La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

MA et syndrome apparentés

Présentations similaires


Présentation au sujet: "MA et syndrome apparentés"— Transcription de la présentation:

1 MA et syndrome apparentés

2 * * * *

3 Épidémiologie Maladie d’ Alzheimer
2004 : cas en France 2015 : de cas nouveaux cas D par an dont MA / an 2025 : 34 millions de cas 71 % dans les pays industrialisés

4 Anatomopathologie 2 types de lésions
La plaque sénile est une lésion extraneuronale Son constituant est la protéine  amyloïde (A bêta) issue du clivage d'une protéine membranaire précurseur : l'APP. Ce clivage se fait sous l'action de sécrétase. La dégénérescence neurofibrillaire (DNF) est une lésion intraneuronale Son constituant principal est une protéine hyperphosphorylée organisée en paires de filaments hélicoïdaux qui altère le fonctionnement des microtubules et le flux axonal : la protéine tau. L'association de 2 lésions est responsable de dysfonctionnement neuronal, de perte synaptique et de mort cellulaire. L'amylopathie déclenchée par une amylose vasculaire cérébrale contribue à la gravité de la symptomatologie.

5 Plaques Séniles Accumulation de dépots extra-cellulaire de substance B-Amyloide. Dépression et MA : Au cours de la Maladie d’Alzheimer, 40 % des patients ont une dépression. Elle serait un signe précoce de MA pouvant se manifester plusieurs années avant les troubles cognitifs. L’apathie est au premier plan (et non pas la tristesse, la culpabilité, l’auto-dépréciation, l’envie de suicide). La distinction entre une dépression seule et la MA est difficile. Un traitement d’épreuve (I.R.S. : Zoloft°, Seropram°…) est en règle nécessaire avec réévaluation cognitive à l’issue de celui-ci. Au cours de la MA, la survenue d’une dépression va aggraver la perte d’autonomie du patient. Anxiété et MA : L’anxiété serait un des signes précoces se manifestant parfois avant les symptômes cognitifs. 50 % des patients atteint de MA en souffrirait. Elle peut être une anxiété réactionnelle à la prise de conscience des troubles ou à la réaction de l’entourage. L’anxiété d’abandon est très fréquente dans les formes de MA évoluées entraînant des demandes incessantes particulièrement épuisantes pour l’entourage. Agressivité et MA : Elle est présente dans 30 à 50 % des cas. Les agressions verbales seraient plus fréquentes que les agressions physiques. Plus la MA évolue, plus l’agressivité est fréquente. Elle serait particulièrement importante lors des soins du matin (l’incompréhension de ces soins en est certainement l’origine). Agitation et MA : L’un des troubles du comportement le plus fréquent (entre 50 à 90 % des cas). Elle est souvent associée à l’agressivité. La fugue est une des manifestations d’agitation la plus fréquente (60 % des cas d’agitation). Très angoissante pour l’entourage, elle peut mettre en péril la vie du sujet. Elle est la traduction d’une incompréhension de la situation, d’une modification de l’environnement, de l’intervention inadéquate de la famille ou d’un soignant.

6 Les dégénérescences neurofibrillaires (DNF) : dans le cortex entorhinal, le complexe amygdalo-hippocampique, le néocortex associatif, les aires sous-corticales Lésions, en forme de torche, dans le corps cellulaire des neurones pyramidaux Agrégats de protéines tau anormales, précipitées sous forme de paires hélicoïdales de filaments (PHF)

