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12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD1. 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD2 La neuroradiologie est l’étude diagnostique des différents composants neurologique.

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1 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD1

2 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD2 La neuroradiologie est l’étude diagnostique des différents composants neurologique du corps humain,à l’aide de différents types d’appareil.  Radiographie  Échographie  Scanner  I.R.M. Ces mêmes techniques servent aussi dans la Neuroradiologie interventionnelle.

3 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD3 ANATOMIE

4 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD4 ANATOMIE

5 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD5 ANATOMIE

6 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD6  Atteintes cérébrales  Pathologie rachidienne  Pathologie tumorale  Pathologie d’origine traumatique

7 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD71 Atteintes Cérébrales A.V.C. Atteinte Hypophysaire Métastases

8 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD8 Pathologie Rachidienne Sciatalgie Hernie Discale Compression de la moelle

9 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD9 Pathologie tumorale Conflits neuro-vasculaire Adénome

10 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD101 Pathologie Nerveuse d’Origine Traumatique A.V.P Accident du travail Traumatisme sportif

11 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD11 Rôle de l’Imagerie Diagnostique Thérapeutique les Moyens  Radiologie  Scanner  I.R.M.

12 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD12 Rôle de l’Imagerie dans les Atteintes Cérébrales Diagnostique principalement Surveillance de l’évolution Thérapeutique (embolisation) Moyens  Scanner  I.R.M.

13 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD13 Exemples.1.

14 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD14 Exemples.2. Investigation d'un AVC régressif Très discrète anomalie de signal corticale et sous-corticale du gyrus para-cingulaire gauche pouvant être compatible avec une lésion ischémique subaiguë. Pas de sténose significative sur les axes artériels à destinée cérébrale, mais tortuosité du départ de l'artère carotide interne gauche

15 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD15 Exemples.3.

16 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD16 L’Imagerie dans la pathologie Rachidienne Principalement Diagnostique Accessoirement aide à la thérapeutique Surveillance Moyens  Radio  Radio-scanner  I.R.M.  Scintigraphie

17 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD17 Exemples.1.

18 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD18 A quoi sert cet examen ? Cet examen permet de rechercher une anomalie du bas de la colonne vertébrale en réalisant une radiographie. Cette image est possible grâce à l'injection d'un produit de contraste autour de la moelle épinière. La SACCORADICULOGRAPHIE Avant l’examen Vous allez être hospitalisé. Vous devrez indiquer vos allergies éventuelles (notamment au produit de contraste). Une prise de sang sera effectuée : bilan de coagulation. Indiquez donc si vous prenez des médicaments anti-coagulants). Pour cet examen une hygiène corporelle correcte est nécessaire, ainsi qu’une bonne hydratation. Une demi-heure avant l’examen, on vous injectera un produit pour vous détendre (facultatif).

19 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD19 La SACCORADICULOGRAPHIE Pendant l’examen Cet examen n’est pas douloureux. Sa durée moyenne est de 20 minutes. Vous arriverez alité dans la salle d’examen. On vous demandera de faire le « dos rond », puis une désinfection locale sera effectuée. A partir de ce moment il vous sera demandé de ne plus bouger. Vous pourrez avoir une anesthésie locale avant que le médecin aille prélever avec une aiguille un peu de liquide qui entoure la moelle épinière, afin d’être analysé (voir schéma). Par le même biais, il injectera le produit de contraste qui sera visible sur les radiographies, et permettra de voir la moelle et les racines nerveuses. Pour ces clichés, on vous demandera d’adopter différentes positions afin d’avoir une vue optimale des racines nerveuses issues de la moelle. Un pansement vous sera fait au niveau du point de ponction.

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21 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD21 La SACCORADICULOGRAPHIE Après l’examen Vous réintégrerez votre chambre où il vous sera demandé de garder le lit pendant 24 heures,avec la tête surélevée, pour éviter les maux de tête, et de vous lever un minimum jusqu’au lendemain. Il faudra beaucoup boire afin d’éliminer plus rapidement l’iode du produit de contraste. Puis vous pourrez sur avis du médecin regagner votre domicile. Scannographie Après avoir fait tous les clichés dynamiques radiologiques, le patient sera pris au scanner afin d’effectuer un scanner lombaire qui complétera l’examen dénommé : RADICULOSCANNER

22 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD22 Exemples.2. radiculographie

23 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD23 Exemples.3.

