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Adénopathies de l’enfant.

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Présentation au sujet: "Adénopathies de l’enfant."— Transcription de la présentation:

1 Adénopathies de l’enfant

2 du ganglion lymphatique
Structure du ganglion lymphatique vaisseaux lymphatiques afférents veinule post-capillaire follicule lymphoïde centre germinatif zone corticale 1-3 mm capsule médullaire hile valvules Vaisseau lymphatique efférent

3 superficiels Ganglions lymphatiques ADENOPATHIES SUPERFICIELLES
ADENOPATHIES PROFONDES RP, ECHOGRAPHIE;TDM

4 Chez l’enfant • des ganglions normaux peuvent être palpés •
maturité du système immunitaire ans adénopathies de cause bénigne > 99% transitoires en principe mais certaines persistent plusieurs mois (virus lymphotropes, toxoplasmose) les ¾ des bilans étiologiques sont négatifs

5 Eléments rassurants Adénopathie isolée • • Adénopathies multiples •
anomalie du territoire de drainage douleur de tonalité inflammatoire tendance régressive Adénopathies multiples contexte fébrile aigu ou éruption régression progressive Ganglion normalement palpables ou persistants multiplicité des ganglions fluctuations ou stabilité

6 Quel bilan, dans quel cas ? • Examen clinique soigneux
Aucun examen complémentaire si : – Cause locale, bon état général – Infection généralisée ex. maladie éruptive Suspicion de griffes du chat : sérologie, PCR Pas de cause évidente ? – Hémogramme, CRP – Sérologies ? Pas trop vite !

7 Examen spéciaux Echographie ? • •
pas d’intérêt pour confirmer les adénopathies adénite en voie de collection Ponction ? Ganglion de volume suffisant grosse aiguille, opposé du point déclive cytologie en cas d’adénopathie inquiétante • Hémato-cytologiste expérimenté adénite : bactériologie, PCR Risque de fistulisation

8 Que peut montrer la NFS ? Pancytopénie ± cellules anormales
Interprétation en fonction de l’âge Hyperleucocytose à polynucléaires ± thrombocytose avec quelques lympho hyperbasophiles ± plasmocytes lymphocytose avec cellules mononucléosiques granulocytes immatures : myélémie présence de blastes (pas forcément leucémiques) Leucopénie – Neutropénie ± thrombopénie transitoires Pancytopénie ± cellules anormales

9 Etiologie des adénopathies • Réaction inflammatoire à infection locale
Ganglions satellites (angine, otite, impetigo..) Adénite : tuberculose, griffe du chat, Panaris, lymphangite : axillaire, inguinale Viroses banales, maladies éruptives Virus lymphotropes : EBV, CMV, VIH Toxoplasmose Hémopathies : lymphomes, leucémies

10 Adénopathie tuberculeuse
adolescent / jeune adulte,milieu social ganglion cervical unilatéral, irrégulier, ± fluctuant Pas d’autre localisation (pulmonaire notamment) Diagnostic : IDR pas toujours très positive ponction : ED, culture, PCR (M.tuberculosis, M.bovis) histologie : granulome, cellules géantes, caseum traitement associé 6 mois, + parfois curage

11 Maladie des griffes du chat Fistulisation dans ≅ 15% des cas •
Bartonella hansaele Adénite douloureuse : Sérologie : IgM + IgG, ponction → pus stérile 16% négatifs (→ PCR ?) Guérison spontanée lente (semaines) Insensibilité habituelle aux ATB sauf les cyclines (ou les quinolones chez l’adulte) Fistulisation dans ≅ 15% des cas rares formes viscérales avec adénopathies multiples, atteinte hépatique et/ou splénique.

12 Maladie des Epidémiologie griffes du chat morsure griffure

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15 Mononucléose infectieuse •
Virus d’Epstein-Barr, transmis par la salive Petit enfant : rhinopharyngite banale + Adénopathies parfois très volumineuses Adolescent : angine, fièvre, asthénie ++ micro-poly adénopathie, splénomégalie « note hépatique » : cytolyse, sub-ictère NFS Hyperleucocytose avec syndrome mononucléosique, parfois thrombopénie.

16 Mononucléose infectieuse
Diagnostic sérologique MNI-test : met en évidence des agglutinines non spécifiques, 15-20% de faux positifs Paul-Bunnell-Davidsohn : abandonné Sérologie EBV : permet de dater l’infection indique son caractère évolutif Problème des infections persistantes.. et

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19 Syndrome mononucléosique

20 Virus lymphotrope banal (80% des adultes sont immunisés)
Responsable d’adénopathies + syndrome mononucléosique Communautés antigéniques avec EBV : réactions sérologiques croisées

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22 Cycle évolutif du toxoplasme

23 Sérologie de la toxoplasmose
Anticorps IgG IgM IgA I estation

24 Hémopathies malignes

25 Incidence des hémopathies aiguës chez l’enfant
© 2006 Institut de cancérologie Gustave-Roussy

26 Ce qui n’existe pas chez l’enfant • Leucémie lymphoïde chronique
→ hyperlymphocytose + polyadénopathie LNH de faible malignité, folliculaire et autre ⇒ pas d’adénopathies persistantes en rapport avec une hémopathie

27 Maladie de Hodgkin • <1 cas/million d’habitants/an avant 15
exceptionnelle avant 5 ans (garçons) x 30 entre 15 et 19 ans fréquence en régression depuis 1980 ans Bon pronostic avec association CT-RT Irradiations à doses réduites (croissance)

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29 Cellules de Sternberg Image de médiastin en cheminée

30 LNH de l’enfant • Toujours de malignité élevée Localisation : •
cervicale superficielle médiastinale : lymphomes T abdominale : lymphomes B croissance tumorale rapide : compressions Dissémination précoce : moelle, méninges Traitement en urgence, guérison 85% cas

31 Tumeur abdominale (B) Tumeur médiastinale (T)
LNH de l’enfant

32 Chez l’enfant • Les ganglions normaux peuvent être palpés •
adénopathies de cause bénigne > 99% transitoires en principe mais certaines persistent plusieurs mois (virus lymphotropes, toxoplasmose) les ¾ des bilans étiologiques sont négatifs


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