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Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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Présentation au sujet: "Maurel Caroline professeur ressource académique DV"— Transcription de la présentation:

1 Maurel Caroline professeur ressource académique DV
4ème journées de l’Enseignement de la Physique et de ses Interfaces JEPI La place des sciences dans la société Enseignement des Sciences Physiques et jeunes à besoin éducatifs particuliers (enjeux, dispositifs, formation des enseignant...) Maurel Caroline professeur ressource académique DV

2 Maurel Caroline professeur ressource académique DV
La prise en compte des jeunes à besoins éducatifs particuliers (notamment les jeunes en situation de handicap) dans l’hétérogénéité du public scolaire en Sciences Physiques A- Présentation rapide B- Les jeunes à besoins éducatifs particuliers – Etat des lieux : élèves handicapés scolarisés C- Evolution de la prise en compte du handicap en milieu scolaire D- Et en Sciences Physiques …les possibles…les enjeux…les limites … E- Conclusion Maurel Caroline professeur ressource académique DV

3 A- Présentation rapide
Enseignante certifiée depuis 2001 investie dans le travail en lien avec les jeunes à besoin éducatifs particuliers depuis 2004. Passage du 2 CA-SH option D en 2009 en lien avec la création de l’ULIS du collège Campra d’Aix en Provence Passage du 2 CA- SH option B en 2010 en lien avec la fonction de professeur ressource académique sur les déficiences visuelles de l’Académie d’Aix Marseille Travail en classe de seconde générale au lycée Vauvenargues à Aix en Provence en incluant un jeune NV au sein d’une classe de 36 élèves. Actuellement 2004- début d’un travail avec les jeunes en rupture et travail avec la MGI dans le cadre des OPR- Référent des 3PRS . A partir de là définir les termes: 2CASH, ULIS, TSA rappeler les différentes possibilités d’inclusion en milieu ordinaire (individuelle ou collective) 2CA-SH Certificat Complémentaire pour les enseignements Adaptés et la Scolarisation des élèves en situation de Handicap Travail au collège en incluant 3 élèves de l’ULIS TSA du collège Campra en classe de 5ème et un élève en situation de handicap ne faisant pas parti de l’ULIS ….le même profil pour une classe de 4ème et une classe de 3ème Maurel Caroline professeur ressource académique DV

4 B- Les jeunes à besoins éducatifs particuliers
Etat des lieux : élèves handicapés scolarisés Source: Site académique rubrique: politique académique (Données académiques et indicateurs : quelques chiffres clés) AU NIVEAU NATIONAL: élèves handicapés scolarisés en milieu scolaire Les structures de scolarisation Collèges et lycées 2 120 unités localisées pour l'inclusion scolaire Écoles 4194 classes pour l’inclusion scolaire (CLIS) Les personnels + 340 enseignants spécialisés par rapport à enseignants référents à la rentrée 2010 L’accompagnement prescriptions des MDPH: + 25 % en 1 an (juin 2009 /juin 2010), prescriptions depuis septembre élèves avec assistants de vie scolaire individuels Jeunes à besoin éducatif particulier revenir sur le tableau de Bellot. Attention : Le champ d’action de « besoin éducatif particulier » ne concerne pas seulement les enfants handicapés, mais aussi les primo-arrivants, les gens du voyage, les enfants intellectuellement précoces, etc. élèves handicapés scolarisés en milieu scolaire ordinaire à la rentrée 2010 ( par rapport à 2009) Les structures de scolarisation Collèges et lycées 2 120 unités localisées pour l'inclusion scolaire + 14,5 % par rapport à 2009 Écoles 4194 classes pour l’inclusion scolaire (CLIS), + 72 par rapport à 2009. Les personnels + 340 enseignants spécialisés par rapport à 2009 1478 enseignants référents à la rentrée 2010, soit par rapport à 2009. L’accompagnement prescriptions des MDPH: + 25 % en 1 an (juin 2009 /juin 2010), prescriptions depuis septembre élèves avec assistants de vie scolaire individuels Maurel Caroline professeur ressource académique DV

