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Liaison Collège lycée : obstacles et difficultés

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Présentation au sujet: "Liaison Collège lycée : obstacles et difficultés"— Transcription de la présentation:

1 Liaison Collège lycée : obstacles et difficultés
Constats : effectifs souvent importants en seconde. Rupture lors du passage en seconde. Les conséquences d’un accompagnement moindre des élèves dans leurs difficultés : - Diminution de la prise de parole et parfois désapprentissage des LV pour les élèves les plus timides et les plus en difficulté. - Autre constat : niveau très faible au sortir du collège pour certains élèves. . Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

2 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Constats  Les collègues de lycée ont l’impression de repartir sur rien ou de repartir à zéro. Or, il y a peut être des attentes excessives en terme de connaissances, et une méconnaissance en terme de compétences à exploiter. D’où l’importance de se rencontrer. Cette liaison raisonne trop souvent en matière d’écart et rarement en matière de démarche commune et cohérente. Nécessité de se rencontrer. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

3 Des préoccupations communes. Quelques exemples à développer :
Le choix et l’utilisation des manuels. La prise de note. Comment mettre en place une autonomie progressive ? Le travail à la maison. Maîtrise indispensable des temps avant l’entrée en seconde. ETC ! … Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

4 Des rapprochements possibles.
- Améliorer la continuité inter cycle à partir de points concrets. Quelques exemples : - Postes partagés des professeurs de langue (collège/lycée). - Rencontres périodiques entre les professeurs par bassin. - Séquences élaborées sur deux cycles. Fin de troisième et début de 2nde sur un même sujet. environnement, vacances, voyages … - PPC programmée et évaluée de seconde montrée aux troisièmes en visioconférence. - Séquences  « classiques » élaborées sur deux LV. - Visites de classes (2nde) par les collégiens en troisième ( Ce qui est fait sur le bassin thouarsais). - Répertoire reconduit au lycée? - Faire passer une vraie épreuve PPC ? Au sortir du collège par un autre professeur ? Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

5 Une réflexion pédagogique commune
Rencontre des professeurs pour échanges de pratiques et d’informations sur les pré requis attendus au lycée. Lecture commune du palier 1 ET du palier 2. Articulation : niveaux A2 et B1. Lecture commune de la compétence 2 du Socle Commun. Le niveau A2, niveau dit de « survie »(!) C’est la réflexion pédagogique commune entre les enseignants qui est au cœur du problème de cette difficile liaison entre la troisième et la seconde. Mise en place sur les deux cycles de l’évaluation par compétence ? Mise en place sur les deux cycles des GDC? Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

6 Les textes : « socles » et référentiels de réflexion
Le socle commun. Base commune sur laquelle on peut s’appuyer pour établir les pré requis au sortir du collège. Voir évaluation palier 3 du SC. Grilles_evaluation_liaison\SOCLE COMMUN Langues Vivantes.pdf « A l’entrée en 2nde, les équipes pédagogiques s’appuient sur le LPC pour diagnostiquer les besoins spécifiques de l’élève et organiser l’accompagnement personnalisé ( ou non) ». Voir (Eduscol) LPC Page 28 Socle commun. Les préambules communs nous permettent de mutualiser et donc de mieux accompagner les élèves lors de leur passage au lycée. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

7 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Un document de référence au cœur de cette réflexion, liaison collège lycée : Préambule commun collège Palier 2 Le palier 2 :  préambule commun palier 2.pdf permet de valider le niveau A2 et d’aller au-delà du palier 1 en s’éloignant de la sphère des enjeux du collège A1 «modernité et tradition» pour tendre de plus en plus vers : « l’ici et l’ailleurs » qui doit être pris au sens large. L’ailleurs pouvant aussi bien représenter l’implicite et le monde imaginaire. Nous sommes au seuil du lycée. Lien avec le « vivre ensemble ». Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

8 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Palier 2 : Un véritable espace de réflexion pédagogique entre le collège et le lycée. Vers le niveau de l’utilisateur « indépendant » B1. En LV1 anglais commencé en primaire. A2 en LV2 allemand et espagnol. Au palier 2. Regroupement des activités langagières autour de trois pôles : réception, production et interaction. Un exemple : après avoir pratiqué les discours de la narration et de la description, on développe l’apprentissage de l’explication et de l’argumentation. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

