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Temps et espaces Mission maternelle 77 Juin 2013

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1 Temps et espaces Mission maternelle 77 Juin 2013
Conditions particulières et adaptées à la scolarisation des enfants de moins de trois ans Temps et espaces Mission maternelle Juin 2013 En regard avec les dossiers : Scolarisation des enfants de moins de trois ans Espace Temps 1

2 Conditions particulières et adaptées à la scolarisation des enfants de moins de trois ans
Organiser la classe pour favoriser la mise en œuvre spécifique des apprentissages : Des temps conçus, s’intéresser aux différents temps Une classe avec des espaces variés et stimulants

3 Accueillir les enfants et leurs parents
Une scolarisation échelonnée dans le temps Un accueil progressif de l’enfant Un accueil pour installer l’enfant Les premières semaines de rentrée Des horaires d’entrée et de sortie assouplis En veillant au maintien de la qualité de l’accueil l’admission pourra s’échelonner au fil de l’année scolaire , en fonction de leur date anniversaire Adaptation dépend de la qualité de l’accueil et aussi de la prise en compte de leurs besoins L’organisation de cette transition délicate entre la maison et l’école ne peut être réglée de manière uniforme pour tous les enfants Séparation parents enfants attention particulière . Accueil temps essentiel où l’enfant s’installant en classe accompagné de ses parents accepte cette séparation Durant les premières semaines de rentrée il est souhaitable d’envisager l’accueil des parents et enfants sur un temps quotidien, décroissant Durée maximale??? Parents et enfants doivent pouvoir se séparer en confiance Horaires pouvant être assouplis par rapport aux autres classes . Accueil quotidien du matin se caractérise par un échelonnement plus long des arrivées Les horaires d’entrée pourront offrir un amplitude , une heure?? Les enfants déjeuneront à l’école le plus tôt posible afin d’être couchés à 12h30

4 Prendre en compte les besoins des enfants
Un encadrement de qualité Une éducation conjointe à la propreté La collation Le temps de repos L’ATSEM sera attachée à la classe et présente tout au long des différents moments de la journée : temps de classe avec l’enseignant, temps de repas et temps de repos. Elle constitue un repère pour l’enfant Une attention particulière /au choix des personnes , leurs compétences professionnelles permettront de garantir la qualité du quotidien : niveau de langue modélisant, postures et qualités relationnelles adaptées aux besoins des jeunes enfants et à la diversité des familles. Etre capable de répondre aux nombreuses obligations que leur fonction implique L’éducation à la propreté se fait conjointement à l’école et dans la famille. L’ATSEM sera amenée à effectuer les gestes d’hygiène nécessaires pour amener l’enfant à franchir l’étape de l’acquisition de la propreté dans le respect de son intimité S’il doit y avoir collation, véritable temps éducatif elle sera proposée à l’accueil et organisée par l’école. La vaisselle doit être appropriée pour répondre aux besoins d’autonomie, il est important qu’ils puissent se servir seuls Temps de repos modulable dans le courant de l’année, au fur et à mesure que l’enfant grandit et que son rythme change; retour possible l’après midi

5 Organiser le temps vécu à l’école maternelle (1)
Lisibilité pour les enfants Rythme des activités (leur correspondant et les respectant) Récréations adaptées L’organisation du temps pour les tout-petits fait droit, sur la totalité du temps scolaire, à une pédagogie adaptée à leur âge et à leurs possibilités. Pas d’indications dans les programmes être vigilant au temps réel des apprentissages à la maternelle rapport IG Le déroulement de la journée doit rester lisible pour l’enfant et faire immédiatement sens. Scansions de la jopurnée Un effort tout particulier d’explicitation des différents moments qui la composent est nécessaire. Les rituels de transition, de début de séance, de fin de séance sont sécurisants et éducatifs. Ils doivent être pensés dans cette perspective et évoluer tout au long de l’année pour ne pas se transformer en activités absurdes et rigidifiées Le rythme des activités Les activités du matin doivent être d’autant plus rythmées que les enfants sont plus jeunes. Les activités de grand groupe et les ateliers ne doivent pas être les seuls éléments qui nourrissent l’alternance des temps successifs de la matinée. Les séances doivent rester brèves et être entrecoupées de temps de repos, de jeux libres, de moments où la sollicitation de l’adulte devient moins forte. Alternance, rapidité toxique pour les petits Des récréations adaptées La récréation du matin doit être disposée de manière à rythmer la demi-journée et non contribuer à isoler un court moment pédagogique d’une accumulation de déplacements (toilettes, collation…) préalables à «l’heure des mamans». La récréation de l’après-midi n’est pas nécessaire après la sieste. Des activités extérieures quand le temps le permet peuvent être intéressantes (jeux d’eau, jardinage…)

