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La politique produit (1)

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1 La politique produit (1)

2 2009

3 Comprendre le consommateur pourquoi est-ce si important...
La segmentation La cible Le positionnement Les différentes dimensions du produit Cycle de vie, portefeuille et gamme 2009

4 Le marché est composé de plusieurs segments
Du marché au segment Le marché est composé de plusieurs segments Comment satisfaire l’ensemble des segments ? 2009

5 Segmentation, cible et positionnement
POURQUOI LA SEGMENTATION ? Hétérogénéité des marchés Orientation client, one to one ou le marketing individualisé éclatement des styles de vie, réorganisation des rôles au sein de la famille, tribalisation, consommateur peu fidèle, émergence des seniors être concurrentiel ET rentable gestion optimale du portefeuille produit ou de l ’assortiment (Evry 2 versus Parly 2) adaptation des composantes du plan marketing aux différents segments (automobile) recherche des segments les plus rentables, abandon des autres (PPR) différenciation (Virgin versus Fnac, Pepsi versus Coca) connaissance de la clientèle finale 2009

6 SEGMENTATION L’arme stratégique d’aujourd’hui
Répondre aux attentes des clients mieux que ne le font les concurrents avantage concurrentiel = segment pertinent Le « Pâtes food » de Paul Vignau Mac Do, Pizza Exploiter de nouvelles opportunités de marché déceler de nouvelles opportunités Hôtels = espaces dédiés aux femmes seules Concentrer ses forces pour mieux optimiser ses dépenses marketing Clients actifs versus clients inactifs (CRM) Mauvaise segmentation : produit substituable donc cannibalisation 2009

7 Les différents types de segmentation
2009

8 La démarche de Segmentation
Définition du marché à atteindre Analyse qualitative et quantitative de la demande L ’approche du marché Définition des unités (individus, entreprises) définition et choix des critères de segmentation Les procédures de segmentation Choix des cibles Définition d’une stratégie marketing Choix et adaptation des actions de marketing opérationnel Ciblage et implications stratégiques 2009

9 L ’approche du marché Ressources de ses partenaires Besoin des clients
Compétences-clés et distinctives de l’entreprise Contraintes et caractéristiques de l ’environnement 2009

10 Compétence-clé (essentiellement technique)
L’approche du marché Les compétences-clés et distinctives de l’entreprise Compétence-clé (essentiellement technique) Elle contribue fortement aux avantages du produit aux yeux des clients (Toyota Prius, moteur hybride) Elle a de nombreuses applications (aide à sa notoriété, fidélise…) Elle est difficile à imiter par la concurrence (pas de Me-Too possible à moins d ’un fort investissement de la part des concurrents notamment au niveau communication) Compétence distinctive aptitude managériale plus vaste (Hippopotamus et sa politique de CRM..., Dell) 2009

11 L’approche du marché Contraintes et caractéristiques de l ’environnement, Analyse externe
L ’analyse Swot : forces, faiblesses, opportunités et menaces (Strenghts, Weaknesses, Opportunities, Threats) Analyse externe Opportunité (phénomène externe pouvant avoir une influence favorable sur l’activité ou la rentabilité ) Vieillissement de la population (restauration sociale) Mondialisation des habitudes alimentaires Internet (nouveau circuit de vente possible pour le tourisme / réservations) Menaces (problème posé par une tendance défavorable ou une perturbation de l’environnement) Récession économique Modification de la législation (tabac et restaurants) 2009

12 L ’approche du marché Contraintes et caractéristiques de l ’environnement, Analyse interne
2009

13 LA CONNAISSANCE DE LA DEMANDE
L’approche du marché Analyse qualitative et quantitative de la demande, les besoins des clients LA CONNAISSANCE DE LA DEMANDE ETUDES DOCUMENTAIRES ET QUALITATIVES RECHERCHE DOCUMENTAIRE ENTRETIENS DE GROUPES REUNIONS CONSOMMATEURS CERNER LES BESOINS, LES MOTIVATIONS, LES FREINS A L ’ACHAT, LES HABITUDES DE CONSOMMATION PROFIL DU CONSOMMATEUR (âge, sexe, habitat, niveau de vie, CSP) RELATION DU CONSOMMATEUR AVEC SON PRODUIT : notoriété, image de marque, modes d ’utilisation, degré de satisfaction ETUDES QUANTITATIVES CONFIRMATION AUPRES D ’UN ECHANTILLON REPRESENTATIF DE LA POPULATION VISEE 2009

