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Anite streptococcique

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Présentation au sujet: "Anite streptococcique"— Transcription de la présentation:

1 Anite streptococcique

2 Affection fréquente. A l'examen clinique, un érythème prononcé est présent au pourtour de l'anus. Les limites de la rougeur sont assez nettes. Un suintement est parfois présent. L'enfant se plaint de prurit et de douleurs lors de la défécation. D'autres signes fonctionnels anaux peuvent être révélateurs : diarrhées, ténesme, rétention de selles... Chez la fille, une vulvite peut être le signe d'appel d'une pathologie anale.

3 Le prélèvement bactériologique confirme la présence de streptocoques ß hémolytiques du groupe A. Les prélèvements de gorge concomitants sont positifs dans 50 % des cas. Les autres étiologies sont : les oxyuroses, les candidoses, les dermatoses diverses. Traitement :   Si origine streptococcique : une antibiothérapie per os s'impose associée à une antibiothérapie locale.

4 Dermatite séborrhéique

5 Elle débute après la 2e semaine de vie des nouveaux-nés par ailleurs en bonne santé.
L’aspect est celui de croûtes jaunes du cuir chevelu (croûtes de lait) et du visage. Une dermite du siège et des squames grasses des plis axillaires sont possibles. Dans les formes étendues et extensives, une érythrodermie (dite de Leiner-Moussous)peut survenir. L’évolution est le plus souvent spontanément favorable.

6 Dans certains cas cependant, elle évolue vers une dermatite atopique (lésions persistant au delà de la 6ème semaine et devenant prurigineuses, touchant les zones typiques de la dermatite atopique). Traitement:             Pas de traitement spécifique dans les formes non compliquées Bains quotidiens, enrichis d'une huile de bain. Si nécessaire application d'une crème au kétoconazole (NIZORAL crème) enrichie éventuellement en corticoïdes.

7 Urticaire

8 Parfois accompagnées de fièvre
La lésion élémentaire est une papule oedémateuse « ortiée », prurigineuse, fugace et migratrice. Parfois accompagnées de fièvre La principale complication est l'oedème laryngé (oedème de Quincke.) Les causes peuvent être médicamenteuses, allergiques ou virales Traitement symptomatique : les antihistaminiques

9 Aliments susceptibles de provoquer une urticaire:
Poisson,porc,œufs,crustacés,lait,tomate,fraise,chocolat,arachide,noisettes, alcool,fruits exotiques. Médicaments susceptibles de provoquer une urticaire : Béta-lactamines, anesthésiques (curare), AINS, acide acétylsalicylique, IEC (Inhibiteurs Enzyme Conversion), produits de contraste iodés, sérums et vaccins.

10 Oedème aigu hémorragique

11 Affection touchant les enfants de moins de deux ans.
Apparition rapide, chez un nourrisson en bon état général, de lésions purpuriques, en cocardes, associées à un œdème localisé au niveau des lésions, le plus souvent distales ; le visage peut être atteint. L’état général est bon avec un fébricule et il existe fréquemment une rhinopharyngite dans les 8 à 10 jours précédents. .

12 Diagnostic différentiel essentiel est le purpura fulminans
La biologie reste normale. La guérison est spontanée en 2 à 3 semaines

13 Purpura rhumatoïde de l'enfant

14 Vascularite de l'enfant caractérisée par une triade clinique :
purpura - arthralgies - douleurs abdominales Age de prédilection : entre 4 et 7 ans. Purpura pétéchial pouvant confluer en plaques ecchymotiques, parfois associé à des plaques urticariennes, des oedèmes localisés (cheville) de type orthostatique prédominant aux membres inférieurs, pouvant toucher les coudes et les avants bras, rare sur le tronc et la face.

15 Le purpura rhumatoïde évolue par poussées, souvent déclenchées par la reprise de l'activité (lever). Il peut exister des arthralgies des grosses articulations résolutive en quelques jours. Etat général habituellement bien conservé. Le diagnostic est avant tout clinique. Surveillance BU pour rechercher des complications rénales et échographie abdominale si douleur.

16 La guérison sans complication est souvent la règle en 2 à 3 semaines
Absence de traitement spécifique. Repos jusqu'à disparition des lésions cutanées puis reprise progressive d'une activité normale.

17 IMPETIGO

18 Germes en cause : streptocoque et staphylocoque
L'impétigo est une affection contagieuse fréquente chez l'enfant d‘âge scolaire. Petites vésicules, puis rupture dans un second temps et apparition de croûtes jaune miel, peu douloureux, sur les zones découvertes, puis extension. Peu de symptômes associés, souvent des ganglions. L'impétigo apparaît surtout au niveau du visage, notamment sur le pourtour du nez et de la bouche. Impétigo bulleux bulles de grandes tailles, souvent chez le nourrisson, sous la couche, d'évolution plus longue que sur les autres zones.   Germes en cause : streptocoque et staphylocoque  

19 Traitement: Eviction scolaire (élève ou personnel Si travail en collectivité d'enfants) 48h après début de l’antibiothérapie Hygiène : lavage des mains, ongles, vêtements. Antibiothérapie Générale : Augmentin ou macrolides  Locales : pommade antibiotique Désinfection par antiseptiques.