6 Organiser le temps vécu à l’école maternelle (2)
Des aspects complémentaires à prendre en compte : les recherches réalisées par les chronobiologistes (rythmes des individus et environnement) les travaux des chronopsychologues (organisation du temps et dimension psychologique sur les élèves). Il convient également de s’intéresser à un aspect complémentaire du temps scolaire, à savoir sa répartition dans l’année, la semaine et la journée. Deux catégories de recherches peuvent être distinguées dans le contexte français. Il existe tout d’abord des recherches expérimentales réalisées par les chronobiologistes, qui s’occupent des rythmes de vie des individus en fonction de l’environnement et les chronopsychologues qui étudient les effets de l’organisation du temps sur des dimensions psychologiques des élèves. Les chagrins ou les maltraitances inhibent ou excitent durablement. 1.Les relations avec les parents, les accidents, les images ou émotions violentes (télé, conflits…) perturbent sommeil et veille. L’enseignant doit avoir les mots, l’attention, le geste apaisant pour permettre la construction d’une sécurité scolaire. 2.Des relations internes difficiles entre adultes de l’école provoqueront une hyper excitation, des refus, un repli sur soi et hypothèquent tout effort d’apprentissage quel que soit le moment de la journée. 3.Il s’agit de permettre à l’enfant de construire les bases temporelles qui fondent, au plan éducatif, un vivre ensemble en milieu scolaire, un savoir s’organiser pour devenir autonome, responsable, acteur de ses apprentissages.

7 Le temps vécu à l’école maternelle (1)
Le temps, un élément essentiel de l’apprentissage : Le temps scolaire Le temps de la classe Le rythme de vie et d’activités Le temps des expériences L’équilibre des situations dans le temps de classe Une multiplicité de temps… En introduction, quelques éléments sur les notions et rapports de temps et apprentissages. Le temps est une construction sociale, qui aide à socialiser les jeunes enfants. Dès sa naissance, l’enfant est confronté au temps : temps biologique, rythmé par ses besoins, temps social en fonction des habitudes de vie de sa famille. Dès son plus jeune âge, il en subit les contraintes : dépêche-toi, attends… les notions d’heure et de durée sont déjà omniprésentes dans sa vie. Le temps est une notion essentielle dans l’étude des phénomènes d’apprentissage. En effet, l’utilisation et l’organisation du temps scolaire déterminent les conditions d’apprentissage des élèves. Le cœur de la problématique concerne bien les conséquences de la distribution et de l’usage du temps scolaire sur les élèves. Plus largement, la question du temps scolaire est en relation directe avec d’autres questions essentielles comme de la prévention à l’école maternelle, et même plus généralement encore, celle de l’efficacité des pratiques d’enseignement. Des conséquences importantes pour les élèves en décalage. Les domaines d’activités sont des champs d’expériences Cf référentiel de compétences 5 : Organiser le travail de la classe : Savoir gérer le temps : temps de classe en fonction des besoins variables d’enfants de 2 à 6 ans, rythme de vie et d’activités au niveau de la classe, notamment de la classe à plusieurs cours, qui respecte les besoins de chaque enfant et s’inscrive dans une progressivité. équilibrer dans le temps de classe des situations variées (jeux, exercices, recherches, expériences guidées ou commentées apports culturels… en proportions compatibles avec les capacités de chaque âge) 7

8 Le temps vécu à l’école maternelle (2)
Il faut du temps pour apprendre … Du point de vue quantitatif : volume et répartition. Du point de vue qualitatif : relation entre les contenus des activités d’enseignement et les apprentissages des enfants. Importance de: - bien gérer le temps - « prendre le temps » avec ces très jeunes enfants afin de garantir les enjeux de cette première année d’école . La notion de temps scolaire peut être examinée sous deux aspects complémentaires. Le premier est de nature quantitative et vise à étudier le volume de temps offert aux élèves et sa répartition au cours de l’année, de la semaine et de la journée. Le second aspect est de nature qualitative à travers la relation entre les contenus des activités d’enseignement et les apprentissages des enfants. Il faut du temps pour apprendre. L’école maternelle présente cette spécificité de laisser le choix aux acteurs de gérer le temps de façon autonome. Aucun texte ne réglemente la répartition des heures dédiées aux disciplines, comme c’est le cas dès le CP. Il est donc particulièrement intéressant d’examiner les choix qui apparaissent dans l’organisation des apprentissages à travers l’étude des emplois du temps. On observe une grande variabilité dans la gestion du temps scolaire. Les enjeux de la maternelle sont : préparer l’enfant à devenir élève; l’aider à construire ses premiers apprentissages, notamment langagiers, garantir le repérage et le suivi des enfants présentant des troubles des apprentissages; lutter contre le déterminisme et la fatalité d’un échec scolaire qui serait considéré comme inévitable et donc éviter certaines pratiques, notamment celles d’un apprentissage trop précoce, qui peuvent entraîner de l’échec. 8

