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Lombalgies, Lombo-radiculalgies, Canal lombaire étroit

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Présentation au sujet: "Lombalgies, Lombo-radiculalgies, Canal lombaire étroit"— Transcription de la présentation:

1 Lombalgies, Lombo-radiculalgies, Canal lombaire étroit

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3 LOMBALGIES La lombalgie n’est pas une maladie mais un symptôme.
On distingue les lombalgies communes liées à l’arthrose, aux discopathies (usure) Des lombalgies symptomatiques, révélatrices d’affections plus rares (tumeurs, infections …) Deux présentation: aiguë ou chronique (>3mois)

4 Lombalgies communes circonstance de survenue: activité professionnelle (déménageurs, batiment,…), loisirs (sport, bricolage), traumatismes (AVP, chute,…), traumatismes (AVP, chute,…) Signes cliniques Lumbago: lombalgie aïgue, effort de soulèvement, d’emblée maximale avec atténuation progressive, sensation de blocage, rachis lombaire très raide Lombalgie chronique: siège lombaire, mécanique, en barre, raideur lombaire modérée, ATCD de lumbago, forme grave de la lombalgie du fait de son retentissement socio professionnel et économique

5 Épidémiologie Extrêmement fréquentes 60 à 90% de la population en souffre ou en à souffert Facteurs de risques: effort répétés, ATCD de traumatisme, vibrations, tabagisme, l’alcoolisme, le bas niveau social et d’éducation, l’instabilité sociale et professionnelle, ATCD de maladie psychosomatique. Insatisfaction au travail Première pathologie limitant l’activité avant 45 ans, coût direct > 30 milliards d’euros par ans en France

6 Examen clinique Recherche d’un trouble de la statique rachidienne
Etude des mobilités du rachis lombaire Recherche des contractures musculaires para vertébrales et de point douloureux à la palpation Recherche des signes de souffrance radiculaire Examen des sacro-iliaque et coxo-fémorales

7 Examen complémentaires
Lumbago: L’examen radiologique n’est justifié que chez un adolescent ou un sujet de plus de 55 ans, en cas de d’ATCD d’infection, de tumeur, de traumatisme, fièvre, tableau atypique, en cas d’évolution > à 2 semaines Biologie (VS, CRP) Lombalgies chroniques: Radiographies simples et biologie, prise de sang normale, pas de syndrome inflammatoire

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11 TRAITEMENT Médicaments: antalgiques, AINS, myorelaxants
Infiltration épidurale Physiothérapie Repos limité Rééducation: Active Chirurgie: Exceptionnelle

12 LOMBALGIES SYMPTOMATIQUES
Rares (moins de 1%), lombalgies non communes, d’origine rachidienne (infections, tumeurs) ou projetée (viscères) Étiologie: tumeurs maligne (myélome, cancer secondaire de os) Tumeurs bénignes (ostéome ostéoïde, neurinome…) Infection: spondylodiscite Spondylarthrite ankylosante Ostéopathie fragilisante: Ostéoporose, Paget

13 Signes d’orientation Clinique: terrain:ATCD de cancer ou d’infection, topographie: lombalgie haute souvent symptomatiques, horaire: nocturne, tenace, AEG, signes neurologique Bio: syndrome inflammatoire, hypercalcémie.

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15 Lombosciatique communes: d’origine discale ou arthrosique Discale: lombalgie avec irradiation au membre inférieur, par conflit disco-radiculaire en L4-L5 ou L5-S1 Arthrosique: lombalgies avec irradiation au membre inférieur par arthrose vertébrale. symptomatiques: lombalgie avec irradiation symptomatiques d’affections rachidiennes ou extra-rachidiennes (inflammatoires, infectieuses, tumorales…)

16 Diagnostique clinique
Interrogatoire: Lombalgie? Irradiation uni ou bilatérale? Trajet précis de l’irradiation L5 ou S1, rythme de la douleur, rôle des facteurs mécaniques, impulsivité à la toux, date et mode de début, ATCD de lombalgies. Examen clinique: Trouble de la statique: recherche d’une attitude antalgique, étude des mobilité du rachis, Recherche du signe de Lasègue, examen neurologique des membres inférieurs (réflexes, sensibilité, recherche d’un déficit moteur), recherche d’un syndrome de la queue de cheval Etude des articulations coxo-fémorales, sacro-iliaques et examen clinique général