5 Maurel Caroline professeur ressource académique DV
AU NIVEAU ACADEMIQUE Effectifs d’élèves scolarisés sur l’Académie d’Aix-Marseille en  En , 9378 élèves handicapés sont scolarisés dans les établissements scolaires publics et privés sous contrat de l’académie. 73 % de ces élèves sont scolarisés à titre individuel 27 % sont scolarisés au sein de dispositifs collectifs en CLIS dans le 1er degré ou en ULIS dans le 2nd degré.   D’importants moyens humains et financiers y sont consacrés  En , 9378 élèves handicapés sont scolarisés dans les établissements scolaires publics et privés sous contrat de l’académie. Plus de 73 % de ces élèves sont scolarisés à titre individuel, 27 % sont scolarisés au sein de dispositifs collectifs en CLIS dans le 1er degré ou en ULIS dans le 2nd degré. (85 ULIS dont 12 en LEGT ou en LP dans l ’académie) Une proportion très significative d’élèves est scolarisée à temps complet. Les aides particulières, essentielles à ce mouvement de scolarisation des élèves handicapés (auxiliaire de vie scolaire, transport spécifique, matériel pédagogique adapté) augmentent également de façon significative. Concernant l’accompagnement par des auxiliaires de vie scolaire (AVS), on est passé de 650 élèves qui bénéficiaient d’un AVS individuel en 2005, à près de 6000 accompagnés par un AVSco ou un AVSi en novembre 2010. La scolarisation des élèves handicapés : une nouvelle progression à la rentrée 2010 élèves handicapés scolarisés en milieu scolaire ordinaire à la rentrée 2010 ( par rapport à 2009) Les structures de scolarisation Collèges et lycées 2 120 unités localisées pour l'inclusion scolaire , dispositifs soit + 14,5 % par rapport à 2009   (à partir du 1er septembre 2010, toutes les unités pédagogiques d’intégration sont devenues des unités locales d’inclusion scolaire) Rentrée 2006 : unités pédagogiques d'intégration   / rentrée 2010 : plus  de unités localisées pour l'inclusion scolaire. Écoles 4194 classes pour l’inclusion scolaire (CLIS), + 72 par rapport à 2009. Maurel Caroline professeur ressource académique DV

6 C- Evolution de la prise en compte du handicap en milieu scolaire
Ancrages historiques lointains… Culture professionnelle évolutive Quatre périodes distinctes depuis le début du XXe siècle : Exclusion : la loi de 1909 concerne les enfants arriérés. Ségrégation : le décret du 12 juillet 1963 concerne les enfants inadaptés (il est question alors d’inadaptation à l’école) qu’il faut rééduquer, réadapter. Intégration : en 1987 débute une étape intégrative Scolarisation inclusive : en 2004, on parle de scolarisation inclusive Exclusion : la loi de 1909 concerne les enfants arriérés. Les enseignants sont alors titulaires d’un certificat d’aptitude à l’enseignement des enfants arriérés (CAEA) ; Ségrégation : le décret du 12 juillet 1963 concerne les enfants inadaptés (il est question alors d’inadaptation à l’école) qu’il faut rééduquer, réadapter. Le CAEA laisse la place au certificat d’aptitude à l’éducation des enfants et adolescents déficients ou inadaptés (CAEI). Une évolution durant cette période est quand même constatée : en 1966 on distingue les troubles du comportement et de la conduite du handicap sérieux ; en 1978, on ajoute la catégorie des enfants à troubles psychiques et les non/mal voyants ; en 1984, le CAEI propose diverses options (de A à F) pour les différents types de handicap Intégration : en 1987 débute une étape intégrative avec l’arrivée du certificat d’aptitude aux actions pédagogiques spécialisées d’adaptation et d’intégration scolaires (CAPSAIS) qui propose divers options (de A à G) en fonction du handicap ; Scolarisation inclusive : en 2004, le CAPSAIS est remplacé par le Certificat d’Aptitude Professionnelle pour les Aides spécialisées, les enseignements adaptés et la scolarisation des élèves en Situation de Handicap (CAPA-SH) et le Certificat Complémentaire pour les enseignements Adaptés et la scolarisation des élèves en Situation de Handicap (2CA-SH) est créé pour les enseignants du secondaire. GUYOTOT Patrick (2008). L'Enseignant spécialisé. Lyon : Chronique Sociale. « Arriération, invalidité, retard, inadaptation »… Autant de mots péjoratifs assortis de leurs corollaires : « assister, interner, réadapter, rééduquer »… Le vocabulaire du handicap a une longue histoire Maurel Caroline professeur ressource académique DV