9 Le temps vécu à l’école maternelle (3)
Utiliser la temporalité dévolue à l’école maternelle … Réaffirmer la portée préventive des apprentissages, notamment langagiers; Renforcer l’identité de l’école maternelle en réaffirmant son identité. La maternelle est l'école du langage. Les chercheurs nous apprennent que c'est dans les usages du langage que s'enracinent la source des différences entre enfants. La portée préventive de l'école maternelle est de mettre tous les élèves en situations d'acquérir, de construire l'usage distancié et réflexif du langage. Pour cela l'imprégnation ne suffit pas, il faut des interactions particulières, ce sont des actes professionnels précis. Nous avons à inventer en termes d'actes professionnels la pédagogie de l'oral. Notamment pour la connaissance des mots du temps qui est essentielle sur le plan culturel. L’école doit proposer cet apprentissage à chacun. Si l'école maternelle veut progresser dans son efficacité, il lui faut travailler sur sa spécificité, sur son identité d'école,». L'école maternelle a ses propres rites, sa propre temporalité, elle permet de construire le « devenir écolier » à travers la maîtrise du langage, des attitudes scolaires propices aux apprentissages... La question des feed back est fondamentale dans l’apprentissage. Les études françaises sont rares, et anciennes en ce qui concerne les jeunes enfants, elles permettent toutefois de mettre en évidence de fortes relations entre temps alloué et les apprentissages des élèves, elles ont également le mérite d’apporter des éléments directement utilisables pour alimenter notre réflexion sur l’utilisation du temps à l’école primaire. Enfin, elles explorent une dimension tout à fait importante sur l’utilisation du temps par les enseignants, à savoir les arbitrages réalisés entre les différentes disciplines, sachant que ces arbitrages ont des effets visibles sur les progressions des élèves. Ces études sont à la source des programmes 2002 et de la préconisation de placer le langage au cœur des apprentissages en s’assurant que l’on en travaille les différents aspects y compris à travers des entrées transversales 2h30 par jour. On voit bien la nécessité de considérer le temps scolaire sous des dimensions multiples, mais aussi le fait que c’est principalement l’utilisation que fait l’élève de ce temps qui est déterminante pour l’efficacité des apprentissages. Les travaux de Bruno Suchaut (1996) ont également mis en évidence que certaines activités pratiquées en maternelle avaient des incidences sur les résultats au collège. C’est le cas des jeux mathématiques par ex, ou de la pratique de la musique et du chant. Certaines disciplines ont des interférences en terme de compétences travaillées et sont prédictives de réussite, mais aussi d’échecs si elles sont introduites prématurément. 9

10 Tirer le meilleur parti du temps de l’école maternelle (1)
Le temps réel passé à l’école : définir une organisation adaptée du moment de sieste encourager une fréquentation régulière profiter de bonnes conditions d’encadrement Peut on considérer que les enfants inscrits à l’école à trois ans bénéficient de trois ans de scolarisation? SIESTE La fréquentation des PS l’après midi? (pression explicite ou subtile de l’école encourageant des familles à garder leur enfant ou choix de la famille)? Fréquentation liée au critère « Un des parents ne travaille pas », on voit bien le risque de pénalisation des enfants qui ont le plus besoin d’école (souvent ceux des parents qui n’ont pas d’activités). CONDITIONS ENCADREMENT: si proportion d’enfants absents, souvent peu d’activités à visée d’apprentissage pour « ne pas pénaliser ceux qui ne sont pas là… ». Profiter de ces conditions pour intensifier le rapport avec eux et privilégier en matinée ceux qui fréquentent à mi-temps. Le retour à l’école pour ceux qui ont dormi à la maison peut être une solution pertinente. Du point de vue du travail des maîtres, décloisonnements lorsque les enfants sont endormis. Le fonctionnement de la classe maternelle assez de souplesse pour que l’on puisse compenser les absences temporelles brèves ; plus de rigueur à contractualiser avec les parents. La mission s’interroge sur la légitimité de scolariser à temps plein dès trois ans et dès le début de l’année scolaire? ( Souplesse plus grande et contractualisation avec la famille?)

11 Zoom : LA SIESTE Le temps de sieste évolue en fonction des besoins des enfants : ne pas forcer un enfant à dormir. présence de l’enseignant lors de l’endormissement et au réveil (échelonné). proposer un temps d’activités après la sieste. Voir p10 dossier pédago et Annexe V Le langage à l’école maternelle L’idéal est de les faire manger et de les coucher tôt. Accueillir les enfants après la sieste; La récréation après la sieste ne se justifie pas, prévoir un accueil échelonné au gré du réveil (prendre en compte cette donnée dans l’organisation des décloisonnements, l’enseignant de TPS doit être disponible à l’endormissement comme au réveil ) Le repos : Un tout-petit a besoin de nombreuses heures de sommeil (plus de douze heures quotidiennes). La sieste doit lui être proposée en début d’après-midi : il dormira le temps qui lui est nécessaire, sans que cela porte préjudice au sommeil de la nuit, contrairement à ce que croient certains parents. Un enfant fatigué au cours de la journée doit aussi pouvoir se reposer, quelle que soit l’heure. Cela suppose que l’école qui reçoit des enfants de deux ans soit équipée à cet effet et qu’un espace permettant à l’enfant de s’isoler soit aménagé dans la classe. Le cycle moyen de sommeil est de 2h00 fractionné en phases de 40’ : La sieste ne doit pas être imposée: un enfant fatigué s’endormira s’il se sent en confiance. S’il n’y parvient pas, il importe d’en informer les parents pour qu’ils en tiennent compte dans la durée de sommeil journalier dont l’enfant a besoin. - L’ATSEM assure la surveillance du temps de sieste, l’enseignant sera présent lors du réveil échelonné des enfants. 11