14 L’approche du marché ressources des partenaires
Les alliances stratégiques : elles renforcent ou complètent les ressources ou compétences de l’entreprise Alliances produit ou service Brioche Dorée travaille avec Sodexho et Compass Stratégie de développement de franchise Esprit de France et ses partenaires culturels (Château de Versailles, de Vaux…) Alliances de communication MacDonalds et les goodies Disney Alliances logistiques Participation minoritaire de MacDonald dans la sandwicherie britannique Prêt à Manger Aide à l’implantation sur le marché britannique (Rachat d ’Aroma) Alliances tarifaires hôtels et loueurs de voiture Cinéma et restaurant Chateaux et Hôtels de France / Europcar/American Express Site Internet 2009

15 LES PROCEDURES DE SEGMENTATION
Définition des unités Business to Business Business to Consumer Business to Consumer, les critères de segmentation par circuit de distribution par segment de produit par segment de clientèle Restauration d’hôtel Para Restauration (stations services, GMS, Charcutiers Traiteurs) Restauration indépendante Restauration de gare, TGV... par segments de produit Sandwicherie, Pizza, Fast Food Question : comment trouver des groupes homogènes ? 2009

16 LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE
Les critères sociodémographiques Les critères de personnalité et de style de vie Les critères comportementaux Les critères d’avantages recherchés Les critères sociodémographiques et culturels Wakodoo : de l’aliment pour bébé à l’aliment pour senior Les plats cuisinés une personne DASANI, l’eau purifiée de Coca scandale en Europe, succès aux USA 2009

17 Segmentation Whirlpool Styles de vie
Les superwomen (18%): tiennent à la perfection en toute chose: leur travail, leurs enfants, leur personne, leur maison. Les expérimentales (19%): adorent l’innovation et le changement; très peu fidèles aux marques, elles considèrent la nouveauté en soi comme une motivation d’achat. Les mamans confiture (16%): vivant plutôt dans les régions rurales, elles conservent dans leurs congélateurs les fraises et les haricots de leur jardin. Les anti-surgelés (8%): traditionalistes, elles mettent un point d’honneur à acheter tous les jours des produits frais au marché Les mères au foyer (28%):mères traditionnelles, leur mari et leurs enfants passent avant tout; dans leurs achats elles recherchent systématiquement le bon rapport qualité/prix. Les décontractées (11%): filles de mères au foyer, elles en partagent certaines valeurs mais accordent plus d’importance à leur bien-être personnel. Plutôt que de suivre la mode, elles cherchent leur propre style. 2009

18 LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE Les critères comportementaux
Statut d’utilisateur, fidélité transformer des non acheteurs en acheteurs : invitation opérations de RP / consommation restaurant Perrier et le lancement des Fluos auprès des jeunes En fonction des quantités consommées Air France et les miles Récence, montant, fréquence : la segmentation RFM 2009

19 LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE L’analyse RFM
Récence Montant FREQUENCE 2009

20 UNE BONNE SEGMENTATION
Les segments doivent traduire des attitudes et des comportements différents être mesurables être atteignables être substantiels (c ’est à dire suffisamment importants en terme de CA pour justifier une politique marketing différenciée) 2009

21 LE TRIANGLE D’OR DU POSITIONNEMENT
LE POSITIONNEMENT Question : quelles caractéristiques distinctives souhaitons nous voir attribuer à notre produit par le public? L’eau légende : Quézac L’eau terroir : Salvetat L’eau plaisir : Perrier L’eau de table : Badoit Attentes du public Positionnement des produits concurrents Atouts potentiels du produit LE TRIANGLE D’OR DU POSITIONNEMENT 2009

22 MAPPING POSITIONNEMENT DES MARQUES D ’EAU
Contrex Célestin Santé Arvie Hépar Eau Beauté Eau Médicament Vittel St Yorre Evian Eau jeunesse Eau dynamisante Source Table Eau légende Eau du bien manger Quézac Badoit San Pellegrino Eau brute Valvert Volvic Eau terroir Eau plaisir Perrier Salvetat Plaisir 2009

23 Les axes possibles de différenciation
2009

24 La politique produit (2)

25 ELABORER UNE NOUVELLE OFFRE PRODUIT
Les différentes dimensions d’un produit et les tests produits Cycles de vie des produits, prévisions de vente, équilibre de la gamme Stratégies prix 2009

