolescence, Puberté Opération de l’intelligence formelle Adolescence, Puberté psychologique 18 ans Adolescence Stade génital

3 Le développement des habiletés de Gallahue
Période des mouvements réflexes ou archaïques Mouvements rudimentaires Habiletés motrices fondamentales PERIODE SPORTIVE Naissance 1 An 2 Ans 7 Ans 14 Ans et plus Phase Initiale Phase Elémentaire Phase mature Phase Géniale Phase Spécifique Phase de spécialisation 2 – 3 ans 4 – 5 ans 6 – 7 ans 7 – 10 ans 11 – 13 ans 14 ans et + Le développement des habiletés de Gallahue

4 Les différentes qualités physiques à travailler en fonction de l’age du pratiquant selon G. Cometti.

5 Age Difficulté Effort 2 à 4 ans Egocentrique Les probabilités subjectives de succès constituent la base permettant de juger la difficulté. Le niveau d'habileté est indiqué par les résultats obtenus. 4 à 5-6 ans Objective La perception de la difficulté repose sur ses propriétés (complexité) et le niveau d'habileté est indiqué par les résultats obtenus. L'effort ou le résultat témoigne de l'habileté. La réalisation exigeant plus d'effort témoigne d'une plus grande habileté. L'effort et les résultats ne sont pas perçus comme cause et effet. 6 à 7 ans Normative La difficulté de la tache et d'habileté sont perçues en relation avec la performance des autres. Les taches que trés peu réussissent sont difficiles et le succès dans ces taches indique un grand niveau d'habileté. 7 à 9 ans L'effort est la cause des résultats. Un effort égal est supposé conduire à des résultats égaux. 9 à 10 ans L'habileté est particulièrement différenciée de l'effort (comme cause des résultats). 10-12 ans et plus Différenciation complète : l'habileté est conçue comme capacité qui limite l'effort sur la performance.

6 Les adolescents : la laborieuse construction de l’identité.
L’adolescence est l’age d’une réorganisation personnelle face à la société et implique une réorganisation par rapport à la famille, une réorganisation de l’image de soi. Face aux modèles sociaux. Les statuts masculins et féminins sont fortement différenciés. Les filles sont davantage confrontées au modèle familial. De plus, elles doivent bien se tenir et donner aux autres une image présentable. Les garçons sont plus libres, moins enchaînés à la norme. Ils disposent plus souvent de la rue comme espace de vie. Ils sont plus confrontés à la question de la transgression. Les filles et les garçons. Ils semblent que les filles vivent plus difficilement leur adolescence. Elles expriment davantage de préoccupations corporelles, plus de problèmes de sommeil et d’alimentation, de santé. Les garçons consomment davantage de drogues, d’alcool. Ils sont davantage en échec scolaire.

7 Les adolescents : la laborieuse construction de l’identité.
Les jeunes en détresse et les troubles de la conduite. La détresse peut être à la fois affective : - affective : abandon affectif, maltraitance familiale, drame familial, etc… -économique : certains sont contraints à travailler les soirs et les week-end dès le lycée… -sociale : habitat misérable, dépendance à la famille à l’égard d’organismes sociaux, menace d’expulsion,… -culturelle et scolaire : illettrisme, échec scolaire. Ado et cultures communautaires. Face à toutes les agressions que reçoivent les adolescents sur leur estime de soi, ils ont tendance à se réfugier dans les groupes de pairs. Les jeunes qui traverseraient l’adolescence au sein d’une communauté de tout ordre, résisteraient mieux que les autres aux problèmes de l’adolescence.

8 Les jeunes « difficiles ».
L’échec scolaire. La majorité des jeunes difficiles se retrouvent en échec scolaire. On peut expliquer cet échec par le phénomène très célèbre de Pierre Bourdieux. Nous disposons tous d’un habitus social. Il est le reflet et l’expression de notre personnalité dans le monde social. Cet habitus est constitué de notre relation au travail, de notre relations à l’ordre, du langage, du physique,etc.. de tous ce qui fait que nous sommes nous-même. L’école est elle aussi porteuse d’un habitus : l’habitus scolaire ; celui-ci demande rigueur, sérieux, valorisation de l’écrit sur l’oral, respect de la hiérarchie, langue française, valorisation de la pensée sur le corps.