9 Vers le niveau B1(A2-2) en entrant au lycée
« Le niveau B1 (niveau « seuil ») de l’échelle de compétence du CECRL correspond à un début d’autonomie, notamment en interaction, et une capacité accrue à faire face à des situations de communication diverses, même imprévues ». Palier 2 LV Page 25. « On dépasse aussi le concret et la sphère strictement personnelle ». Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

10 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
DE A2 vers B1 Une grille au service de l’articulation entre troisième et seconde. Similitude dans les stratégies de chaque pôle des AL. Entre réception et production. Voir grille PCommun Palier 2 préambule commun palier 2.pdf page 26. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

11 Groupes de compétences. Voir nouveaux programmes de 2nde
Cela relève de l’organisation du lycée. A mettre en oeuvre en conseil pédagogique. Il y a moyen ponctuellement d’avoir moins d’élèves par classe. Évaluation diagnostique dans un premier temps et groupes de renforcement des activités langagières dans les groupes de BESOIN. Travailler davantage les activités langagières de réception et de production ORALES. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

12 Les groupes de compétences 2
La mise en place permanente ou ponctuelle des GDC permet de dépasser la distinction entre LV1 et LV2. Les conseils pédagogiques peuvent profiter de cette possibilité pour exploiter cet espace ( 5H30) où tout peut être mis en œuvre pour accroître le temps d’exposition à la langue CO et EO. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

13 Possibilité d’exploiter un espace nouveau
Ces GDC peuvent être mis en place ponctuellement à chaque fois qu’une classe à besoin d’une exposition plus forte en terme d’entraînement à la réception et à la production. Ex: avant un séjour à l’étranger, lors d’un E-twinning ponctuel, lors de l’étude d’une séquence filmique, d’un texte long etc. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

14 Pilotage des GDC par le projet pédagogique et l’approche actionnelle
La modulation de cet espace doit toujours être subordonnée au projet pédagogique d’un ou de plusieurs professeurs dans une ou plusieurs langues enseignées. Le danger serait de cloisonner les AL sans faire de lien entre les groupes et donc sans donner de sens aux apprentissages. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

15 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Pratiques pédagogiques communes dans un même bassin et dans toutes les LV Se mettre d’accord sur : Prises de notes, trace écrite : Travail décliné en AL. Travail à la maison. LA Mémorisation La prononciation. Attentes et exigences. La place de la langue source dans le cours de langue vivante ? Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

16 Pratiques communes. Suite
On doit chercher à surprendre les élèves en choisissant des supports authentiques, diversifiés et originaux. L’apprentissage des langues mobilise tous les sens : du collège à la terminale. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

17 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Supports Varier les supports, c’est faire face à la démotivation des élèves et à l’hétérogénéité des classes. Savoir faire face aux différents types d’élèves. Tenir compte de la PNL (programmation neurolinguistique). Élèves visuels, auditifs ou kinesthésiques. Idem de la sixième à la terminale. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

18 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
La séquence pédagogique: une structure partagée par tous. CLG. LP. LGT. La séquence pédagogique permet aux élèves de tendre vers toujours plus d’autonomie dans les 5 activités langagières. Il s’agit de fédérer une même idée ou problématique ou unité de sens autour de plusieurs documents authentiques et divers. La séquence permet de réemployer la langue au fur et à mesure des étapes qui véhiculent la ou les problématiques retenues. La SQ permet la « rémanence » de la langue et la construction de l’évaluation finale. Elle permet de faire passer les connaissances au stade de compétences. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

19 De la connaissance vers la compétence. Une démarche commune à tous.
Palier 1(préambule commun page 7) « L’accumulation passive de la langue n’en garantit pas la disponibilité ». Cette rémanence de la langue est fondamentale. Recherche continuelle dans notre pratique de la réactivation des faits de langue. Une même dynamique en collège et en lycée est susceptible de guider les élèves. Phrase clé à retenir : «  On ne retient que ce que l’on utilise ». Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

20 Le cours de langue vivante, c’est la prise de parole de l’élève.
Le statut de l’oral : un moyen, un objectif et une activité majeure. Cet oral (réception/production) est la clé de voûte de notre enseignement. Elle est une compétence essentielle car c’ est tout à la fois un moyen, un outil pédagogique et un objectif constant dans nos pratiques pédagogiques. Il est au cœur du plan de rénovation des LV. L’oral : 90 % de la communication. Paradoxe de l’évaluation: on évalue (encore) surtout les AL de l’écrit. Mettons-nous d’accord pour mettre en place d’autres modalités d’évaluations. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