26 Un produit est une offre présentée sur un marché qu ’elle soit un service ou un bien tangible ou intangible Ceci est une voiture Ceci est un leasing 2009

27 LES DIFFERENTES DIMENSIONS DU PRODUIT
Avantage produit Marque Services associés Formule Concept Marketing Performances Packaging 2009

28 Concept Marketing Formule produit Performances produit
Idée de mobilité : La Smart Formule produit Lessive écologique : les noix de lavage et la saponine Performances produit simplicité d’utilisation autres / promesse produit AVANTAGE PIONNIER 2009

29 Travailler sur un concept produit
Idée produit: une texture différente Cible: consommateurs et prescripteurs les enfants de 6 à 12 ans acheteurs: les mères d’enfants de ans Segmentation et analyse force/faiblesse/opportunités/menaces du marché des bonbons et de la marque Haribo Positionnement: colorants d’origine naturelle, trois textures Moteurs: Le produit: trois parfums dans un même bonbon, nouvelle texture TRIBU 2009

30 REPONDRE A UNE ATTENTE (*) FACILEMENT COMMUNICABLE
AVANTAGE PRODUIT DISTINCTIF REPONDRE A UNE ATTENTE (*) FACILEMENT COMMUNICABLE SANS AUGMENTATION MAJEURE DU PRIX DE VENTE DURABLE 2009

31 Tiré de Direct PANEL Béta-tests
2009

32 2009

33 protection et conservation du produit commodité d’utilisation
PACKAGING Fonctions techniques protection et conservation du produit commodité d’utilisation transport, stockage rangement et élimination protection de l ’environnement Fonctions de communication Impact visuel (alerte) Reconnaissance / Identification Expression du positionnement Information du consommateur Impulsion à l’achat 2009

34 2009

35 Le rouge est mis ! Le bouchon rouge est là pour capter l’attention insister sur la notion d’énergie induite dans la marque. Et puis, le rouge n’est plus banni du secteur des eaux minérales après le coup spectaculaire de la Badoit Rouge... 2009

36 2009

37 Les kawaï Les personnages que nos amis japonais pourraient qualifier de « kawaï », « trop mignons ».
Ce sont généralement des bébés animaux qui, bien que souvent sauvages (ours, dragons, dinosaures, félins), sont transformés en symboles de douceur et/ou de pureté Projection valorisante et idéalisée de l’enfant bébé, ils sont bien évidemment à privilégier pour séduire les mères et les plus jeunes enfants. Exemple : l’ourson bleu Nestlé, Danonino de Danone, le personnage Qoo créé par Coca-Cola au Japon, ... 2009

38 Les packagings animés Les personnages prennent vie sous la forme du produit ou de son packaging, le plus souvent grâce à l’apparition d’une bouche et de 2 yeux. Les plus jeunes enfants jusqu’à environ 6 ans restent très sensibles aux caractéristiques et attributs physiques du produit : d’où le fameux « je t’aime, je te mange ». Exemple : les fromages Kidiboo, les compotes Pom’Potes, le Kinderino, les Vitalitos de Vittel, la gamme Tesco Kids, Natchan de Suntory ... 2009

39 Les héros Les « héros » aux aptitudes physiques, mentales et morales exceptionnelles.
Véritables mentors et modèles « aspirationnels », ils sont susceptibles d’attirer des enfants de 4 à 12 ans selon l’univers imaginaire qui leur est associé . Exemple : Prince de Lu et son univers onirique permettront de cibler essentiellement les 4-8 ans alors que le tigre Tony des Kellogg’s Frosties recrutera les pré-ados voire, les ados grâce à son univers lié au sport. 2009

40 et jaune = chaleur, gaîté et impact
Ici, matin = jaune et jaune = chaleur, gaîté et impact  Le village Tradition + nostalgie+ réconfort Le matin évoqué par un mets Pour susciter appétit Décomposer l’image du facing (logo, illustration produit, icônes diverses, fond) 2009

41 Qui a dit que le bar code était un mal obligé et qu’il fallait donc
le caser au dos des emballages avec d’autres mentions légales ? 2009

42 2009

43 SERVICES ASSOCIES 2009

44 MARQUE ET DIFFERENCIATION
Définition : Une marque est un nom, un terme, un signe, un symbole, un dessin ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou services d’un vendeur ou d ’un groupe de vendeurs et à les différencier des concurrents (Marketing Management, 12 ième édition) 2009