7 et des élèves à besoins éducatifs particuliers »
Loi de 2005 sur l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, EN LIEN AVEC AMBITION 2 des PRIORITES ACADEMIQUES :  « Promouvoir l’égalité des chances par la réussite scolaire des élèves en zone difficile et des élèves à besoins éducatifs particuliers » Maurel Caroline professeur ressource académique DV

8 Prise en compte des élèves En situation de handicap
Qu’est-ce que le handicap ? ACCUEILLIR ADAPTER Prise en charge et suivi didactique, pédagogique de l’élève handicapé S’INFORMER SE FORMER ANTICIPER LE RAPPORT A LA LOI La loi du 11/02/05 Le devenir socioprofessionnel de l’élève Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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Qu’est-ce que le HANDICAP ? Une définition : Loi du 11/02/2005 Art L.114 « Constitue un handicap, au sens de la présente loi, toute limitation ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d’une altération substantielle, durable ou définitive d’une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou physiques, d’un poly handicap ou d’un trouble de santé invalidant » Le terme de handicap n’avait pas de connotation médico-sociale avant les années 1960 : d’origine anglaise, il appartient au monde du turf et désigne l’égalisation des chances pour que des montures différentes puissent concourir. Plaisance Eric (2009). Autrement capables : Ecole, emploi, société : pour l'inclusion des personnes handicapées. Paris : Autrement, 204 p. Or, « Si le handicap participe à la structure globale de la personne, celle-ci ne s’y réduit pas et n’est pas définie par ses manques, mais bien par une structure originale. Cette dernière ne dépend pas exclusivement de l’objectivité de la déficience : elle relève du contexte et, tout spécialement, des attitudes et des comportements de l’entourage» Charles GARDOU « Fragments sur le handicap et la vulnérabilité » Pour une révolution de la pensée et de l’action Connaissances de l’éducation Ed Erès La loi de 1975 ne donne pas de définition pour ne pas enfermer des catégories, ne pas exclure quiconque et s’adapter à des situations non prévues au départ, mais le handicap « fait loi » pour la première fois. La loi de 2005 « lance sa définition » en se basant sur celle de l’OMS et innove… Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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La LOI n° du 11 février 2005 relative à l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées 5 grandes évolutions  Le droit à la compensation en couvrant les besoins en aide humaine, technique, animalière en fonction du projet de vie formulé par la personne handicapée. L’emploi : en renforçant les sanctions concernant les entreprises de plus de 20 salariés qui ne satisfont pas l’exigence d’emploi d’au moins 6% de travailleurs. L’accessibilité : en créant l’obligation de mise aux normes des bâtiments et transports dans un délai maximum de 10 ans. Les maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). La scolarité en reconnaissant à tout enfant porteur de handicap le droit d’être inscrit en milieu ordinaire Maurel Caroline professeur ressource académique DV

11 D- Et en Sciences Physiques …les possibles…les enjeux…les limites …
Un élève non voyant en Sciences Physiques : mission possible mais quel intérêt? Un élève présentant des troubles spécifiques des apprentissages en Sciences Physiques : quels enjeux? Maurel Caroline professeur ressource académique DV

