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KYSTES ET TUMEURS MAXILLO-MANDIBULAIRES

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1 KYSTES ET TUMEURS MAXILLO-MANDIBULAIRES
K. Mrad Dali – Grissa Service d’Imagerie Médicale 2009 CHU Sahloul

2 INTRODUCTION Groupe hétérogène Origine odontogénique
Lésions essentiellement bénignes +++ Siège : mandibule Symptomatologie fruste => diagnostic tardif. Intérêt de l’imagerie : Apprécier l’agressivité lésionnel Bilan l’extension locorégionale Approche étiologique Confirmation : histologique

3 MOYENS D’EXPLORATION RADIOGRAPHIES STANDARD :
L’orthopantomograhie (OPT): Incidence de base Quatre secteurs maxillaires Définition insuffisante pour la modification de la trame osseuse le film mordu ou occlusal: Soufflure ou destruction d`une corticale de la portion dentée L’incidence rétro alvéolaire: Meilleure analyse de la trame osseuse Rapports Tm/ dents adjacentes

4 Autres incidences : délaissées au profit de la TDM
MOYENS D’EXPLORATION Autres incidences : délaissées au profit de la TDM pour la mandibule: Défilé mandibulaire : Branche horizontale, symphyse Incidence face basse: Branche montante, col du condyle pour le maxillaire: Incidence Blondeau Rx du crâne (F+P)

5 MOYENS D’EXPLORATION TDM: Progrès en matière de logiciels informatiques (dentascan, scanner 3D, angio scan ) Lésions volumineuses (sup 2 à 3 cm) Lésions à développement postérieur Matrice lésionnelle Degré de prise de contraste Rapports Racines dentaires (dentascan) Canal dentaire Structures anatomiques avoisinantes (sinus maxillaire, cavité orbitaire, fosses nasales, canal du nerf alvéolaire inférieur)

6 IRM : Indication limitée
MOYENS D’EXPLORATION IRM : Indication limitée Lésions bénignes très évolutives ou agressives Meilleure exploration des parties molles, médullaire osseuse, Skip métastase Dépistage précoce des récidives (≠ce tissu tumoral - tissu fibreux cicatriciel) L’examen comporte systématiquement: SE pT1 dans les plans axial et coronal SE pT2, Fast ou Turbo SE dans l’un ou l’autre des plans. Séquences avec annulation du signal de la graisse Séquences en écho de gradient Angio-IRM Des séquences dynamiques : étude du comportement vasculaire des lésions

7 ECHOGRAPHIE : ANGIOGRAPHIE : SCINTIGRAPHIE : But thérapeutique
MOYENS D’EXPLORATION ECHOGRAPHIE : ANGIOGRAPHIE : But thérapeutique SCINTIGRAPHIE : Hyper fixation infra radiologique Localisations multiples

8 ANALYSE RADIOLOGIQUE

9 Caractéristiques des lésions Unique ou multiple Mono ou poly ostotique
ANALYSE RADIOLOGIQUE Caractéristiques des lésions Unique ou multiple Mono ou poly ostotique Tonalité Siège : maxillaire ou mandibule Structure osseuse atteinte : corticale, médullaire Segment d’os atteint : os basilaire, alvéolaire, condyle Taille

10 Réaction de l’os péri lésionnel Aspect de la matrice
ANALYSE RADIOLOGIQUE Réaction de l’os péri lésionnel Aspect de la matrice Etat de la corticale osseuse Existence d’une réaction périostée et son aspect Etat des parties molles

11 Rapports de la tumeur avec:
Dents avoisinantes Canal dentaire Structures avoisinantes Cavités sinusiennes Fosse infra temporale Orbites Base du crâne

12 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

13 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

14 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

15 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

16 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

17 En faveur de la bénignité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de la bénignité : Image bien limitée , liseré de condensation Zone de transition étroite entre os sain / os pathologique Aspect en double contour Refoulement harmonieux “en fil à linge“ du canal dentaire Bascule, Télescopage des dents avoisinantes Rhizalyse +++ Soufflure, amincissement voire rupture des corticales mais sans envahissement