12 Tirer le meilleur parti du temps de l’école maternelle (2)
Le temps fécond pour des apprentissages : Organiser les temps « informels » : tirer pleinement parti de «l’accueil».  repenser la traditionnelle récréation collective. ACCUEIL : l’existence de « coins » stimulants permet à l’enseignant de tirer parti de ce moment là. De manière générale, il se situe 10’ avant l’entrée en classe et dure environ 10’ à 30’ après l’heure officielle d’entrée en classe ( réduire progressivement le temps de présence des parents, faire évoluer la durée selon les sections, penser à demander aux familles de conduire les enfants aux toilettes..) Rôle : accueil individualisé, rupture avec la famille, temps de passage école maison, contact avec la famille (attention c’est d’abord l’enfant que l’on accueille), le processus de séparation est une grande tragédie de l’existence (FDolto). RECREATION : rien ne condamne les petits et les moyens à la traditionnelle récréation collective qui effraient les plus jeunes qui ne s’y sentent pas en sécurité ; il n’y aurait que des avantages à développer des activités à l’extérieur (jeux libres, activités plus formelles, motrices ou autres ou développant la coopération (jardinage, constructions ..) (Voir dossier pédagogique définitions et propositions) Cf : annexe IV Dossier Le langage à l’école maternelle Faire l’appel (PS MS GS) Annexe VI résoudre un conflit suite à un incident de cour.(PS MS GS) 12

13 Tirer le meilleur parti du temps passé à l’école maternelle (3)
Les temps « éducatifs » Accueil, récréations, temps de repos, de collation sont des temps d’éducation. Une gestion plus rigoureuse MAIS leur durée et leur conception est à repenser Une récréation spécifique, la cour un espace d’évolution complémentaire Le terme « temps éducatifs » qui s’oppose à temps d’apprentissage est celui des programmes (les chercheurs parlent aussi de temps sociaux ou informels). Cette opposition est assez peu opportune car les temps d’apprentissage sont aussi des temps sociaux éducatifs et les temps informels peuvent procurer des situations d’apprendre… Récréation : 30’ habillement compris, plutôt en milieu de matinée, variable l’après-midi supprimée l’après midi pour les petits du fait de la sieste. On trouve encore chez les petits « des transhumances collectives » pourtant à réprouver. La récréation du matin doit être située de manière à être un élément de régulation du rythme des activités, voire une activité en soi Il convient d’organiser une récréation spécifique aux tout petits (lieu, moment, durée ) encadrée par l’enseignant de la classe concernée La cour implique de nouvelles prises de repères rassurants pour les tout petits. Aussi les récréations partagées avec les autres enfants d’une classe seront mises en place progressivement et seulement à partir des vacances de printemps. La cour de récréation peut être considérée comme un espace d’évolution complémentaire à la classe et les temps de récréation organisés en fonction des besoins des enfants Que traduit chez les petits cette récréation en milieu de journée sinon un modèle scolaire qui fait alterner des temps « de travail » absorbant dont il faut se défatiguer avant de s’engager dans d’autres de même nature? Si les enfants apprennent autrement que par des leçons et exercices mais à partir d’expériences de toute nature, doit on considérer que la « récréation » au sens actuel du terme est nécessaire? L’habillage : ne pas faire habiller les enfants 15’ avant la sortie, mobiliser parents et ATSEM (à réfléchir).