9 Les jeunes « difficiles ».
Les jeunes issus des couches sociales populaires sont à l’opposé de cet habitus scolaire. Leurs cultures valorisent l’oral sur l’écrit, les langues nationales ou régionales de là où ils sont issus,…. Les conséquences sont simples, les jeunes sont plongés très tôt dans le monde scolaire pour lequel ils sont inadaptés ; Le temps nécessaires à leur adaptation leur fait prendre un retard qu’ils n’arrivent pas toujours à combler. C’est la naissance d’une carrière scolaire de plus en plus difficile où les efforts sont inutiles. Il peut s’en suivre à l’âge de l’adolescence un rejet de ce système, des violences envers les représentants de ce système et souvent un arrêt à 16 ans sans diplôme. En 1992, 27,5 % des jeunes (soit plus de ) qui sont entrés dans la vie active l’ont fait sans diplôme. Par rapport aux jeunes diplômés, on trouvait dans la catégorie des « sans diplôme », plus de garçons, mais aussi plus de jeunes issus de milieu populaire et/ou de l’immigration et/ou d’une famille nombreuses.

10 Les jeunes « difficiles ».
Le sport. Des relations difficiles aux efforts physiques. La sédentarité précoce crée les conditions par lesquelles tout effort physique devient désagréable et pénible. Cette sensation a un effet dissuasif qui tend à réduire encore plus, le niveau physique objectif, à fausser la perception de l’effort fourni, et à réduire le plaisir lié à l a pratique physique et à renforcer la sédentarité.

11 Les jeunes « difficiles ».
Il n’est pas rare de trouver des jeunes de 17 ans fumeurs et sédentaires qui aura un pouls de 180p/min dès 8 Km/h. De façon générale les jeunes en difficultés pratiquent moins souvent une activité physiques en dehors du cadre scolaire que les jeunes suivant un parcours classique. Cette différence est vrai chez les garçons (71% contre 60%) et encore plus chez les filles (27% contre 40%).

12 Les jeunes « difficiles ».
Un rapport corps entraînant des conduites excessives. « Le sport fait cracher les cigarettes ». Pour beaucoup, la dépendance au tabac, à l’alcool n’est pas vécue de manière contradictoire avec des pratiques sportives. De plus, on sait que sportifs ou non sportifs ont le même taux d’alcoolisation. En revanche, on sait que les sportifs modérés (8 heures par semaines) ont une alcoolisation plus régulière, sont plus nombreux à avoir touchés à la drogue et à avoir connue des ivresses profondes.

13 Les jeunes « difficiles ».
Les rapports avec un entraîneur. Les attentent des filles. Les filles attendent d’un entraîneur : - Des encouragements quand c’est difficile. - Du respect et de ne pas être chambrer. - De la bonne humeur, pas de crie. - De l’écoute, de la discussion. On peut résumer les attentes des filles à in bon climat. Les attentes des garçons. Les garçons ont des attentent plus diversifiés. Ils attentent du coach : - La bonne humeur. - Une certaine liberté. - De l’humour. - Du respect. Des idées fausses. Les jeunes ne vous jugerons pas bon parce que vous : - leur laisser faire ceux qu’ils veulent. - connaissez beaucoup d’exercices. - êtes très strict.