12 Déficients visuels : le constat
Quelles sont les situations en sciences physiques qui font obstacles aux élèves déficients visuels ? Alors pourquoi inclure des élèves déficients visuels en Sciences Physiques? « Le pourcentage des personnes visuellement déficientes en recherche d’emploi est le double de celui de la population active française ». Le suivi d’une formation adaptée et l’obtention d’un diplôme reste donc indispensable pour faciliter les embauches. En sur les 2043 élèves déficients visuels scolarisés à temps plein dans le second degré, seule une petite minorité poursuivait des études scientifiques. Souhila Diab témoigne de ses difficultés : « Les matières scientifiques étaient celles que je redoutais le plus (au collège)[…] Les sciences physiques et naturelles comportaient, pour chaque cours, des schémas et expériences destinés à un meilleur éclaircissement pour l’élève, mais n’avaient aucun sens pour moi ». Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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Prenons le cas d’élèves scolarisés en E.R.E.A déficients visuels: 16/25 interrogés en classe de 3ème préfèrent «  imaginer une expérience pour répondre à la problématique ». Pourquoi? Cf. annexe II : questionnaire sous la direction de SARRALIE, Christian. VERGNAUD, Gérard. La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation Adaptations didactiques 1 Education scientifique, EPS. Suresnes, Edition INSHEA, avril p19. Cependant si on prend le cas de 16 élèves de l’E.R.E.A. sur 25 interrogés ils «  préfèrent imaginer une expérience pour répondre à la problématique ». C’est donc un outil pédagogique et didactique très adapté aux enfants malvoyants ou non-voyant pour plusieurs raisons. Cette démarche développe : Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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La découverte du monde et la curiosité L’autonomie et l’attention L’organisation de la pensée, le cheminement du raisonnement, la mémorisation La compréhension et l’imagination  Le travail en équipe (binôme), les interactions et les échanges, la rigueur, la logique, l’esprit critique (accepter ses erreurs) et l’honnêteté. La découverte du monde et la curiosité : La construction du rapport à l’environnement, ou la compréhension des phénomènes du quotidiens sont primordiaux pour des élèves dont la vision de monde réel est incomplète, déformée ou inconnue. M. Bris précise que « [les démarches expérimentales] présentent à notre avis, pour ce public, des intérêts spécifiques dans les incitations qu’elles comportent pour la découverte d’aspects de leur environnement mal connus, car peu accessible.» Souvent la problématique dans une démarche expérimentale est scénarisée et ludique . L’autonomie et l’attention : l’enseignement des sciences favorise chez les élèves l déficients visuels l’acquisition de savoir faire qui peuvent améliorer l’habilité manuelle, le contrôle gestuel, la prise de risque, les initiatives. L’élève est amené à se déplacer pour prélever certaines solutions, utilisé du matériel,…A ce propos, l’appui d’un instructeur en locomotion peut être envisagé. L’organisation de la pensée, le cheminement du raisonnement, la mémorisation : le cadre strict aide l’élève à avancer dans les étapes. En faisant travailler leur mémoire, les élèves comparent leur image mentale à l’image réelle. La compréhension et l’imagination : l’élève est un acteur dynamique qui co-construit son propre savoir dans l’action . L’élève comprend en activité les tâches qu’il exécute et se sent reconnu et valorisé. Cela est conforme avec une remarque de Claude Bernard qui indique que le collège ne doit pas former des encyclopédistes, mais qu’, « il faut surtout apprendre à apprendre. (…) Il vaut mieux savoir moins et bien comprendre que de savoir beaucoup et ne pas comprendre ». Le travail en équipe (binôme), les interactions et les échanges, la rigueur, la logique, l’esprit critique (accepter ses erreurs) et l’honnêteté. L’élève doit faire des efforts face à son interlocuteur (posture, position de la voix,…) Maurel Caroline professeur ressource académique DV

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Un élève présentant des troubles spécifiques des apprentissages en Sciences Physiques : quels enjeux? Il s’agit de mettre du sens sur leurs apprentissages en éprouvant le réel au travers des démarches utilisées en Sciences Physiques Objectifs principaux de l’inclusion socialisation et co-construction des savoirs acquisition d’une plus grande autonomie Par rapport à leurs troubles, les élèves d’ULIS TSA peuvent mettre du sens sur leurs apprentissages en éprouvant le réel au travers des démarches utilisées en Sciences Physiques pour faire acquérir les compétences du programme en lien avec le socle commun de connaissances et de compétences. Ces acquisitions seront possibles à condition d’adaptations pédagogiques diverses et variées Le choix d’une inclusion complète en Sciences Physiques est effectué en accord avec l'enseignante spécialisée et les familles lors de l’ESS quand on est dans un dispositif d’intégration collective. Il semble judicieux d'inclure des élèves dans une matière expérimentale qui permet de donner du sens aux apprentissages. Les objectifs d’inclusion des élèves sont les suivants : socialisation et co-construction des savoirs afin d’accéder aux compétences du programme de Sciences Physiques acquisition d’une plus grande autonomie notamment vis-à-vis des gestes manipulatoires et par extension dans les gestes de la vie de tous les jours Les élèves présentant des TSA ont souvent des défauts au niveau de la mémoire procédurale. Les mettre en activité lors des démarches d’investigation en sciences Physiques met à l’épreuve cette mémoire procédurale. Le professeur pourra alors mettre en œuvre des actions de médiations pour palier à ce défaut de mémoire procédurale et à l’aide de moyens métacognitifs , le jeune arrivera par lui même à aller jusqu’au bout de la résolution du problème. Cela l’aidera dans sa vie de tous les jours par la suite. Maurel Caroline professeur ressource académique DV