14 L’emploi du temps, un organisateur pédagogique
Souple , évolutif (temps informels de découverte ---> mise en œuvre plus formelle) Répond a trois objectifs: Améliorer les conditions d'apprentissage Réduire la fatigue de l'enfant. Instaurer une meilleure qualité de vie dans l'école. Annexe 7 du dossier pédagogique Importance du temps d’accueil véritable transition entre maison et école. Tenir compte de l’angoisse de la séparation Les grands principes  présidant à l’élaboration de l’emploi du temps à l’école maternelle Recentrer sur la logique d’apprentissages qui doit prévaloir (et non une logique d’activités ou de dispositifs). Equilibrer la journée de l’enfant. Mieux répondre à leurs besoins. L'organisation du temps respecte les besoins et les rythmes biologiques des enfants, tout en permettant le bon déroulement des activités et en facilitant leur articulation. Plus souple avec les plus petits, la gestion du temps devient plus rigoureuse quand les enfants grandissent pour permettre une transition sereine avec l'école élémentaire. L'enjeu est de trouver le moyen d'optimiser le temps de l'élève qui apprend tout en respectant l'enfant qui est accueilli. La faible capacité d'attention et de concentration des jeunes enfants, leur besoin de bouger et de vivre des expériences motrices nécessitent d'alterner au cours de la journée des temps où l'enfant est moins sollicité et des phases de travail plus intense. L'organisation de la journée sera différente selon les sections et suivra l'évolution physiologique et psychologique des enfants. (Eduscol : Aménagement du temps et rythme de l’enfant Rythme hebdomadaire : en maternelle, les lundis matins et vendredis après midi sont des moments plus sensibles ; le lundi l’enfant doit retrouver ses repères d’élève, reprendre le rythme scolaire après un rythme familial de deux jours, le vendredi car la fatigue de la semaine scolaire est significative (efforts cognitifs, sollicitations de la vie collective…). Rythme journalier : si les besoins physiologiques de l’enfant ne sont pas respectés, les apprentissages ne peuvent avoir lieu ; une baisse de vigilance est constatée en début de matinée et d’après-midi. La motivation et l’intérêt pour la tâche augmentent la durée du temps de vigilance. Les travaux sur la chronobiologie de l’enfant (Testu, Montagnier..) mettent en avant l’importance des rythmes biologiques, de la dimension personnelle de ces rythmes et de la fatigue comme signal d’alerte. Le temps d’attention varie selon les périodes de l’année, les variations climatiques. La même organisation temporelle de la matinée (3 heures de «contraintes scolaires» de 8h30 à 11h30) se traduit chez les enfants de la TPS par une non-vigilance croissante (donc moins d'attention, de réceptivité et de disponibilité) et une diminution de l'efficience dans le traitement de l'information de 9h à 11h. En revanche, la possibilité et la réalité d'une sieste au début de l'après-midi entraînent ensuite plus de vigilance et d'efficience dans le traitement de l'information. On ne peut donc organiser selon un modèle unique le temps scolaire au cours de la journée . L’emploi du temps doit être revu par période et évoluer en même temps que les enfants grandissent.

15 Aménager les espaces La classe = milieu de vie et d’apprentissage Une forte interdépendance entre les aspects organisationnels et didactiques (rapport IG 2011) A ce niveau d’enseignement, l’interdépendance est très forte entre les aspects organisationnels et didactiques « L’école maternelle offre à l’enfant un mode de vie qui répond à ses besoins physiologiques, affectifs et intellectuels et lui permet de trouver sa place dans des groupes divers. Ce mode de vie exige une organisation de l’environnement et une gestion du temps bien comprises.» (programmes de 1995) Et en 1986 « Une aire de regroupement, des zones d’activités différenciées et évolutives semblent constituer le dispositif le plus adapté à l’école maternelle. 15

16 Sécurité et interactions….
Aménager les espaces REPONDRE A PLUSIEURS OBJECTIFS Sécurité et interactions…. Activités et prise d’initiatives… L’ aménagement de la classe doit : – Assurer la sécurité – permettre la mise en oeuvre d’une pédagogie spécifique – respecter les conditions d’hygiène nécessaires ASSURER LA SECURITE AFFECTIVE DES ENFANTS L’aménagement des espaces doit répondre à plusieurs objectifs, créer de la sécurité et un sentiment de sécurité, orienter les activités, autoriser les initiatives, donner envie et également favoriser les interactions, dans certains espaces on peut être à plusieurs. Les espaces intérieurs et extérieurs bougent en fonction des besoins des enfants, des projets….. Il faut créer des conditions sécurisantes qui favorisent les explorations, des activités qui éveillent les sens (provoquent émotion, étonnement) Il faut pouvoir accueillir leur essai de communication ( en lien avec l’espace mais aussi le temps) 16

17 Des besoins des enfants aux réponses attendues
Se rappeler : - Que les besoins des enfants sont évolutifs - que l’évolution justifie que la classe soit différente (année, niveaux) A penser selon une logique progressive Pour y répondre nécessité d’un cadre porteur pour les apprentissages, point d’appui pour une pédagogie qui favorise les initiatives de l’enfant. L’aménagement doit favoriser en permanence la réponse aux besoins des enfants Il est nécessaire de se rappeler : - Que ces besoins sont évolutifs - Que ces éléments d’évolution justifient que la classe soit différente selon l’année et selon les sections Il doit donc être repensé selon une logique progressive Plus les enfants sont jeunes, plus l’aménagement de la classe dit être conçu: la transformer .. créer un environnement pour que les enfants apprennent même sans l’enseignant Besoins physiologiques : être capable de les satisfaire et guider l’enfant vers la prise de conscience et la prise en charge autonome de ces besoins Besoins moteurs : motricité globale, motricité fine, prise de risques en sécurité Besoin de découverte : observation, imitation, exploration; action, répétition, attention esthétique… Lors de travaux sur la refondation de l’école, les universitaires ont beaucoup insisté sur le langage, sur l’acquisition de compétences psycho sociales ou d’attitudes socio affectives , ces composantes ont à voir avec la confiance en soi et la réussite, l’auto régulation sur les émotions. Des locaux qui doivent permettre, surtout pour les plus jeunes une relative autonomie dans les gestes quotidiens et le respect du bien être de l’enfant. 17