18 En faveur de l’agressivité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de l’agressivité : Irrégularité Flou des bords Absence de ligne bordante Aspect de dents flottantes Réaction périostée complexe Rupture corticale Envahissement des parties molles

19 En faveur de l’agressivité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de l’agressivité : Irrégularité Flou des bords Absence de ligne bordante Aspect de dents flottantes Réaction périostée complexe Rupture corticale Envahissement des parties molles

20 En faveur de l’agressivité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de l’agressivité : Irrégularité Flou des bords Absence de ligne bordante Aspect de dents flottantes Réaction périostée complexe Rupture corticale Envahissement des parties molles

21 En faveur de l’agressivité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de l’agressivité : Irrégularité Flou des bords Absence de ligne bordante Aspect de dents flottantes Réaction périostée complexe Rupture corticale Envahissement des parties molles

22 En faveur de l’agressivité :
ANALYSE RADIOLOGIQUE En faveur de l’agressivité : Irrégularité Flou des bords Absence de ligne bordante Aspect de dents flottantes Réaction périostée complexe Rupture corticale Envahissement des parties molles

23 L´origine dentaire sera suspectée devant:
ANALYSE RADIOLOGIQUE L´origine dentaire sera suspectée devant: la présence d´opacité de tonalité dentaire la présence d´une dent incluse au sein de la lésion.

24 LES LESIONS OSTEOLYTIQUES

25 LES KYSTES ODONTOGENIQUES
KYSTE INFLAMMATOIRE Ce sont les plus fréquents (60%). infection dentaire  un granulome apical Dents définitives généralement mortifiée, que lactéales kyste résiduel kyste latéral kyste radiculo-dentaire apico-dentaire

26 LES KYSTES ODONTOGENIQUES
KYSTE APICO-DENTAIRE

27 LES KYSTES ODONTOGENIQUES

28 LES KYSTES ODONTOGENIQUES

29 LES KYSTES ODONTOGENIQUES
KYSTE DENTIGERE OU FOLLICULAIRE (k. péri-coronaire, k. corono-dentaire ou apico- dentaire) Egalement très fréquents Pic à la 3éme décennie et Homme déplacement dentaire k. Corono-dentaire inséré autour du collet d’une dent incluse k. Folliculaire englobant la totalité d’une dent ou l’ensemble d’un germe.

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32 LES KYSTES NON ODONTOGENIQUES
KYSTES FISSURAIRES Le long des lignes de suture du squelette facial aucune relation vraie avec les dents K. naso palatin (k. du canal incisif) : dilatation du canal nasopalatin « image en forme de cœur » K. globulo mandibulaire : incisive latérale et canine supérieure « image en poire » K. médio palatin: très exceptionnel, située sur la ligne de structure médiane des 2 apophyses palatines en regard des molaires K. médio mandibulaire = très rares

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34 (k. osseux solitaire ou k. traumatique)
LES PSEUDO-KYSTES KYSTE ESSENTIEL (k. osseux solitaire ou k. traumatique) Enfant et adulte jeune Asymptomatique Corps et symphyse mandibulaires Ostéolyse circonscrite, fine ligne bordante, Aspect festonné autour des racines Aspect feuilleté du contour

35 KYSTE ANEVRYSMAL Tumeurs bénigne d’étiologie indéterminée
LES PSEUDO-KYSTES KYSTE ANEVRYSMAL Tumeurs bénigne d’étiologie indéterminée Sexe féminin < 20 ans. Localisation préférentielle : mandibule (angle, corps) tuméfaction osseuse indolore, d’évolution lente, asymétrie faciale