16 Maurel Caroline professeur ressource académique DV
E- Conclusion Limites et perspectives Etats des lieux Résistances ? Nouvelles compétences ? Cinq ans plus tard, peut-on en mesurer les effets ? Quelles sont les mesures concrètes prises en faveur de l'inclusion des personnes handicapées, enfants et adultes, dans la société ? Quels sont les moyens mis en œuvre ? Quelles sont les barrières qui restent à franchir ? Le système scolaire est-il capable de s’adapter pour évaluer ? Les apprentissages sont-ils accessibles ? Loi de 2005 : Intégrer….pour qu’ils puissent évoluer avec leurs pairs, « autant qu’il est possible », et dans le respect de leurs différences. Résistances ? Formation : enseignants, AVS- Moyens financiers, humains…- Elève à « capacités suffisantes » Travail en équipe- Articulation des tutelles ministérielles (Arrêté 2 avril 2009 portant sur les Unités d’enseignement) Exclusion à l’intérieur du système Nouvelles compétences ? Prises de risques- «  Modèle de l’élève moyen dans une gestion de masse remis en cause »- Adaptations nouvelles Insertion professionnelle des jeunes par une inclusion évolutive et durable Insertion professionnelle des jeunes par une inclusion évolutive et durable Maurel Caroline professeur ressource académique DV

17 ADAPTER ce n’est pas « sous-enseigner », ce n’est pas niveler par le bas… ….c’est aller vers… pour laisser émerger des talents cachés, inexploités, et lutter contre la dépendance, la situation de handicap, la perte de l’estime de soi… Selon les préceptes de ROUSSEAU JJ., l’élève apprend à mesure que l’on espère de lui. L’estime de soi est donc liée à l’estime de l’autre… ROUSSEAU JJ., Emile ou de l’éducation, Flammarion, 1966 Maurel Caroline professeur ressource académique DV

18 L’Handicap à travers les Options du 2CA-SH
Certificat Complémentaire pour les enseignements Adaptés et la Scolarisation des élèves en situation de Handicap Certificat pour les enseignants du Second Degré Options différentes selon le type des besoins des élèves Arrêté du 5 janvier 2004 Option A : enseignement et aide pédagogique aux élèves sourds ou malentendants. Option B : enseignement et aide pédagogique aux élèves aveugles ou malvoyants. Option C : enseignement et aide pédagogique aux élèves présentant une déficience motrice grave ou un trouble de la santé évoluant sur une longue période et/ou invalidant. Option D : enseignement et aide pédagogique aux élèves présentant des troubles importants des fonctions cognitives. Option F : enseignement et aide pédagogique auprès des élèves des établissements régionaux d’enseignement adapté et des sections d’enseignement général et professionnel adapté. (+ pour le premier degré : CAPA-SH : Option E et G : enseignants spécialisés chargés de la difficulté scolaire ou des aides spécialisées à dominante rééducative) Maurel Caroline professeur ressource académique DV

19 SITOGRAPHIE / BIBLIOGRAPHIE
La scolarisation des élèves handicapés Le site du ministère de l'Education Nationale Le site académique: Les ressources de l'INS HEA [en ligne] Les ressources de l’Esen Guides de scolarisation des élèves handicapés : et guides pour les enseignants : Onisep : L'école à l'épreuve du handicap. Cahiers pédagogiques, janvier 2008, n°459 Mémoire de Marlène NEEL: Professeur certifié de Sciences Physiques- Cité Scolaire René Pellet (EREA DV) Villeurbanne- L’observation, lors d’une démarche expérimentale en sciences physiques, avec des collégiens déficients visuels. 2010 Mémoire de Caroline MAUREL: Professeur certifié de Sciences Physiques- Collège Campra Aix en Provence- Démarche expérimentale en sciences physiques et jeunes « DYS »- 2009 Maurel Caroline professeur ressource académique DV


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