18 Les besoins physiologiques
SATISFAIRE LES BESOINS de : Repos, Repli Propreté Hygiène Nourriture et eau Ces espaces sont le plus souvent hors de la classe Plus les enfants sont jeunes, plus ces préoccupations sont importantes pour lui. Etre capable de les satisfaire et guider les enfants vers la prise de conscience et la prise en charge autonome de ces besoins en appui à la famille. A la fin de la TPS, les enfants doivent être capables de s’occuper d’eux-mêmes tout seuls (peut être au départ faut il « faire »le petit train…puis faire évoluer) favoriser la prise de conscience vers l’accès à la propreté (cf commentaires des psycho pédiatres sur cette problématique). La salle d’eau peut être utilisée pour « des jeux d’eau » 18

19 Les besoins psychomoteurs
SATISFAIRE LES BESOINS de : Motricité globale Motricité fine Prise de risques en sécurité Plus les enfants sont jeunes, plus ils doivent pouvoir déambuler, traîner, transporter…. Voir DOSSIER pédagogique P3 repères de développement moteur Motricité globale, motricité fine, la prise de risques en sécurité (envisager les conséquences de ce que l’on a envie de faire)….. La maturation neuro motrice n’est pas achevée avant 6 ans, elle est à stimuler au quotidien. Dans les classes, plus l’enfant est petit, plus il a besoin de place. C’est par la pratique de la marche (encore précaire chez les plus petits) et l’aisance du corps en mouvement que les gestes vont devenir plus assurés. Les espaces extérieurs ne sont pas utilisés comme des extensions de la salle de classe ou les enfants vont avoir des activités motrices sous surveillance (hors temps récréation ) Rapport 2000 « c’est la sécurité plus que l’utilisation pédagogique de la cour qui semble être à l’ordre du jour. Il ne faudrait pas que le souci de l’un (indispensable), conduise à occulter l’autre. 19

20 Les besoins de découverte et de connaissances nouvelles
SATISFAIRE LES BESOINS de : Imitation, Exploration, Observation, Action Répétition, Remémoration Imagination - Imaginaire Attention esthétique Univers des objets du vivant Fonds culturel des images, des musiques Voir DOSSIER pédagogique P7 repères de développement social et affectif Les programmes citent bien des domaines d’activités : l’observation, l’imitation, l’exploration, l’action, la répétition, la remémorisation, l’attention esthétique (besoin et plaisir de regarder des images, d’écouter des histoires des musiques). « Le jeune enfant a besoin   de désordonner le monde pour comprendre comment il s’ordonne » Golse Golse Pédiatre, Pédopsychiatre et Psychanalyste (formation au sein de l’Association Psychanalytique de France), Bernard Golse est chef de service de Pédopsychiatrie de l’Hôpital Necker-Enfants Malades Spécialiste du développement précoce et des niveaux archaïques du fonctionnement psychique, il s’intéresse tout particulièrement à la mise en place de la psyché chez l’enfant et à l’instauration des processus de sémiotisation et de symbolisation. A généraliser : Les coins graphisme écriture (des modalités variées selon les sections) Des coins écoutes (les technologies modernes permettent d’entendre et de réentendre la lecture de livres, des comptines ou poésies, de la musique Des coins mathématiques ou petits chercheurs (au moins chez MS ou GS), y proposer des défis, des outils pour observer et pratiquer le dessin d’observation Inviter les enfants à comprendre progressivement matière, vivant et objets Les coins musées ou collections permettent à l’enfant de conserver, répondent aux besoins de revoir, de se rappeler des moments ou des savoirs en retrouvant des objets ou des images valorisé Des propositions en ce sens sont faites dans le dossier pédagogique 20