20 Dermatite Atopique

21 Définition Synonyme : eczéma constitutionnel, dermite de l’enfant, eczéma atopique dermatose inflammatoire, prurigineuse, chronique, évoluant par poussées L'atopie est caractérisé par une prédisposition génétique à la synthèse accrue d'IgE et aux maladies allergiques : rhino-conjonctivite et asthme allergique

22 Epidémiologie Prévalence : entre 6 et 16 %
Fréquence en hausse depuis 20 ans Sex-ratio = 1 dans l’enfance puis après 10 ans prédominance féminine (2/1) 50 à 70% des patients présentant une DA ont un parent présentant une atopie

23 Clinique : nourrisson Placards érythémateux, œdémateux, parfois vésiculo-suintants, à limites émiettés, très prurigineux. zones convexes du visage (front, pommettes) en épargnant classiquement le nez et le pourtour de la bouche. Les faces d’extension des membres sont atteintes: avant-bras, face postérieure des bras, face antérieure des jambes.

24 Clinique : nourrisson Autres localisations : le pouce sucé, le sillon rétro auriculaire

25 Clinique : enfant Passage à la chronicité de la DA du nourrisson ou sa survenue dans l’enfance : lésions de placards lichénifiés, très prurigineux, évoluant sur un mode chronique émaillé de poussées aiguës. Les lésions sont souvent polymorphes sur un fond de xérose associée, parfois importante.

26 Clinique : enfant les zones concaves et les plis
Atteinte des pieds guérissant à la puberté (dermatose plantaire juvénile)

27 Diagnostic : Critères majeurs
basé sur la présence de critères diagnostiques majeurs et mineurs Par convention, on admet que la présence de trois critères majeurs et de trois critères mineurs autorise le diagnostic de DA Critères majeurs : Prurit Topographie et aspect des lésions typiques selon l’âge Éruption récidivante ou chronique Antécédents personnels et/ou familiaux d’atopie

28 Diagnostic étiologique
Interrogatoire : facteurs déclenchants (psychologiques, saisonniers, climatiques, infectieux, le sevrage d’une corticothérapie générale, agressions extérieures) Diagnostic étiologique : Les DA nécessitant une enquête allergologique sont celles qui, malgré les conseils d’éviction des facteurs aggravants aspécifiques restent consommatrices de dermocorticoïdes.

29 Enquête allergologique
Interrogatoire Recherche d’allergène de contact : Patch-test(pneumallergènes,les trophallergènes) Prick test (pneumallergènes,les trophallergènes) Dosage IgE totaux et spécifiques

30 Evolution Evolution à court terme : elle est imprévisible et variable
Evolution à long terme : elle se fait par poussées entrecoupées de rémissions plus ou moins complètes Dans 80% des cas, les poussées sont de moins en moins fréquentes et sévères pour finir par s’éteindre Dans 50% des cas, la DA disparaît avant l’âge de 2 ans et dans 80% des cas avant l’âge de 6 ans, dans 10 à 20% des cas, l’eczéma persiste au-delà de 15 ans Après l’âge de 2 ans, les poussées peuvent s’intriquer ou alterner avec d’autres manifestations d’atopie

31 Complications infectieuses
Bactériennes (Staphylocoque doré, streptocoque…) Virales : Herpès +++ (Primo infection,récurrence, syndrome de Kaposi-Juliusberg (AEG, fièvre,pustules nécrotique confluent en bulles), risque d’encéphalite herpétique et la surinfection staphylococcique (risque de septicémie). Mycosique

32 Complications : autres
Retard de croissance (DA sévère) Retentissement psychoaffectif Erythrodermie : éruption généralisée érythémato-squameuse, souvent secondaire à un sevrage brutal en dermocorticoïdes appliqués sur une surface étendue.

33 Traitements médicamenteux
Dermocorticoïdes (crème sur lésions suintantes, pommades sur lésions sèches), 1 fois par jour au moment des poussées Immunosupresseur (tacrolimus) Antibiotiques si surinfections Antihistaminiques contestés Noté sur le carnet de santé le nombre de tubes de dermocorticoïdes utilisés

34 Traitements adjuvants
Emollient, savon surgras Vêtements en coton L’éviction allergénique ne doit pas se faire à l’aveugle, mais guidée par la réalisation éventuelle d’un bilan allergologique Prise en charge psychologiques Les vaccins peuvent être normalement réalisés en dehors des poussées de DA. Une légère poussée de DA est alors possible


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