45 MARQUE ET DIFFERENCIATION
Un ensemble d’attributs LV : cher, luxueux, mode Un ensemble d’avantages ou bénéfices clients avantages fonctionnels ou émotionnels Bouygues, qualité Un ensemble de valeurs Danone Une culture Mercedes = marque allemande Une personnalité personnalité marque et personnalité consommateur 2009

46 Créer des objets magnifiques qui changent la vie des gens
LE CAPITAL MARQUE Le capital d ’une marque est la valeur apportée par la marque aux produits et services qu ’elle couvre Actif intangible qui confère une valeur psychologique et financière à l ’entreprise Créer des objets magnifiques qui changent la vie des gens Steve Jobs, PDG d ’APPLE 2009

47 CE QUE PERMET LE CAPITAL MARQUE
Choix des colas dans des tests aveugles et nominatifs 2009

48 LA GESTION DU PORTEFEUILLE DE MARQUES
Le portefeuille de marques est l’ensemble des marques qu ’une entreprise donnée commercialise dans une catégorie de produits LU - disparition Prince Taillefine Petit Ecolier Grand nombre de marques = verrouillage du marché Procter & Gamble : 30% du marché des lessives Ariel, Gama, Dash, Vizir, Bonux Réduire son portefeuille = réduire les coûts Danone a supprimé l’Alsacienne au profit de Belin (économie 12 Millions d ’euro/AN) Réduire son portefeuille = perdre des PDM Fusion Arthur Martin-Electrolux 2009

49 2009

50 Personnalisation 2009

51 Synergie 2009

52 Laurent Perrier- Baccarat Associations de marque, co-branding
2009

53 RENFORCER ET REVITALISER UNE MARQUE
Renforcer une marque améliorer ses performances marketing Burberry ’s 7 ième au Palmarès Ipsos Presse 2004 13, 86 (impact x agrément) Fauchon 2009

54 FAUCHON ACCÉLÈRE SA CROISSANCE SUR LE MARCHÉ DE LA RÉCEPTION
Un axe de conquête prioritaire en 2009 : la Réception FAUCHON présente ce vendredi 20 mars sa nouvelle ligne FAUCHON RÉCEPTIONS. 2009

55 Revitaliser une marque
réussir son « repositionnement » sur un marché en mutation Mixa Bébé de l’Oréal 3 lancements de produits : Mixa soins intensifs peaux sèches (stick, crème pour les mains, lait pour le corps) En un an deuxième place du marché derrière Nivéa Vente de Findus par Nestlé à Equity en 2000 clause de non concurrence sur les plats cuisinés surgelés (3 ans) Rachat par Capvest en 2006 développement de nouveaux produits : poissons panés déjà enduits d’huile, légumes Wok retour sur les plats cuisinés (41% des consommateurs l’ont encore à l ’esprit ) avec formats familiaux et barquettes micro-onde (étude ethnographique) Lancement de la barquette micro-ondable en plat cuisiné Lancement Sachet Micro-ondable. 2009

56 AVANTAGES ET RISQUES DE L ’EXTENSION DE MARQUE Le cas Ralph Lauren
Etude réalisée par McKinsey sur le levier de la marque Lauren (1999) Évaluer la réceptivité des consommateurs à l ’extension de marque La marque serait elle aussi performante que les marques présentes sur les secteurs visés ? Oui pour les vêtements de sport (73%) Oui pour les costumes (71%) Non pour l ’ameublement (22%) 2009

57 ILLUSTRATIONS GESTION DE MARQUE Danone et son programme relationnel
2009

58 Légitimité santé faible ou nulle
Hors alimentaire Emballages CONFISERIE CARAMBAR Légitimité santé faible ou nulle Pâtes Panzani Légitimité santé forte Alimentation infantile BLEDINA Sauces Maille Amora Cœur de légitimité santé Produits laitiers frais Danone Eaux Evian Volvic Biscuits LU Bières Kronenbourg Plats cuisinés Marie Source : thebrandcity 2009

59 Volvic, Evian, Badoit, Taillefine, Salvetat
Nutrition médicale, Nutrimel Actimel, Yoghourt nature, Velouté, Activia, Dany, Jockey, Gervita, Bulle de Yaourt, Taillefine, Danette, Danacol, Fjord, Recette crémeuse de fruit 2009