14 Les jeunes « difficiles ».
Les comportements de protection de leur estime de soi. La rébellion et le dénigrement. Ces phénomènes sont souvent observés dans des groupes où les jeunes sont compétitifs, agressifs. Ces comportements s’observent dans des activités auxquelles ils accordent une grande importance. Plus leur sentiment de compétence sera important plus ils vont avoir tendance à vous remettre en cause et à ne pas accepter de réaliser des exercices. Tout échec sera très mal vécu et doit être tempéré par le coach car ils n’accepteront pas d’être dévalué face au groupe. La résignation et l’attentisme. Phénomène identique au public classique. Il faut alors rechercher des progrès par rapport à soi-même et éviter toute comparaison avec les autres.

15 Les jeunes « difficiles ».
Quelques pistes pour s’en sortir. Respecter et faire respecter les personnes. Etre exigeant sur quelques règles de sécurité, de civilité mais pas sur un mode agressif. Ne pas imposer un catalogue de règles de groupe, il faut en sélectionner certaines et être intransigeant dessus. Expliciter les règles. - Expliquer et justifier les règles avant de sanctionner, de crier. Eviter de rajouter de la violence à de la violence. - Réaliser en concertation avec le groupe une charte de fonctionnement commun définissant les droits et aussi les devoirs de chacun. Il faut aussi clarifier le rôle du coach et celui du pratiquant. Qui fait quoi et dans quelles conditions ? - Ne rien laisser passer pour montrer que votre seuil de tolérance est bas. Sinon l’ampleur des infractions va être croissante. -Ne pas prendre à parti devant le groupe.

16 Les jeunes « difficiles ».
Quelques pistes pour s’en sortir. Prévenir les conflits. - Voir et être de vu de tous tout le temps. - Commencer à l’heure et finir à l’heure. - Fermer les vestiaires. - Faire des pauses communes (tout le monde va boire en même temps). Etre présent pendant les pauses. - Compter le matériel prêté, donner l’autorisation de le prendre, de s’en servir. Etre toujours le maître du jeu. Responsabiliser les jeunes. Avoir sa raquette, en être responsable. - Prendre le temps d’aller au fond des discussions, ne pas rester sur une incompréhension. - Repérer les agressions le plus tôt possible. - Ne pas rentrer dans les comportements de provocation.

17 Les jeunes « difficiles ».
Quelques pistes pour s’en sortir. Quand le conflit est là le gérer. - Séparer les combattants, au moins protéger le plus faible. - TOUJOURS garder le contrôle de ses émotions. Parler calmement, ne pas crier, garder une distance appropriée, respecter l’espace interpersonnel, éviter toute tendance à l’agressivité. - Mieux vaut être une femme qu’un homme : image moins agressive. - Se laisser du temps, laisser la colère retomber avant la discussion et la sanction. Ecouter, interroger sans prendre partie dans un premier temps. - Toujours se référer aux règles établies ou aux règles communes. - Faire comprendre la sanction. Elle doit proportionnée aux faits et aux responsabilités. - Rappeler que vous ne faîtes pas la loi mais que vous en êtes le garant.

18 Les jeunes « difficiles ».
Instaurer dans la durée des liens positifs. Favoriser les échanges afin d’instaurer progressivement une relation de confiance avec vos jeunes. Attention à ne pas confondre cette relation avec du copinage sinon vous perdez votre crédibilité. Laisser de la place à la négociation. Les jeunes difficiles négocient tous. Il faut laisser une place à la négociation mais ils doivent savoir que certaines choses sont non négociables. Montrer clairement sa satisfaction. Ne pas hésiter à montrer votre satisfaction quand votre entraînement s’est bien déroulé.

19 Les personnes âgées Chez les adultes, passé 40 ans, il est conseillé de passer une visite médicale approfondie. En effet, il faut vérifier que le corps soit encore prêt à supporter un effort soutenu. Après 60 ans (sauf exception), l’intensité des exercices mis en place est faible à modérée.

20 Les personnes âgées Les adultes n’ont pas le même rapport au corps que les ados. Ils recherchent davantage : L’entretien physique. Le plaisir de la pratique. Un entraîneur qualifié (quasi-parfait). Attention aux séances non-préparées, brouillons. Ils sont souvent très motivé, demandeurs de conseils,...


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