36 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES KÉRATOKYSTE K. épidermoïde
14 % 30 et 40 ans Mandibule (angle=50% ; BM=50%). condyle respecté Déplacement dentaire, tuméfaction, signes inflammatoires, fistulisation (sécrétions blanchâtres parsemés de paillettes)

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38 Homme de 21 ans, 48 incluse, déformation dentaire découverte d’une lésion kystique

39 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES
Syndrome de GORLIN

40 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES AMELOBLASTOME (Adamantinome)
Dérivent des améloblastes (cellules de l’émail) Sexe masculin. Légère prédisposition pour la 4éme et 5éme décennie. Mandibule (85 %) : région angulaire avec extension vers la BM (70%), région prémolaire (20%) et incisive (10%). Latence clinique sinon tuméfaction masseterienne, déplacement ou anomalie d’évolution dentaire. Caractère localement invasif et tendance à la récidive.

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44 IRM: masse polylobée, mixte, solide et kystique parois épaisses, irrégulières, iso intense T1, hyper intense en T2. rehaussement intense de la composante tissulaire, de la paroi et des septas. Les zones kystiques en hypo signal.

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46 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES FIBROME AMELOBLASTIQUE
Sujet jeune Simule cliniquement un améoblastome Localisation mandibulaire distale

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48 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES
MYXOME Sans prédisposition de sexe Observé avant l’age de 30 ans Mandibule, rarement maxillaire et exceptionnellement les parties molles (gencives, ligament alvéolo-dentaire). Tuméfaction lentement progressive associée à une anomalie d’évolution dentaire

49 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES

50 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES
Homme de 39 ans, tuméfaction gingivo-mandibulaire droite

51 LES TUMEURS ODONTOGENIQUES
Les tumeurs odontogéniques épidermoïdes Les adéno-améloblastomes (ou tumeur odontogénique adénomatoïde) Les tumeurs odontogéniques à cellules claires Les fibro-myxomes odontogènes. Les fibromes odontogènes.

52 TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES
CHERUBISME

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55 GRANULOME A CELLULES GÉANTES
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES GRANULOME A CELLULES GÉANTES - Femmes >> Hommes - Surtout enfant et adulte jeune - Tuméfaction osseuse recouverte de muqueuse brunâtre; dents mobiles et déplacées - Mandibule (secteur incisivo-canin ou prémolaire) - Aspect radiologique le plus fréquent: lacune bien limitée, lobulée, refoulant les corticales, de densité homogène; avec souvent des cloisons de refend (nid d’abeille).

56 (ostéose para-thyroïdienne ou t. de schmorl)
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES TUMEUR BRUNE (ostéose para-thyroïdienne ou t. de schmorl) Rare (4,5% des cas) Hyperfonctionnement parathyroïdien. Adénome para-thyroïdien ou d’insuffisance rénale chronique. Ostéolyse non spécifique à limites non précises, soufflure corticales voire leur rupture. Aspect multiloculaire moins fréquent Résorption de la lamina dura  signe précoce de l'hyperpara. primaire. Imagerie cervicale : nodule parathyroïdien en cause. Biologie : hyper-calcémie, hypo-phosphatasémie, hyper-phosphaturie, augmentation du turn-over du calcium, élévation de la parathormone.

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59 LES LESIONS OSTEOCONDENSANTES ET MIXTES

60 ODONTOMES les odontomes composés les odontomes complexes :
TUMEURS ODONTOGENIQUES ODONTOMES Hamartomes, avant 20 ans les odontomes complexes : masse compacte très dense (dentaire) Entourée par un halo clair ou soudée à l’os adjacent les odontomes composés lésion extrêmement dense composée de multiples petites structures dentaires (dents miniatures) Entourée d’un halo clair ou soudée à l’os .