21 Les besoins d’expression et de communication
FAIRE CONVERSATION Communication verbale et non verbale Confidences Jeux avec le langage Faire découvrir que PARLER … est un objectif en soi Voir DOSSIER pédagogique P5 repères de développement du langage Tout « coin » peut être propice aux échanges et aux confidences entre enfants ou avec un adulte mais il est intéressant d’en dédier un – restreint – aux conversations. Il permet d’identifier alors que « parler avec … (un camarade, un adulte)» peut être un objectif en soi, qu’un échange verbal constitue une activité digne d’intérêt. Les castelets ou autres dispositifs proches, des marionnettes, marottes ou mascottes derrière lesquelles les enfants peuvent se cacher pour s’exprimer, pour composer des personnages, imitant ceux qu’ils ont rencontrés dans des histoires ou donnant vie à ceux qu’ils imaginent doivent être réintroduits dans les classes maternelle. Les jeunes enfants (les 2/3 ans) ne peuvent être condamnés à des séances collectives de langage ou ils ne se comprennent pas 21

22 Comment choisir la classe Les aménagements
Quelques préconisations Pour la choisir Spacieuse, accueillante, équipée d’un coin eau, près du dortoir, éviter escaliers, couloirs étroits… Pour la concevoir Mobilier et jeux adaptés à la taille des enfants et aux règles de législation(-36 mois). Espaces modulables Préconisations pour la classe : Pour la choisir:(voir p 9 et 19 du dossier pédagogique) Pour la concevoir: (voir annexe 5) Pour un espace de classe modulable : Ne pas encombrer la classe, la vider des meubles vétustes, prévoir un aménagement évolutif. Installer des rideaux ou des paravents qui isolent l'enfant s'il le souhaite. Penser un lieu où les enfants se regroupent, au centre de la pièce, où la maîtresse peut organiser une activité collective ou semi-collective. Prévoir plusieurs petits lieux de jeu, où l'enfant peut jouer seul ou en compagnie d'un autre. Disposer suffisamment de jouets aisément manipulables. Prévoir de l’espace pour faciliter les déplacements (encore peu habiles) et un endroit (classe, dortoir dégagé, couloir pour l’utilisation de «porteurs ». Envisager un espace d’évolution Les activités structurées auront lieu sur une table proche du poste d'eau. Cette table accueillera les travaux de peinture, de modelage et autres, et ne sera pourvue de matériel qu'au moment de l'activité sous la surveillance de l'institutrice et de l'ATSEM. Coussins, matelas et peluches garniront un coin de repos où l'enfant pourra s'isoler. Le dortoir peut être un espace plurifonctionnel, où, une fois les matelas repliés, les enfants peuvent avoir des activités physiques ou de jeu. Dans ce cas, les enfants se l'approprient plus facilement. On veillera à créer des ambiances chaleureuses, avec de jolis tissus, de belles reproductions, comme dans la classe proprement dite. Lieu de rangement et de circulation, le couloir a son importance. Aux toilettes, de petits détails peuvent rendre le lieu plaisant : petits savons maniables, vaporisateur d'eau parfumée, décoration des murs. Préconisations pour les coins: Il faut prévoir leur « mise en service » : • soit progressivement avec des verbalisations régulières, • soit d’un coup avec consignes, accompagnement et aide du maître, • soit par la participation et l’implication des enfants à l’organisation du coin. Dans de bonnes conditions :  • les coins favorisent l’entrée des enfants dans leur culture, dans le monde social, dans les apprentissages constructeurs de leur identité intellectuelle, sociale et affective. • ils facilitent le passage vers leur statut d’élève. Pourquoi un coin ne fonctionne t-il pas ?  • le matériel est insuffisant, mal adapté à l’âge, aux connaissances du monde des enfants , désuet ou abîmé • l’espace est trop petit, trop ouvert, ou trop fermé, • les coins sont mélangés, ils n’évoluent pas, • les enfants ne savent pas se servir des objets : le maître ne montre pas son intérêt, ne joue jamais avec eux, 22

23 Aménager l’espace de la classe : le regroupement (1)
Et s’il était au centre, Le coin regroupement est fait pour regrouper. Il représente l’espace de début d’activités, le lieu de transition des rituels, et celui qui institutionnalise la fin de journée. Or ce coin regroupement est toujours relégué dans un renfoncement ou confiné le long d’un mur de classe : l’espace central n’est jamais au centre…, D’où cette proposition de fixer le regroupement comme lieu de rencontre, élément charnière de tous les temps d’apprentissage, espace qui embrasse l’ensemble des coins de la classe. Les élèves participent aux rituels d’entrée, puis investissent dans les différents coins en fonction des consignes de l’enseignante. La journée d’apprentissage se donne à lire dans l’espace classe, à partir du lieu central qu’est le regroupement. La petitesse de l’espace affichage présente deux intérêts majeurs : - il oblige à sélectionner des documents en lien avec les apprentissages journaliers ou hebdomadaires - il évite le fourre-tout affichage, obstacle aux repères visuels de l’enfant. Au final il laisse vivre un affichage qui correspond aux apprentissages du moment. 23