60 Une marque relationnelle pour une vision à 360° du consommateur
Danone et vous Le papier se décline en deux supports, un guide annuel et un consumer mag tri annuel. Les deux sont envoyés par mailing sous la bannière "Danone et Vous", mais avec des positionnements bien différents. Le guide, expert Le consumer mag, les coulisses du métier 2009

61 Nourrir le CRM Le bingo des marques
Base de données relationnelles 9 milions de foyers 16% de foyers activés, foyers avec enfants = foyers Joyeux Comparaison base Secodip 2009

62 2009

63 AFFRONTER LES MARQUES DISTRIBUTEURS
Augmenter la publicité et la promotion des ventes Influence sur le prix Se différencier par la RD Danone et son yoghourt anti-cholestérol Commercialiser une partie de leur production sous marque MDD 2009

64 AVANTAGES ET RISQUES DE L ’EXTENSION DE MARQUE
Utiliser une marque qui a fait ses preuves pour lancer un produit appartenant à une nouvelle catégorie Effet de levier : fait de s ’appuyer sur la marque initiale pour exploiter d ’autres opportunités Virgin Bic Soda Stylos Parfum Transports aériens Briquets Collants Services financiers Rasoirs Points communs : aspect AUCUN ludique de la marque 2009

65 LES FORCES DE LA MARQUE PAR INTERBRAND
Marque déposée logos Brevets LE SOUTIEN MARKETING (10%) LA PROTECTION (5%) Tx de croissance Marché potentiel Barrières à l’entrée Montant des dépenses Marketing Qualité de la communication LE LEADERSHIP(25%) LA STABILITE (15%) LE MARCHE (10%) LA PORTEE GEOGRAPHIQUE (25%) LA TENDANCE (10%) Capacité à traverser les frontières géographiques et culturelles Capacité à rester moderne 2009

66 INTERBRAND ET LA VALEUR FINANCIERE DES MARQUES
Les gains de la marque VALEUR FINANCIERE DE LA MARQUE La force de la marque Coefficient multiplicateur des gains de la marque Score Taux d ’actualisation X = 2009

67 GE 2009

68 L ’EVALUATION DU CAPITAL MARQUE LA GRILLE D ’ANALYSE BAV (brand asset valuator) de Young and Rubicam
Force de la marque (différenciation et pertinence) Stature de la marque (estime et connaissance) 2009

69 LE CAPITAL MARQUE EN FONCTION DES MARCHES
Source INTERBRAND 2009

70 OUTILS D ’EVALUATION DE LA MARQUE VIA LES ETUDES QUALITATIVES
EVALUER SA MARQUE OUTILS D ’EVALUATION DE LA MARQUE VIA LES ETUDES QUALITATIVES 2009

71 L'approche TRI*M (Measuring, Managing, Monitoring), développée par TNS Sofres et étalonnée à l'échelle internationale, constituera un apport précieux pour gérer votre atout réputation. TRI*M complète vos mesures d'image habituelles, pour évaluer en profondeur la qualité et les leviers de votre réputation Notre expérience des problématiques d'image corporate montre qu'il est réducteur d'évaluer la réputation à partir d'un simple score de « bonnes opinions ». Pour bien approcher la qualité de la réputation d'une entreprise, il faut combiner différentes dimensions : la réputation d'ensemble qui vous est prêtée, votre crédit de compétence et de réussite, votre capital affectif : notre indice TRI*M intègre ces différentes dimensions 2009

72 Une vision panoramique de vos différents stakeholders
Le TRI*M Corporate Reputation Radar permet d'étalonner votre réputation sur vos différents stakeholders : collaborateurs potentiels, grand public, journalistes, investisseurs, et tout public qui vous intéresse...Ainsi est-il facile d'identifier les cibles à risque, qu'il faut travailler plus particulièrement Sur ce graphique, la réputation corporate auprès du grand public, des investisseurs et des journalistes est bien meilleure qu'auprès des clients et collaborateurs potentiels. 2009

73 La Grille TRI*M permet de visualiser clairement les réponses à trois questions fondamentales :
1. À quels aspects les stakeholders se disent-ils sensibles (importance déclarée) ? 2. Comment votre entreprise se positionne-t-elle (symboles) ? 3. Quels aspects influent réellement sur votre réputation (importance calculée) ? Dans cet exemple, cette entreprise est bien notée sur les critères « orientation clients » et « leadership » qui constituent des leviers stratégiques pour sa réputation. 2009