61 FIBRO-ODONTOME AMELOBLASTIQUE
TUMEURS ODONTOGENIQUES FIBRO-ODONTOME AMELOBLASTIQUE combine les aspects histologiques de l’améloblastome et de l’odontome complexe large image géodique plus ou moins cloisonnée, à limites nettes, contenant des opacités denses, évoquant leur origine dentaire Il est dû à une prolifération autonome de la lame dentaire ou à une déviation proliférative d’un germe dentaire normal

62 (CEMENTOFIBROME, CEMENTOBLASTOME, DYSLASIE CEMENTAIRE)
TUMEURS ODONTOGENIQUES LES CEMENTOMES (CEMENTOFIBROME, CEMENTOBLASTOME, DYSLASIE CEMENTAIRE) Prennent naissance à partir du cémentoblaste Rare Sujet jeune ans, légère prédominance masculine. région prémolo- molaire Mandibule > maxillaire image radiologique variable stade de la maturation quantité du matériel cémento-osseux existant composante opaque, de type intermédiaire, entre la densité osseuse et dentaire opacité cernée par un halo clair.

63 Cémentofibrome

64 TUMEURS ODONTOGENIQUES

65 TUMEUR ODONTOGÈNE ADENOMATOIDE
TUMEURS ODONTOGENIQUES TUMEUR ODONTOGÈNE ADENOMATOIDE - Sexe féminin, 2éme décennie - tuméfaction indolore augmentant lentement de volume; retards d’éruption ou déplacement dentaire - Localisation préférentielle: région canine du maxillaire - Aspect radiologique: aspect monogéodique, bien limité, 2 à 4 cm de diamètre, situé au contact d’une dent incluse ou l’englobant; le caractère ponctué de l’image par de fines opacités permet d’orienter le diagnostic.

66 (tumeurs épithéliale odontogéniques calcifiante)
TUMEURS ODONTOGENIQUES TUMEURS DE PINDBORG: (tumeurs épithéliale odontogéniques calcifiante) 4éme décennie sans prédilection de sexe Tuméfaction indolore d’évolution lente mandibule (70%), prémolaire et molaire lésion ostéolytique uniloculaire, parsemée de petites opacités une dent incluse est notée 1 cas sur deux

67 TUMEURS ODONTOGENIQUES

68 FIBROME OSSIFIANT Fréquente au niveau de la face
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES FIBROME OSSIFIANT Fréquente au niveau de la face Des variantes ont été décrites Fibrome ossifiant juvénile avec destruction osseuse importante Fibrome cémento-ossifiant, bien circonscrit, opacité soit homogène de faible tonalité, soit hétérogène avec opacité de tonalité variable.

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70 TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES
LA DYSPLASIE FIBREUSE Unique, poly-ostotique : intérêt de la scintigraphie Syndrome d’Albright : dysplasie fibreuse poly-ostotique, pigmentation cutanée anormale puberté précoce, Syndrome de Mazabraud : dysplasie fibreuse poly-ostotique myxome intra-musculaire

71 Forme condensante plage de minéralisation intra médullaire homogène l’os est épaissi et dense aspect floconneux ou de verre dépoli limites nettes ou se raccordant progressivement à l’os normal et à la corticale.

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74 OSTEOME Syndrome de Gardner : Torus :
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES OSTEOME localisation crânio-faciale est très fréquente Souvent latent et indolore Tuméfaction, troubles fonctionnels par compression ou déplacement Syndrome de Gardner : ostéomes multiples kystes épidermoïdes cutanés multiples polypose colo-rectale tendance à la dégénérescence maligne Torus : forme particulière des ostéomes médio-palatin, ligne oblique interne de la mandibule

75 Ostéome ostéoïde L’ostéoblastome rare à la face
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES Ostéome ostéoïde rare à la face présente une structure spécifique le nidus constituée de tissu ostéoïde et entourée d’une ostéo-condensation réactionnelle Le nidus > 10 mm de diamètre L’ostéoblastome ostéolyse fusiforme pouvant rompre la corticale, associé à une ostéo-condensation péri-lésionnelle modérée si le centre de l’ostéolyse est calcifié, l’aspect est caractéristique

76 OSTEOCHONDROMES 10 % de la dégénérescence maligne
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES OSTEOCHONDROMES 10 % de la dégénérescence maligne La maladie exostosante : 10 à 25 % de dégénérescence.