17 Examen complémentaire
Une lombosciatique discale typique ne nécessite aucun examen complémentaire, ils sont demandés en cas d’atcd d’infection, tumeur, de fièvre, de signes neurologiques déficitaires, de tableau clinique atypique, si la douleur persiste au delà de deux semaines ou s’aggrave Lesquels ?: Scanner: c’est l’examen de référence en première intention IRM: limitée par le coût et l’accessibilité Saccoradiculographie: en cas de normalité des examens précédents Qu’en attendre ?: le scanner assure la concordance avec la clinique, précise le type de hernie, l’IRM permet une exploration neurologique et ostéo-articulaire complète, la saccoradiculographie analyse le liquide céphalorachidien, révèle parfois des conflits discoradiculaires inapparent en décubitus.

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21 Hernie discale

22 Traitements Conservateurs: Repos, antalgiques, AINS et myorelaxant
Infiltrations épidurales de corticoïdes Rééducation après amélioration des douleurs Traitements percutanés: Infiltration sous contrôle scanner Chirurgicaux: sous anesthésie générale, améliorent les radiculalgies dans 80% des cas Indications: en urgence si sciatique paralysante, syndrome de la queue de cheval, en dehors de l’urgence en cas d’inefficacité des traitements conservateurs ou percutanés

23 Lombocruralgies Définition: Lomboradiculagie affectant une de racines du nerfs crurale Épidémiologie: Beaucoup moins fréquente que la lombosciatique, affecte plus fréquemment l’homme que la femme, entre 50 et 60 ans. Diagnostique clinique: lombalgie?, topographie de la douleur L3 ou L4, caractérisation de la douleur, souvent brutale, insomniante, dysesthésies à type de brûlures, de broiement, recrudescence nocturne, signe de Leri, réflexe rotulien, hypoesthésie, déficit moteur du quadriceps, examen de la hanche, du bassin Examen complémentaires: stratégie semblable à la lombosciatique Traitement: Comparable à la lombosciatique

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25 Canal lombaire étroit Définition: sténose du canal rachidien presque toujours acquise (prolifération ostéophytique, hypertrophie des ligaments jaunes, protrusion discale). Le rétrécissement peut être étendu à plusieurs étages ou limité à un seul étage Diagnostique clinique: Paresthésies des membres inférieurs, bilatérales, de topographie pluriradiculaire, à type de crampes, striction des membres inférieurs, hypoesthésie avec sensation, fatigabilité intense à la marche (périmètre de marche), amélioration de la douleur au repos, à l’antéflexion du tronc Examens complémentaires: Scanner, IRM permettent de faire la part de la composante discale ou d’une ostéophytose dans la compression nerveuse Traitement: Symptomatique Infiltrations épidurales de corticoïdes Rééducation en cyphose avec tonification des abdominaux Chirurgical : Libération des structures nerveuses

26 Arthrose interapophysaire postérieure

27 Canal lombaire étroit

28 Névralgie cervico-brachiale
Définition: douleur de topographie radiculaire du membre supérieur, traduisant la souffrance d’une des racines du plexus brachial Épidémiologie: NCB communes d’origines arthrosique après 40 ans, d’origine discale chez le jeune Diagnostique: Examen de l’épaule, du coude, de l’épaule, syndrome cervical associé à un trajet douloureux compatible avec une atteinte radiculaire, examen neurologique Examen complémentaire: radiographie, biologie, scanner pour le bilan pré-opératoire ou en cas de suspicion de NCB symptomatique Traitement: Repos, collier d’immobilisation, AINS, Corticoïdes oraux, infiltrations péri-radiculaires, chirurgical

29 Biologie: prise de sang normale, pas de syndrome inflammatoire
Radios: Discarthrose, scoliose, arthrose inter-apophysaire postérieure Étiologie: arthrose, hernie discale, contracture musculaire TTT: Préventif : école du dos lumbago: repos AINS, antalgiques, décontracturants, rééducation à distance, manipulation, infiltrations (épidurales)


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