24 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD24 INFILTRATION LOMBAIRE Technique : la peau est d'abord traversée avec une aiguille de gros calibre (trocard), que l'on enfonce peu profondément dans l'espace entre deux épineuses. Puis, on utilise une aiguille longue et très fine, passée dans le trocard qui sert de guide. L'aiguille fine est poussée jusqu'à l'espace épidural, qui entoure le sac enveloppant les racines nerveuses. On injecte alors un corticoïde soluble (hydrocortancyl), qui va se répandre dans l'espace épidural, autour des racines nerveuses.

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26 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD26 INFILTRATION LOMBAIRE 1. Les infiltrations épidurales L'objectif des infiltrations épidurales est de réduire l'inflammation locale, responsable de la souffrance radiculaire (sciatique ou cruralgie). C'est, en effet, cette inflammation qui est le responsable principal des douleurs. Les infiltrations épidurales sont indiquées lorsque la souffrance radiculaire a lieu dans le canal vertébral (hernie discale, rétrécissement osseux ou par un épaississement des ligaments jaunes).

27 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD27 INFILTRATION LOMBAIRE 2. Les infiltrations péri radiculaires Les infiltrations péri-radiculaires sont indiquées lorsque le scanner ou l'IRM montre une compression de la racine nerveuse dans le trou de conjugaison ou à sa sortie. L'imagerie est donc nécessaire pour décider de l'indication et du point exact à infiltrer. Ces infiltrations sont réalisées de préférence sous contrôle radioscopique ou scanographique. Une infiltration paravertébrale à l'aveugle peut être réalisée au cabinet, en regard d'un point douloureux à la palpation, mais ce geste, s'il n'est pas dangereux, reste d'une efficacité aléatoire.

28 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD28 INFILTRATION LOMBAIRE 3. Les infiltrations articulaires postérieures Les articulations inter-apophysaires postérieures font le joint entre les arcs postérieurs des vertèbres. Elles forment une sorte d'engrenage qui guide le mouvement des vertèbres. Elles peuvent être le siège d'une arthrose qui s'accompagne d'un pincement du cartilage et d'une hypertrophie des massifs articulaires. Cette arthrose donne des douleurs lombaires, évocatrices si elles sont majorées par l'extension ou reproduite à la palpation de part et d'autre de la colonne.

29 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD29 Exemples.4.

30 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD30 Exemples d’information patient Vous allez avoir une saccoradiculographie Madame, Monsieur, Votre médecin vous a proposé un examen radiologique. Il sera pratiqué avec votre consentement. Vous avez en effet la liberté de l’accepter ou de le refuser. Une information vous est fournie sur le déroulement de l’examen et de ses suites. Le médecin radiologue est qualifié pour juger de l’utilité de cet examen pour répondre au problème diagnostique que se pose votre médecin. Toutefois, il se peut que cet examen ne donne pas toutes les réponses.

31 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD31 Il est très important que vous répondiez bien aux questions qui vous seront éventuellement posées sur votre état de santé ainsi que sur les médicaments que vous prenez (liste écrite des médicaments). Certains traitements doivent en effet êtres modifiés ou interrompus pour certains examens d’imagerie. N’oubliez pas de vous munir de vos anciens examens pour une comparaison et surtout de respecter les recommandations qui vous sont faites. La radiographie utilise des rayons X En matière d’irradiation des patients, aucun risque n’a pu être démontré chez les patients compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée. A titre d’exemple, un cliché simple correspond en moyenne à l’exposition moyenne naturelle (soleil) subie lors d’un voyage de 4 heures en avion.

32 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD32 Toutefois, pour les femmes enceintes, des précautions doivent être prises systématiquement : c’est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas. L’IRM et l’échographie n’utilisent pas de rayons X Ce sont des examens non irradiants qui utilisent soit les propriétés des champs magnétiques pour l’IRM, soit les propriétés des ultrasons pour l’échographie. Pour les intensités utilisées par ces deux techniques, il n’a jamais été décrit de conséquence particulière pour l’homme.