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78 FIBROMES CHONDRO MYXOIDES
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS NON ODONTOGENIQUES CHONDROME  Multiple : enchondromatose (dyschondroplasie ou maladie des chondromes multiples ou maladie d’Ollier). Le syndrome de Maffucci est une variété particulière d’enchondromatose, associant aux tumeurs osseuses des angiomes cutanés CHONDROBLASTOMES ostéolyse inhomogène, pouvant contenir de petites calcifications ou une réticulation intra-lésionnelle Sa localisation principale est le condyle mandibulaire FIBROMES CHONDRO MYXOIDES image lacunaire avec de fines calcifications intra-tumorales.

79 LES TUMEURS MALIGNES

80 CARCINOME ODONTOGENIQUE
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE DENTAIRE CARCINOME ODONTOGENIQUE Rare transformation maligne d'une tumeur odontogénique à partir de vestiges d'épithélium odontogénique issus du revêtement épithélial de certains kystes odontogéniques

81 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE DENTAIRE

82 SARCOME AMELOBLASTIQUE
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE DENTAIRE SARCOME AMELOBLASTIQUE Transformation rare et du fibrome améloblastique Fibrosarcome améloblastique Fibro-odontosarcome améloblastique Adulte jeune vers 30 ans. La mandibule: le plus souvent atteinte RX : ostéolyse irrégulière, rupture corticales, répercussions dentaires précoces. Considérée habituellement comme un sarcome de basse malignité, extension locale, souvent considérable. Les récidives fréquentes et souvent très tardives, parfois après une dizaine d'années

83 Sarcome améloblastique
Jeune femme de 27ans; tuméfaction mandibulaire gche avec mobilité dentaire Sarcome améloblastique

84 Sarcome osseux et cartilagineux Ostéosarcome Sarcome d’Ewing
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE Sarcome osseux et cartilagineux Ostéosarcome Sarcome d’Ewing Chondrosarcome Sarcome des parties molles Fibrosarcome Histiocytofibrome malin Hémato sarcome (lymphomes) Lymphome de hodgkin et lymphomes non hodgkinien Plasmocytome (myélome) Leucémies et chloromes Angiosarcomes et hémangio-endothéliomes Schwanomes malins métastases

85 OSTEOSARCOME incidence : 4 à 7 %. prédominance masculine
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE OSTEOSARCOME incidence : 4 à 7 %. prédominance masculine âge de prédilection entre la 3eme et la 4eme décade 3 types: - ostéolytique : surtout dans les localisations mandibulaires. ostéocondensant : surtout dans la localisations maxillaire supérieure. La forme mixte L’élargissement desmodontal et du canal mandibulaire considérés comme deux signes précoces et non spécifiques, ne sont pas toujours rencontrés surveillance s’étale sur 10 ans.

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91 CHONDROSARCOME la localisation cranio-faciale est <10%.
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE CHONDROSARCOME la localisation cranio-faciale est <10%. Le maxillaire supérieur : palais et région antérieure du maxillaire L’age moyen est de 30 à 40 ans. Une prédisposition masculine est notée TDM : aspect de la matrice tumorale état de la corticale et type de réaction périostée.

92 La surveillance s’étale sur une dizaine d’années
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE IRM rehaussement sous formes de septa curvilignes attribués au tissu fibro vasculaire de la masse tumorale. Les zones non rehaussées correspondent souvent à du tissu mucoïde, cartilagineux ou nécrosés. En SE T2, l’hyper signal est attribué à la matrice chondroïde, les calcifications apparaissent en hypo signal La surveillance s’étale sur une dizaine d’années 

93 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE

94 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE

95 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE

96 chondrosarcome myxoïde grade II.
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE chondrosarcome myxoïde grade II.