21 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
La mémorisation: pierre de touche de notre enseignement de la sixième à la terminale. On signifie aux élèves qu’en mémorisant, ils peuvent parler une LV en étant de plus en plus autonomes au fur et à mesure de la SQ. Les faits de langue rencontrés et utilisés, deviennent alors de véritables outils langagiers. Les réemplois, attestent de la seule et véritable acquisition chez les élèves. On peut parler de « sédimentation ». Préambule commun cycle terminal: « On ne peut faire l’économie d’une mémorisation systématique ». Le fait de langue mémorisé n’est pas seulement une connaissance, un savoir mais bien d’une compétence ou d’un savoir faire. Il est donc important de construire une progression raisonnée pour se mettre en situation de transfert. Le réemploi « décontextualisé » d’un fait de langue atteste de son acquisition. On rejoint là, la notion de compétence. Il faut, en moyenne, 7 occurrences d’un fait de langue pour parler de véritable acquisition. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

22 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Approche par les compétences. Les apprentissages au service du savoir agir. Mise en œuvre d’une progression linguistique pour construire le résultat final. L’élève ne parle pas devant les autres mais parle aux autres en tant qu’acteur social. C’est à nous, enseignants, grâce à une mise en œuvre réfléchie, de donner aux élèves les moyens linguistiques pour réaliser la tâche demandée et annoncée. Il faut les aider à mobiliser la langue dont ils ont besoin pour réaliser cette tâche. Il faut créer une situation où l’élève va découvrir, puis créer et formuler. On part du « savoir dire » pour parvenir au « savoir agir ». Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

23 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Le statut de l’erreur, une posture commune dans le cadre de la liaison. Le statut de l’erreur peut-être questionné ensemble. Il faut dédramatiser l’erreur de langue et encourager la prise de risque pendant les entraînements, c’est-à-dire la plupart du temps. Le niveau A2 est dit de « survie! » Voir nouveaux programme de 2nde. BO special nouveau_seconde.pdf Des termes très différents: la faute et l’erreur. Faire une erreur, c’est chercher (errare) étymologiquement, donc c’est se donner les moyens de trouver. Le statut de l’erreur est différent selon que l’on se trouve dans le cadre de l’entraînement et de l’évaluation. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

24 Un idéal de bilinguisme inatteignable
Les nouveaux programmes adossés au CECRL fixent des objectifs qui ne dépassent pas le niveau B2 en lycée. C1 pour la LV1 d’approfondissement et C2 pour la maîtrise. On ne vise plus inconsciemment un idéal de bilinguisme inatteignable (rapport de l’ IG sur l’évaluation 2007 page 15). Une telle perspective est de nature à motiver les élèves (et les enseignants) et à libérer la prise de parole. Nous devons nous poser la question : qu’est-ce que communiquer? Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

25 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Des pratiques commune CLG/LYC dans les évaluations : sommes-nous tous d’accord? Différencier entraînement et évaluation. Différencier évaluation formative et sommative. Ne pas multiplier les grilles d’évaluation si elles ne sont pas en prise avec les objectifs. Toujours se poser la question même dans l’évaluation : communiquer, c’est agir avec l’autre. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

26 L’évaluation formative
Cette évaluation occupe une place prépondérante dans le déroulement du cours. C’est l’activité la plus développée en cours de langue et paradoxalement la moins évaluée. Il est très difficile d’évaluer ce qui est éphémère et évanescent surtout en ce qui concerne l’évaluation en expression interactive. On ne peut pas omettre de récompenser une certaine prise de risque en cours. La question est posée en ce qui concerne la valorisation de l’implication, de la fréquence de prise de parole. Comment récompenser ? Il est opportun de signifier verbalement cette récompense qui s’inscrit dans l’évaluation formative. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

27 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Evaluation. 2 On n’évalue pas forcément toute la classe à chaque fois. Il faut évaluer toutes les AL. Les AL sont complémentaires ; l’écrit sert l’oral et l’oral sert l’écrit. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

28 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Les TICE des outils communs au service de l’oral. Profiter au lycée du B2I acquis en troisième. Ne pas opposer TICE et questionnement du sens. Ces ressources doivent rester au service du sens et donc des objectifs linguistiques corrélatifs à la séquence. C’est un outil « au service de » et non pas un objectif en soi. Les TICE représentent un formidable outil de mise à portée des documents. Ils permettent de proposer de très nombreux supports authentiques, en classe et à la maison. Possibilité de « nomadiser » les documents et donc de pérenniser ce qui est éphémère : la prise de parole. On parle bien d’outils pédagogiques pour diversifier et enrichir les supports de la séquence. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