33 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD33 De quoi s’agit-il ? Cet examen consiste à opacifier le canal rachidien (centre de la colonne vertébrale). Son but est de rechercher ce qui pourrait comprimer un ou plusieurs nerfs et expliquer vos symptômes. Cet examen utilise des rayons X. En matière d’irradiation des patients, aucun risque n’a pu être démontré compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée. Toutefois, des précautions concernant les femmes enceintes doivent être prises systématiquement. C’est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas. Pourquoi votre médecin vous a-t-il proposé une saccoradiculographie ? Cet examen est le seul qui permette d’explorer la colonne vertébrale et les nerfs en position debout, or c’est dans cette position que les nerfs souffrent particulièrement. Le scanner et l’imagerie par résonance magnétique (IRM) permettent également d’explorer les nerfs mais ont l’inconvénient de ne le faire qu’en position couchée.

34 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD34 Le déroulement de l’examen Votre coopération est essentielle : elle contribuera à la rapidité du geste de ponction et diminuera les risques de douleur et de complications. L’examen consiste à faire une piqûre dans le dos, plutôt désagréable, mais très supportable. L’injection du produit iodé, nécessaire pour voir les nerfs, n’entraîne pas elle-même de douleur mais simplement une sensation d’écoulement de liquide. Une fois l’injection réalisée, il vous sera demandé de vous mettre debout pour effectuer les clichés radiologiques. L’examen est long (de 30 minutes à une heure) car il faut prendre de nombreux clichés radiologiques, mais l’aiguille n’est laissée en place que quelques minutes. Le produit injecté s’éliminera spontanément, en quelques heures, car il est soluble dans l’eau.

35 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD35 Que devez vous faire après l’examen ? De retour dans votre chambre, il faut rester couché pendant 24 heures et garder la tête surélevée pour éviter les maux de tête. Il faut boire beaucoup d’eau ce qui permet d’éliminer le produit iodé plus rapidement. Quelles complications pourraient survenir pendant l’examen ? Il est rarissime que l’injection d’un liquide iodé déclenche des réactions allergiques. De plus, celles-ci sont le plus souvent sans conséquence. Quelles complications pourraient survenir après l’examen ? Toute intervention sur le corps humain, même conduite dans des conditions de compétence et de sécurité maximales comporte un risque de complication.

36 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD36 Dans les jours qui suivent, des maux de tête, parfois importants, sont possibles. Ceci est devenu rare depuis que l’on utilise des aiguilles extrêmement fines. Dans ce cas, il vous faudra consulter votre médecin ou nous prévenir pour qu’un traitement puisse vous être prescrit pour diminuer ces douleurs. Une fièvre et/ou des douleurs importantes pourraient faire craindre une infection. Cette complication est tout à fait exceptionnelle, et nous prenons toutes les précautions pour l’éviter. Elle pourrait être très grave si elle n’était pas traitée rapidement (risque de décès). Au moindre doute, vous devez donc nous contacter très rapidement. Résultats Un premier commentaire pourra vous être donné juste après l’examen. Il ne s’agira là que d’une première approche, car les images doivent être ensuite analysées sur un ordinateur par le médecin radiologue. Le compte-rendu écrit sera disponible dans les meilleurs délais.

37 12/09/2004ANTOINE H.P. BEAUREGARD37  Présentation  Indication  Atteintes Cérébrales  Pathologie Rachidienne  Pathologie Tumorale  Pathologie Nerveuse d’origine Traumatique  Rôle de l’Imagerie  L’Imagerie dans les Atteintes Cérébrales  L’Imagerie dans les Pathologies Rachidiennes  Exemples d’Information Patients :   saccoradiculographie Thème : IMAGERIE MEDICALE Intervention du Mercredi 15 septembre 2004. Intervenant : Mr. BOUZAID Antoine Formateur référent: Me. CAPPELLO Module : NEUROLOGIE


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