97 SARCOME D’EWING deuxième tumeur osseuse maligne de l’enfant 1-3%
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE SARCOME D’EWING deuxième tumeur osseuse maligne de l’enfant 1-3% trois fois plus fréquente au niveau de la mandibule qu’au niveau du maxillaire supérieur. Pic de fréquence : 90% entre 5 et 30 ans

98 RX : Stade précoce normale. Stade avancé ostéolyse perméative (type III) ou mitée (type II), à limites floues. corticales détruites réaction périostée en rayon de soleil. Il n’y a pas de calcifications au niveau des parties molles (# ostéosarcome) TDM: -La nature ostéolytique de la lésion. -L’atteinte corticale. -Réaction périostée. -Envahissement des parties molles, sans calcifications. -L’extension loco-régionale. IRM: hypo intense en T1, hyper intense hétérogène en T2, rehaussement hétérogène

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100 LYMPHOMES lymphomes non hodgkinien ostéolyse de type perméatif.
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE LYMPHOMES lymphomes non hodgkinien ostéolyse de type perméatif. effacement progressif de la lamina dura et rhizalyse. myélome multiple (maladie de Kahler) volumineuses lésions ostéolytiques multiples sans liseré d’ostéo-condensation sans lésion d’ostéoporose diffuse.

101 7.8% les LMNH de la tête et du cou siègent au niveau de la mandibule.
Radio standard: les signes radiologiques sont pauvres. ostéolyse mal limitée perméative (type III), mitée (type II) ou géographique sans ostéocondensation périphérique. Une atteinte condensante ou mixte est rare. Réaction périostée évocatrice en bulbe d’oignon. Rupture corticale possible. Envahissement des parties molles. TDM: caractérisation de la lésion: Densité -État des corticales -Réaction périostée -Envahissement des parties molles IRM: masse infiltrante isointense en T1 et en T2, rehaussée de façon modérée, sans zones kystiques ou de nécrose.

102 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE

103 RHABDOMYOSARCOME la plus commune des tissus mous (muscle squelettique)
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE RHABDOMYOSARCOME la plus commune des tissus mous (muscle squelettique) 18 % au niveau de la tête et du cou La localisation strictement maxillaire ou mandibulaire est exceptionnelle. Deux pics de fréquence: 1-4 ans et ans

104 LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE

105 FIBROSARCOME 5% des tumeurs osseuses malignes 10% squelette faciale.
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE FIBROSARCOME 5% des tumeurs osseuses malignes 10% squelette faciale. mandibule > maxillaire supérieur. pas de prédilection concernant l’âge et le sexe. tuméfaction douloureuse, odontologie, épistaxis si localisation maxillo-nasale signes radiologiques ne sont pas spécifiques ostéolyse uni ou pluri-géodique rupture corticale réaction périostée inconstante, pas de calcifications tumorales.

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107 LES METASTASES Mandibule > maxillaires
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE LES METASTASES Mandibule > maxillaires lésions lytiques plus ou moins bien limitées fréquentes ruptures de corticale parfois des réactions périostées Rarement, images ostéo-condensantes ou mixtes (prostate, sein, poumon).

108 METASTASE DE NEUROBLASTOME
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE METASTASE DE NEUROBLASTOME

109 METASTASE DE RETINOBLASTOME
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE METASTASE DE RETINOBLASTOME METASTASE DE SYNOVIALOSACOME

110 METASTASE D’UN CANCER DU SEIN
LES TUMEURS MALIGNES D’ORIGINE NON DENTAIRE METASTASE D’UN CANCER DU SEIN

111 CONCLUSION âge du patient notion de fréquence siège lésionnel
signes radiologiques évoquer le diagnostic imagerie en coupes, en particulier tomodensitométriques appréciation des rapports avec les structures anatomiques adjacentes Matrice La confirmation est histologique surveillance

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113 FIBROME AMELOBLASTIQUE

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