29 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
La pratique raisonnée de la langue, une approche plurilingue pour tous les élèves au cœur de la problématique de la liaison CLG/LYC « la pratique raisonnée de la langue vise à accroître les compétences de compréhension et d’expression des élèves, à approfondir leur formation intellectuelle en leur faisant découvrir une certaine logique de la langue. »  « La réflexion sur les langues étrangères induit un retour sur le français et une prise de possession plus consciente des outils langagiers » Préambule commun palier 1 page 5 Ceci a du sens pourtant jusqu’au cycle terminal. Un exemple en espagnol au collège : faire prendre conscience du caractère quasi phonétique de la langue. C’est donner la possibilité aux élèves de se donner une nouvelle chance de savoir écrire correctement. Un B.O. parle de seconde chance de réussite … Transparence entre phonie et graphie. 4 vraies homophonies (en espagnol): h, ll/y, b/v, s/c, Il faut leur apprendre à identifier les graphèmes et les phonèmes puis à comprendre la logique de l’accentuation en espagnol mais aussi dans les autres langues non phonétique. Paraguay, Uruguay. Hambriento, mugriento. Take, wake, make … Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

30 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
BO seconde avril 2010 Le BO nous dit « de mieux prendre en compte la compétence plurilingue des élèves et d’établir des passerelles entre les langues ». BO special nouveau_seconde.pdf Page 2. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

31 Développer les compétences lexicales et syntaxiques plurilingues
Expliquer en se servant de ce qui est déjà assimilé. On fait « des ponts », des rapprochements avec d’autres langues. Faire du lien, même avec les élèves de seconde, c’est donner la possibilité de fixer. Avec la syntaxe de l’anglais, quelques exemples d’équivalence de structures : When + présent dans la subordonnée verbe au futur en anglais, Cuando + subjonctif en espagnol. Forme progressive, be + ing/estar + gérondif. Déictique spatiale.This, that/este, ese, aquel en espagnol. Avec certains mots transparents dans les deux langues: genuino, mapa, tremendo, ambos, remoto… Et inconnu en français… En allemand, les rapprochements et les passerelles vers l’anglais sont innombrables. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

32 Une autre approche grammaticale: découvrir et inférer pour comprendre
Henriette Walter : «  Avoir une démarche linguistique, c’est paradoxalement faire face à l’incompréhension ou à la démotivation de certains élèves ». La grammaire explique le comment elle s’inscrit dans une démarche descriptive. La linguistique explique le pourquoi et propose aux élèves non pas une application mais une explication. Elle donne la possibilité de trouver du sens, et donc de mieux comprendre, et donc de mieux mémoriser. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

33 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Donner du sens Expliciter le métalangage, exemples de termes : « substantifs, subordonnées, composé, imparfait »… on oublie parfois le sens de ces mots alors qu’ils peuvent aider les élèves. Les désinences verbales : Redondance des pronoms en espagnol et en italien. Étymologie de Usted, faire comprendre son origine c’est faire enfin mémoriser sa spécificité (troisième personne au discours !). Subjonctif dans la défense ou l’injonction avec usted et nosotros. Comment traduire le « on » en anglais et en espagnol. Les stratégies sont similaires. Positionnement du locuteur. Connaissance profonde du « on » dans la langue source. Lorsque cela est possible : ce sont les élèves qui découvrent et induisent tel ou tel fait de langue, même en troisième. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

34 L’étymologie. Fixer un mot en contant son histoire
Il ne s’agit pas de faire du pointillisme ou de l’érudition et de s’arrêter sur chaque mot pour en dégager son étymon et bloquer la progression de la classe. Il est très intéressant en revanche de choisir les mots clés, ceux qui vous semblent importants à mémoriser ou qui jouent un rôle important dans la SQ et d’en conter l’histoire. On fixe le vocable car on conte son histoire qui est souvent remarquable ou surprenante. On fait d’une pierre deux coups, on travaille la langue source et la langue cible. C’est une approche « remédiante » et pluridisciplinaire. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013

35 Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013
Conclusion Au-delà de toutes les stratégies locales de rapprochements qui peuvent être mises en place (conseils pédagogiques, réunions de bassin), c’est la mutualisation des réflexions et des pratiques pédagogiques communes des enseignants de langues vivantes qui aideront les élèves à mieux franchir l’obstacle que constitue souvent le passage au lycée. Jean-François Quillévéré. Liaison COL/LYC 2012/2013


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