7 Atrophie cérébrale. Dépression et MA : Au cours de la Maladie d’Alzheimer, 40 % des patients ont une dépression. Elle serait un signe précoce de MA pouvant se manifester plusieurs années avant les troubles cognitifs. L’apathie est au premier plan (et non pas la tristesse, la culpabilité, l’auto-dépréciation, l’envie de suicide). La distinction entre une dépression seule et la MA est difficile. Un traitement d’épreuve (I.R.S. : Zoloft°, Seropram°…) est en règle nécessaire avec réévaluation cognitive à l’issue de celui-ci. Au cours de la MA, la survenue d’une dépression va aggraver la perte d’autonomie du patient. Anxiété et MA : L’anxiété serait un des signes précoces se manifestant parfois avant les symptômes cognitifs. 50 % des patients atteint de MA en souffrirait. Elle peut être une anxiété réactionnelle à la prise de conscience des troubles ou à la réaction de l’entourage. L’anxiété d’abandon est très fréquente dans les formes de MA évoluées entraînant des demandes incessantes particulièrement épuisantes pour l’entourage. Agressivité et MA : Elle est présente dans 30 à 50 % des cas. Les agressions verbales seraient plus fréquentes que les agressions physiques. Plus la MA évolue, plus l’agressivité est fréquente. Elle serait particulièrement importante lors des soins du matin (l’incompréhension de ces soins en est certainement l’origine). Agitation et MA : L’un des troubles du comportement le plus fréquent (entre 50 à 90 % des cas). Elle est souvent associée à l’agressivité. La fugue est une des manifestations d’agitation la plus fréquente (60 % des cas d’agitation). Très angoissante pour l’entourage, elle peut mettre en péril la vie du sujet. Elle est la traduction d’une incompréhension de la situation, d’une modification de l’environnement, de l’intervention inadéquate de la famille ou d’un soignant.

8 AD Progression Over Time
Braak stages I-II III-IV V-VI

9 Facteurs de risque Age: Incidence X 2 par tanche d’âge de 5ans après 65 ans Génétique: Antécédent familiaux de démence: RR x 4 chez les sujets ayant un parent dément au premier degré. Formes autosomiques dominantes: Formes du sujet jeunes rares (5%) Sexe: Femme > homme

10 Prévalence par tranche d’âge de la MA
17,8 TOTAL 47 90 ans et plus 27,6 85-89 ans 15,1 80-84 ans 6,5 75-79 ans Prévalence % x2 tous les 5 ans Estimation selon Paquid Ramasoa et all : revue de Neurologie 2003; 159:4 ,

11 Facteurs de risque Age: Incidence X 2 par tanche d’âge de 5ans après 65 ans Génétique: Antécédent familiaux de démence: RR x 4 chez les sujets ayant un parent dément au premier degré. Formes autosomiques dominantes: Formes du sujet jeunes rares (5%) Sexe: Femme > homme

12 Facteurs de risque Facteurs sociaux et culturels:
Niveau < Certificat d ’étude: RR x 1,81. Activités de loisirs: facteur de protection ? Notion de « réserve cognitive »: développement plus tardif de la maladie. Célibat: RR x 2. Faiblesse du réseau social: RR x 1,6.

13 Facteurs de risque Facteurs cardiovasculaires Hypertension artérielle
Diabète : RR x 1,9. Tabac: RR x 2,3. Allèle €4 de l’apolipoprotéine E. taux élevé HDL cholestérol: diminution risque MA?

14 Facteurs de risque Consommation alcool
Consommation modérée alcool (2 à 4 verres/jours): RR = 0.28. Rôles des anti-oxydants contenu dans les tannins ? Effet pseudo-œstrogène de l ’alcool ? Hygiène de vie associée à une consommation modérée d ’alcool ?

15 Facteurs de risque Dépression et MA: RR x 1,16 à 3,5.
Stress Aigu: toxicité neuronale ? Plainte mnésique sans troubles retrouvés: RR x 3,4. Traumatisme cranien… Petit périmétre cranien...

16 Syndrome démentiel Définition Démence (DSM IV) Trouble de la mémoire
accompagné d’au moins un autre déficit cognitif: langage, praxie, gnosie, raisonnement… à l’origine d ’une perte d’autonomie Revue de médecine interne  ’ (2003) Charge ressentie par les aidants informels de patients atteints de la maladie d ’alzheimer au sein de l ’étude REAL.FR Les caractéristiques des patients: MMSE, SCPD, troubles nutritionnels caractéristiques des aidants: sexe féminin, nombre de tâches liées à l’aide, cohabitation le recours à des services médicaux sont indépendamment associés à un niveau élevé de fardeau Fardeau élevé des aidant lié de façon indépendante à la sévérité de l ’atteinte cognitive et aux troubles du comportement. Ni la durée de la maladie, ni la baisse des AVQ n ’est liée au fardeau.

17 Les Domaines Clés De La Maladie D’alzheimer
Retentissement sur la vie quotidienne AVQ MA Comportement Cognition


Télécharger ppt "MA et syndrome apparentés"

Présentations similaires


Annonces Google