74 CYCLE DE VIE DES PRODUITS
Lancement, croissance, maturité, déclin PROFIT Lancement Croissance Maturité Déclin VENTES 2009

75 CYCLE DE VIE DES PRODUITS
Séquence à double cycle Cycle à rebondissement Cycle Croissance Déclin Stabilisation modes Gadgets 2009

76 CYCLE DE VIE PRODUIT ET MARCHE
Le cycle de vie des produits à résurrection 1970 renouveau de la moto (cf. Japon) Shake out Marché en croissance molle guerre des prix disparition de la majorité des acteurs reconstruction 2009

77 CYCLE DE VIE PRODUIT ET MARCHE
Marché up produit down Appareils photo numérique Marché down Produit up Marché des cigarettes Appareils photo numérique Polaroid Ventes de Marlboro light 2009

78 PROFIT VENTES Majorité Traditionnelle
Lancement Croissance Maturité Déclin VENTES Créer la notoriété favoriser l ’essai Construire une forte part de marché Accroître le profit en maintenant la part de marché Réduire les dépenses et récolter Ventes croissantes coût unitaire moyen Ventes faibles coûts unitaires élevés Ventes déclinantes coût unitaire faible Ventes maximales coût unitaire faible Clientèle innovateurs Adopteurs précoces Majorité Traditionnelle 2009

79 LES 5 CATEGORIES D ’ACHETEUR DEFINIES PAR ROGERS
Les innovateurs : plus jeunes, niveau supérieur de revenus, CSP élevée, mobilité sociale, s ’identifient comme des pionniers, reçoivent plus d ’informations, leaders d ’opinion 34% Majorité précoce 34% Majorité tardive 13,5 Adopteur précoce 2,5% Innovateurs 16% retardataires 2009

80 LE PORTEFEUILLE DE PRODUITS
Les produits peuvent être regroupés en Ligne : se complètent et se substituent Ligne produits d’apéritif Balhsen (cacahuètes, Minipizzas) Gamme : regroupement de lignes autour d’une technologie d’un marché (automobiles utilitaires/ personnels) d’un contexte de consommation (snacking) Nombre total d ’articles qui la composent Gamme Profondeur : nombre de produits offerts dans chaque ligne Largeur : nombre de lignes de produits 2009

81 EQUILIBRE DE LA GAMME 2009

82 GAMME ET CHIFFRE D ’AFFAIRES
Règle des 80/20 vieux produits produits prometteurs % cumulés du chiffre d ’affaires 100% 80% % cumulé du nombre de produits classés par ordre décroissant d ’importance 100% 20% A compléter Rentabilité produit (star, dilemme, vache à lait, poids mort) Age des produits 2009

83 Matrice du BCG Modèle McKinsey + Stars Dilemmes Vaches à lait
TAUX DE CROISSANCE DU MARCHE Attraits du marché + Fort Moyen Faible Stars Dilemmes Vaches à lait Poids mort - Part de marché relative + Faibles Moyens Forts - Atouts de l ’entreprise 2009

84 GESTION DE LA GAMME STRATEGIE DE RENOUVELLEMENT DES PRODUITS
La mauvaise La bonne Nouveau produit Ancien produit Nouveau produit Ancien produit Cannibalisation volontaire Nombreux clients passés à la concurrence 2009

85 LES STRATEGIES DE PRIX ET DE COMMUNICATION EN PHASE DE LANCEMENT
FAIBLE ELEVE PENETRATION RAPIDE ECREMAGE RAPIDE FORTE ECREMAGE PROGRESSIF PENETRATION PROGRESSIVE FAIBLE 2009

86 STRATEGIES MARKETING EN PHASE DE LANCEMENT
2009

87 PHASE DE DEVELOPPEMENT
Facteurs clé de succès maîtrise de la commercialisation faire connaître et apprécier la marque 2009

88 PHASES DE MATURITE ET DECLIN
Déclin Réduction des coûts Réduction des prix Nouveaux entrants Acheteurs sont des suiveurs Volumes gagnés au détriment de la concurrence PDM réduits Concentration du marché Gestion d ’un marché de maturité Évolution lente des PDM Capacités à produire de grandes quantités Réduction des coûts Rentabilité de l ’activité 2009


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