24 Aménager l’espace de la classe (2)
Créer un espace riche en stimuli Organiser l'espace classe avec différents coins modulables, évolutifs tout au long de l'année - En lien avec le développement de l’enfant - Pour construire des apprentissages er le devenir élève Exemple en TPS :Espace jeux sensori- moteurs - manipulation : transvaser, enfiler, empiler, - construction (objets assez gros), -déplacements : objets roulants (gros camion…) - encastrement, puzzles   Les jeux sensori-moteurs permettent à l’enfant de construire ses représentations du monde au travers de manipulations physiques des objets et l’expérimentation par tâtonnement actif.  Découverte du monde/langage La présence de l’enseignant, par ses interactions, facilite l’accès aux conduites langagières en appui sur l’action. Enrichissement du vocabulaire (les objets, leurs caractéristiques, les verbes d’action.)  Agir avec son corps L’enfant découvre les possibilités de son corps. Il affine la coordination motrice, opère plusieurs gestes simultanément Les changements en cours d’année qui stimulent l’intérêt des enfants sont aussi à promouvoir. L’espace de vie et d’activités doit être réfléchi afin que le cadre de la classe et de l’école constitue vraiment un milieu porteur pour les apprentissages, un point d’appui pour une pédagogie qui favorise les initiatives des enfants. VOIR PROPOSITIONS Dossier pédagogique p 12 à 18 24

25 Jouer et grandir (apprendre)
est une activité essentielle au développement de l’enfant permet de faire de nouvelles expériences et de les relier à ses acquis personnels et scolaires Pour un enfant d’âge préscolaire, jouer est une activité essentielle à son bon développement intellectuel, moteur, sensoriel, social et psycho-affectif. Il joue à la maison, il joue dehors (parc, jardin etc.). Respecter à l’école son besoin de jouer permettra de faciliter la transition entre l’espace domestique et l’espace social qu’est l’école.  C’est également par le jeu que l’enfant avant 6 ans va développer des compétences intellectuelles, faire de nouvelles expériences qu’il reliera à ses acquis personnels et scolaires. Il s’entraînera à des formulations langagières nouvelles, développera sa réflexion, fera des opérations mathématiques etc. Il apprendra également à mieux utiliser son corps, ses mains, ses doigts, et développera sa motricité fine et ses sens.  Dans le jeu d’imitation, l’enfant fait « comme ». Il met en scène des évènements de sa vie psychique avec une distance émotionnelle et affective qui lui permet de mieux les appréhender. Dans le jeu symbolique, l’enfant fait « comme si ». Ces jeux sollicitent à la fois l’imaginaire, l’intelligence, l’affectivité et la raison.  Ils doivent être conçus, préparés et évalués de façon rigoureuse en fonction : - d’objectifs d’apprentissages : qu’est-ce que je veux que les élèves y apprennent ? ; - des moyens cohérents avec des objectifs : quels objets et pour quoi faire ? Comment les disposer ? Combien d’enfants pourront aller dans les coins ? Modalités d’utilisation ? des possibilités d’observation: les élèves ont-ils participé ? L’usage des coins jeux doit être pratiqué par tous les élèves en jeux libres et en jeux à visée pédagogique. Dans ce second cas, ceux-ci ne doivent pas être une vitrine où l’on répète toute l’année la même chose. 25

26 Les espaces extérieurs
la BCD lieu de vie de l’école en lien avec les bibliothèques de classe la salle de repos les lieux de passage : hall, couloirs, vestiaire, sanitaires les lieux d’activités physiques la cour de récréation………… La BCD n’est pas une salle multifonction : c’est un lieu dédié au livre, un espace où certaines compétences particulières sont développées. Son objet est le livre, qu’on lit pour le plaisir, ou pour trouver une information sur un sujet donné et à propos duquel on communique. On y trouvera des ouvrages documentaires ou de fiction, des dictionnaires et des encyclopédies, les magazines auxquels l’école est abonnée. Il est important d’avoir une organisation concertée de l’organisation du temps de repos et des activités des différentes classes au sein de l’école. Lieu d’accueil dans lequel les élèves peuvent venir répondre au besoin physiologique de la sieste. La salle de repos est aménagée de façon à ce que l’enfant retrouve un espace personnel confortable et une ambiance propices à l’endormissement, au repos, à la rêverie...  En dehors du temps de sieste, on gagnera à utiliser la salle de repos pour d'autres activités, notamment celles qui demandent un espace relativement vaste ou celles qui doivent se dérouler dans le calme. Des lieux de communication et d’apprentissage, les vestiaires des espaces dédiés et personnalisés L'activité physique et les expériences corporelles se pratiquent en des lieux dédiés ou aménageables pour conduire des activités corporelles, physiques sportives et artistiques. Ces différents lieux peuvent être matériellement aménagés permettant une richesse de situations et une adaptation au niveau moteur : - En permanence : différents tracés dans la cour , fixation de structures - Ponctuellement : plots, piquets, blocs mousse, cerceaux, trottinette, vélo … pour un aménagement de parcours ou pour des activités d’athlétisme… A pratiquer en toute sécurité 26


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